" DEMISSIONS INQUIETANTES A L’OPAC DE PARIS !
L’Opac de Paris (Office Public de l’aménagement et de la Construction), rebaptisé depuis peu, OPH (Office Public de l’Habitat), a connu ces dernières semaines d’inquiétantes démissions de la part de ses cadres emblématiques.
Successivement, le médecin du travail, la directrice adjointe des ressources humaines, le responsable hygiène et sécurité, l’assistante sociale ont claqué la porte.
A ce jour la plupart de ces départs ne sont pas compensés…
Le médecin du travail évoquera même une entrave à ses fonctions dans son rapport annuel d’activité.
Il semblerait que le fonctionnement pour le moins destructeur de la direction de l’Opac, dans sa gestion des personnels, soit à l’origine de toutes ces démissions.
Il se murmure même que des actions en justice seraient engagées par certains de ces démissionnaires. Il y a fort à craindre pour l’ex Opac de Paris, que certaines pratiques « opaques ne soient dévoilées au grand jour.
Le syndicat parisien Supap-FSU (2ème organisation syndicale de l’établissement) demande d’ores et déjà que la lumière soit faite sur les raisons de ces départs .
Dès le 17 septembre prochain, le Supap-FSU mettra cette question à l’ordre du jour de la réunion du comité d’entreprise.
Nul doute que le nouveau Directeur Général, Monsieur Pierre René Lemas, qui prend ses fonctions à compter du 1er septembre, sera sensible à cette question.
Le Supap-FSU avait déjà dénoncé en son temps le coût exhorbitant (près de 140 millions d’euros) du nouveau siège de l’OPAC, désormais installé rue Claude Bernard (Paris 5ème).
Ce nouveau siège est aujourd’hui victime de dégâts des eaux.
L’Opac avait pourtant motivé le départ de son ancien siège, (rue du cardinal Lemoine Paris 5ème) pour échapper à la crue centennale de la Seine…"
L’Opac de Paris (Office Public de l’aménagement et de la Construction), rebaptisé depuis peu, OPH (Office Public de l’Habitat), a connu ces dernières semaines d’inquiétantes démissions de la part de ses cadres emblématiques.
Successivement, le médecin du travail, la directrice adjointe des ressources humaines, le responsable hygiène et sécurité, l’assistante sociale ont claqué la porte.
A ce jour la plupart de ces départs ne sont pas compensés…
Le médecin du travail évoquera même une entrave à ses fonctions dans son rapport annuel d’activité.
Il semblerait que le fonctionnement pour le moins destructeur de la direction de l’Opac, dans sa gestion des personnels, soit à l’origine de toutes ces démissions.
Il se murmure même que des actions en justice seraient engagées par certains de ces démissionnaires. Il y a fort à craindre pour l’ex Opac de Paris, que certaines pratiques « opaques ne soient dévoilées au grand jour.
Le syndicat parisien Supap-FSU (2ème organisation syndicale de l’établissement) demande d’ores et déjà que la lumière soit faite sur les raisons de ces départs .
Dès le 17 septembre prochain, le Supap-FSU mettra cette question à l’ordre du jour de la réunion du comité d’entreprise.
Nul doute que le nouveau Directeur Général, Monsieur Pierre René Lemas, qui prend ses fonctions à compter du 1er septembre, sera sensible à cette question.
Le Supap-FSU avait déjà dénoncé en son temps le coût exhorbitant (près de 140 millions d’euros) du nouveau siège de l’OPAC, désormais installé rue Claude Bernard (Paris 5ème).
Ce nouveau siège est aujourd’hui victime de dégâts des eaux.
L’Opac avait pourtant motivé le départ de son ancien siège, (rue du cardinal Lemoine Paris 5ème) pour échapper à la crue centennale de la Seine…"