Le mur de soutènement sur lequel devait être bâti ce grand et fantomatique jardin !
Avant que le site internet de la mairie du 10 ème arrondissement ne soit nettoyé, on pouvait lire que le Balcon vert, ce nouveau jardin de 3000 mètres-carrés surplombant les voies de la gare de l'Est constituait un ambitieux projet pour la municipalité du 10ème .
Conçu en 2004 au temps où la candidature de Paris aux JO 2012 mobilisait les énergies municipales, la mise au point du projet a donné un résultat décevant et il est peu probable que le permis de construire accordé par la mairie le 15 juin 2010 à la SNC Alsace – Balcon Vert , filiale de la SNCF, soit mis en chantier.
C'est entre le quai n° 1 de la gare de l'Est et le mur de soutènement de la rue d'Alsace que prenait place sur 2 niveaux l'immeuble de bureaux dont la dalle terrasse située au niveau de la rue d'Alsace devait accueillir le belvédère arboré avec vue imprenable sur les abris de quai et les caténaires des voies ferrées.
L'immeuble n'était pas collé au mur de soutènement mais implanté 5 mètres en retrait dudit mur pour 2 motifs : permettre l'éclairement et l'aération des bureaux donnant côté mur et ,comme le montre le cliché, ne pas obstruer les grilles de ventilation du tunnel de la ligne de métro n°4 qui passe dessous à 4 m de profondeur.
L'accès au Balcon vert se faisait par deux passerelles franchissant la tranchée de 5 m entre le parapet de la rue d'Alsace et la dalle arborée ce qui faisait de ce jardin un îlot isolé sans continuité avec la rue.
En outre, la poids de la dalle et du mètre cinquante de terre nécessaire à enraciner les plantations imposait un surcoût dans la construction des murs porteurs de l'immeuble et surtout des fondations spéciales pour ne pas effondrer la voûte du tunnel du métro.
La ville de Paris a payé à la SNCF la somme de 3 808 500 € le droit de planter son balcon vert virtuel sur un immeuble fantôme.
Puisque ce projet sans intérêt, ni paysager, ni environnemental n'a pas vu le jour , a-t-elle demandé un remboursement à la SNCF ?
Une fois de plus, Delanoë et sa bande démontrent leur incurie totale dans la défense des intérêts de la ville.
Conçu en 2004 au temps où la candidature de Paris aux JO 2012 mobilisait les énergies municipales, la mise au point du projet a donné un résultat décevant et il est peu probable que le permis de construire accordé par la mairie le 15 juin 2010 à la SNC Alsace – Balcon Vert , filiale de la SNCF, soit mis en chantier.
C'est entre le quai n° 1 de la gare de l'Est et le mur de soutènement de la rue d'Alsace que prenait place sur 2 niveaux l'immeuble de bureaux dont la dalle terrasse située au niveau de la rue d'Alsace devait accueillir le belvédère arboré avec vue imprenable sur les abris de quai et les caténaires des voies ferrées.
L'immeuble n'était pas collé au mur de soutènement mais implanté 5 mètres en retrait dudit mur pour 2 motifs : permettre l'éclairement et l'aération des bureaux donnant côté mur et ,comme le montre le cliché, ne pas obstruer les grilles de ventilation du tunnel de la ligne de métro n°4 qui passe dessous à 4 m de profondeur.
L'accès au Balcon vert se faisait par deux passerelles franchissant la tranchée de 5 m entre le parapet de la rue d'Alsace et la dalle arborée ce qui faisait de ce jardin un îlot isolé sans continuité avec la rue.
En outre, la poids de la dalle et du mètre cinquante de terre nécessaire à enraciner les plantations imposait un surcoût dans la construction des murs porteurs de l'immeuble et surtout des fondations spéciales pour ne pas effondrer la voûte du tunnel du métro.
La ville de Paris a payé à la SNCF la somme de 3 808 500 € le droit de planter son balcon vert virtuel sur un immeuble fantôme.
Puisque ce projet sans intérêt, ni paysager, ni environnemental n'a pas vu le jour , a-t-elle demandé un remboursement à la SNCF ?
Une fois de plus, Delanoë et sa bande démontrent leur incurie totale dans la défense des intérêts de la ville.