Le dernier argument à la mode est l'illégitimité de la dette publique que les partis de gauche ont pourtant largement contribué à augmenter, par leur politique clientéliste, leur goût immodéré pour la dépense publique et leur incompréhension radicale de l'importance de l'initiative individuelle pour le bon fonctionnement de la société et de l'économie.
Qu'à cela ne tienne ! Elle va désormais, dans la plus pure veine delanoiste, faire une grosse teuf pour populariser l'idée que cette montagne de dettes ne pourra et même ne devrait pas être remboursée. Bref, un maquillage festif pour la banqueroute.
Pour célébrer l'événement le 31 mai prochain, rien de tel que le 104, paquebot ruineux où la ville a englouti et continue de dilapider des centaines de millions d'euros.
Quelqu'un expliquera-t-il à ces noceurs que la répudiation unilatérale de ce que l'on doit - inédite en France depuis le Directoire - prive de toute crédibilité et donc de crédit nouveau pour des décennies ?
La gauche française se garde bien de trop réfléchir à l'économie néo-soviétique qu'elle devrait mettre en place si elle se privait des marchés internationaux. N'envisageant pas d'accompagner ladite répudiation d'efforts de restructuration drastiques pour redonner de la compétitivité à l'appareil productif, elle ne pourrait conduire la France qu'à l'hyperinflation et à la faillite totale.
Pendant ce temps, à Paris, Hidalgo, face au recul des recettes fiscales et des dotations de l'Etat, va devoir augmenter subrepticement mais sensiblement une dette déjà multipliée par 4 par Delanoë.
Invitera-t-elle au 104 les prêteurs potentiels pour leur montrer comment, en musique, ils seront floués ?
Qu'à cela ne tienne ! Elle va désormais, dans la plus pure veine delanoiste, faire une grosse teuf pour populariser l'idée que cette montagne de dettes ne pourra et même ne devrait pas être remboursée. Bref, un maquillage festif pour la banqueroute.
Pour célébrer l'événement le 31 mai prochain, rien de tel que le 104, paquebot ruineux où la ville a englouti et continue de dilapider des centaines de millions d'euros.
Quelqu'un expliquera-t-il à ces noceurs que la répudiation unilatérale de ce que l'on doit - inédite en France depuis le Directoire - prive de toute crédibilité et donc de crédit nouveau pour des décennies ?
La gauche française se garde bien de trop réfléchir à l'économie néo-soviétique qu'elle devrait mettre en place si elle se privait des marchés internationaux. N'envisageant pas d'accompagner ladite répudiation d'efforts de restructuration drastiques pour redonner de la compétitivité à l'appareil productif, elle ne pourrait conduire la France qu'à l'hyperinflation et à la faillite totale.
Pendant ce temps, à Paris, Hidalgo, face au recul des recettes fiscales et des dotations de l'Etat, va devoir augmenter subrepticement mais sensiblement une dette déjà multipliée par 4 par Delanoë.
Invitera-t-elle au 104 les prêteurs potentiels pour leur montrer comment, en musique, ils seront floués ?