C'est au 13 de la rue Perdonnet que ça se passe.
La pseudo création de 14 logements HLM, dont 13 dans des appartement déjà occupés, se traduit par une opération dont le coût total est de 6,4 millions d'euros.
Pour ce prix, 1logement vacant de 109 mètres-carrés sera proposé aux 120 000 demandeurs en attente de satisfaction sur la liste municipale !!!
Les locataires en place verront leur immeuble gracieusement retapé et ceux d'entre eux qui sont sous les plafonds des loyers HLM bénéficieront d'une baisse prise en charge in fine par la mairie.
Au même moment, toujours dans le 10ème, au 8-10 rue Demarquay, la ville va approuver une opération à 766.000 euros pour trois logements tous occupés et qui ne bénéficieront d'aucun travaux. C'est ce qu'on appelle se constituer une réserve foncière à grands frais. Là encore, pas un mètre carré de logement supplémentaire mais la mairie pourra annoncer, en les conventionnant, qu'elle avance vers son objectif de création de 25 % de logements sociaux.
Cerise sur le gâteau, au 272 de la rue du Faubourg Saint Martin, la ville va pouvoir afficher la création de 66 logements conventionnés. Ce sera un trompe l'oeil total car ils remplaceront 75 chambres qui servaient de foyers pour des employés de La Poste à faibles revenus.
Ces trois exemples, qui se répètent dans tout Paris, illustrent parfaitement les dérives de la politique immobilière de Delanoë : des créations de logements bidons, pas un seul mètre-carré supplémentaire, des dépenses himalayennes et le marché privé asséché qui voient donc ses prix continuer de grimper.
Vous dites comment catastrophe en socialiste ?
Le délire continue mais cela fera peut-être quelques électeurs satisfaits supplémentaires pour les socialistes.
La pseudo création de 14 logements HLM, dont 13 dans des appartement déjà occupés, se traduit par une opération dont le coût total est de 6,4 millions d'euros.
Pour ce prix, 1logement vacant de 109 mètres-carrés sera proposé aux 120 000 demandeurs en attente de satisfaction sur la liste municipale !!!
Les locataires en place verront leur immeuble gracieusement retapé et ceux d'entre eux qui sont sous les plafonds des loyers HLM bénéficieront d'une baisse prise en charge in fine par la mairie.
Au même moment, toujours dans le 10ème, au 8-10 rue Demarquay, la ville va approuver une opération à 766.000 euros pour trois logements tous occupés et qui ne bénéficieront d'aucun travaux. C'est ce qu'on appelle se constituer une réserve foncière à grands frais. Là encore, pas un mètre carré de logement supplémentaire mais la mairie pourra annoncer, en les conventionnant, qu'elle avance vers son objectif de création de 25 % de logements sociaux.
Cerise sur le gâteau, au 272 de la rue du Faubourg Saint Martin, la ville va pouvoir afficher la création de 66 logements conventionnés. Ce sera un trompe l'oeil total car ils remplaceront 75 chambres qui servaient de foyers pour des employés de La Poste à faibles revenus.
Ces trois exemples, qui se répètent dans tout Paris, illustrent parfaitement les dérives de la politique immobilière de Delanoë : des créations de logements bidons, pas un seul mètre-carré supplémentaire, des dépenses himalayennes et le marché privé asséché qui voient donc ses prix continuer de grimper.
Vous dites comment catastrophe en socialiste ?
Le délire continue mais cela fera peut-être quelques électeurs satisfaits supplémentaires pour les socialistes.