Cela va devenir lassant mais, que voulez-vous, le Delanopolis fut le premier à dénoncer l'échec du 104, qui a englouti plus de 100 millions d'euros pour un concept fumeux dans un endroit inapproprié ( voir en cliquant ici).
Le premier anniversaire de la bête est à peine célébré que les animateurs du lieu, MM. Canterella et Fisbach demandent déjà qu'on leur alloue des millions d'euros supplémentaires pour faire tourner leur boutique. Même les journaux les plus indulgents pour Delanoë et sa clique toussent désormais et se posent des questions : voir là. Un conflit social est en cours et les espaces sont toujours aussi vides. Quant aux abonnés, ils sont au nombre de 500 ! D'ici quelques années le scandale sera inévitable et nous vous promettons de beaux éditoriaux !
Autre dossier épineux : Vélib' où nous avons également pointé les zones d'ombre du contrat signé avec Decaux et notamment de son avenant où la ville se fait plumer. Elle rembourse (sans pouvoir contrôler la réalité des dégâts) 400 euros par vélo volé ou endommagé. Là aussi, la presse finit par se poser des questions ( voir en cliquant là).
La régularité de ce remboursement est toujours aussi douteuse. Mais cela ne suffit pas à Decaux qui est, nous disent les Echos, sur le point d'obtenir de la ville qu'elle lui fasse remise de ses pénalités et lui accorde une part plus grande des recettes.
Et puis quoi encore ? Le Delanopolis suggère une solution toute simple : si Decaux fait du chantage, que Paris remunicipalise Vélib' et l'affichage municipal. Chiche ?
Le premier anniversaire de la bête est à peine célébré que les animateurs du lieu, MM. Canterella et Fisbach demandent déjà qu'on leur alloue des millions d'euros supplémentaires pour faire tourner leur boutique. Même les journaux les plus indulgents pour Delanoë et sa clique toussent désormais et se posent des questions : voir là. Un conflit social est en cours et les espaces sont toujours aussi vides. Quant aux abonnés, ils sont au nombre de 500 ! D'ici quelques années le scandale sera inévitable et nous vous promettons de beaux éditoriaux !
Autre dossier épineux : Vélib' où nous avons également pointé les zones d'ombre du contrat signé avec Decaux et notamment de son avenant où la ville se fait plumer. Elle rembourse (sans pouvoir contrôler la réalité des dégâts) 400 euros par vélo volé ou endommagé. Là aussi, la presse finit par se poser des questions ( voir en cliquant là).
La régularité de ce remboursement est toujours aussi douteuse. Mais cela ne suffit pas à Decaux qui est, nous disent les Echos, sur le point d'obtenir de la ville qu'elle lui fasse remise de ses pénalités et lui accorde une part plus grande des recettes.
Et puis quoi encore ? Le Delanopolis suggère une solution toute simple : si Decaux fait du chantage, que Paris remunicipalise Vélib' et l'affichage municipal. Chiche ?