La nature a horreur du vide
En annonçant sans rire qu'elle ouvrait deux camps de "migrants", un à Paris et un à ... Ivry, Hidalgo a ulcéré les victimes de sa générosité pour le compte d'autrui.
La décision d'Hidalgo d’implanter, d’ici décembre, un camp de 350 réfugiés dans l’ancienne usine des eaux de Paris, à Ivry, mécontente Christian Cambon, sénateur (LR) et maire de Saint-Maurice. « Il faut arrêter de prendre le Val-de-Marne pour le réceptacle de toutes les misères du monde, martèle-t-il, en colère. Ce sont toutes nos communes qui vont être impactées. Chacun doit prendre sa part, certes. Les départements de l’Ouest parisien aussi... On sait très bien que dans le flot des réfugiés, il y a des apprentis terroristes, hommes et femmes. C’est intolérable ! J’en appelle au Préfet de Région et du Département pour que le Val-de-Marne cesse d’être le réceptacle de la pauvreté ».
Même à gauche, l'impérialisme démago d'Hidalgo passe de plus en plus mal. Christian Favier, président (PC) du département, affirme qu’il va « demander des éléments supplémentaires, notamment sur les engagements pris par Paris sur l’accompagnement des personnes accueillies et leur suivi social». Il rappelle également que le Département a des compétences, et regrette « qu’il n’a pas été pour autant associé à cette décision. »
Puis ce fut au tour de Luc Carvounas, sénateur-maire PS de la ville voisine d’Alfortville, président des maires val-de-marnais et premier secrétaire de la Fédération socialiste départementale. Dans une lettre à Hidalgo il lui reproche son manque de concertation, tant avec les maires voisins qu’avec le préfet du Val-de-Marne. Rappelant que « l’expérience d’un campement de Roms sur les quais d’Ivry a déjà démontré par le passé l’importance de l’impact sur Alfortville de l’installation de populations en grande difficulté », il fustige Hidalgo et « l’idée que Paris considérerait la banlieue parisienne comme par le passé, à savoir comme une variable d’ajustement de ses politiques publiques ».
Décidément, Quand Stupidalgo étend son emprise sur la banlieue, ça se passe mal !
La décision d'Hidalgo d’implanter, d’ici décembre, un camp de 350 réfugiés dans l’ancienne usine des eaux de Paris, à Ivry, mécontente Christian Cambon, sénateur (LR) et maire de Saint-Maurice. « Il faut arrêter de prendre le Val-de-Marne pour le réceptacle de toutes les misères du monde, martèle-t-il, en colère. Ce sont toutes nos communes qui vont être impactées. Chacun doit prendre sa part, certes. Les départements de l’Ouest parisien aussi... On sait très bien que dans le flot des réfugiés, il y a des apprentis terroristes, hommes et femmes. C’est intolérable ! J’en appelle au Préfet de Région et du Département pour que le Val-de-Marne cesse d’être le réceptacle de la pauvreté ».
Même à gauche, l'impérialisme démago d'Hidalgo passe de plus en plus mal. Christian Favier, président (PC) du département, affirme qu’il va « demander des éléments supplémentaires, notamment sur les engagements pris par Paris sur l’accompagnement des personnes accueillies et leur suivi social». Il rappelle également que le Département a des compétences, et regrette « qu’il n’a pas été pour autant associé à cette décision. »
Puis ce fut au tour de Luc Carvounas, sénateur-maire PS de la ville voisine d’Alfortville, président des maires val-de-marnais et premier secrétaire de la Fédération socialiste départementale. Dans une lettre à Hidalgo il lui reproche son manque de concertation, tant avec les maires voisins qu’avec le préfet du Val-de-Marne. Rappelant que « l’expérience d’un campement de Roms sur les quais d’Ivry a déjà démontré par le passé l’importance de l’impact sur Alfortville de l’installation de populations en grande difficulté », il fustige Hidalgo et « l’idée que Paris considérerait la banlieue parisienne comme par le passé, à savoir comme une variable d’ajustement de ses politiques publiques ».
Décidément, Quand Stupidalgo étend son emprise sur la banlieue, ça se passe mal !