Selon les delanoistes, "S&P considère en effet qu'une collectivité locale ne peut pas avoir une meilleure note que l'Etat souverain, sauf si les transferts de l'Etat ou ses ressources fiscales ne peuvent pas être modifiés sans son accord, ce qui n'est pas le cas en France. S&P avait décidé, en octobre. en soulignant le sérieux et la performance de la gestion des finances municipales qui restent fondamentalement saines ... Les fondamentaux de Paris sont solides et le demeureront grâce à une gestion sérieuse et prudente, pour 2012 et les exercices suivants".
A ceci près que la raison essentielle du maintien, en octobre dernier, du triple "A" à Paris n'était pas la bonne gestion de la ville mais son potentiel fiscal encore important, c'est-à-dire sa capacité a continuer d'augmenter les impôts locaux. Et pourquoi donc ? Parce qu'en 2001, on ne le rappellera jamais assez, la situation financière de la ville était florissante et la fiscalité très basse. Delanoë et sa bande ont donc pu dilapider cet héritage, augmenter les impôts lourdement et tripler la dette, d'autant plus facilement que la hausse des prix de l'immobilier gonflait arficiellement les droits de mutation.
Aujourd'hui, les quelque 3 milliards d'euros d'endettement largement créé par les delanoistes menacent d'être une charge très lourde pour les Parisiens dans le futur. La municipalité actuelle est bel et bien fautive dans cette histoire. Et la célèbre agence de notation Delanopoli's & Fauché's lui attribue sans hésiter un triple "D" : Delanoë, Dilapidation, Dette.
A ceci près que la raison essentielle du maintien, en octobre dernier, du triple "A" à Paris n'était pas la bonne gestion de la ville mais son potentiel fiscal encore important, c'est-à-dire sa capacité a continuer d'augmenter les impôts locaux. Et pourquoi donc ? Parce qu'en 2001, on ne le rappellera jamais assez, la situation financière de la ville était florissante et la fiscalité très basse. Delanoë et sa bande ont donc pu dilapider cet héritage, augmenter les impôts lourdement et tripler la dette, d'autant plus facilement que la hausse des prix de l'immobilier gonflait arficiellement les droits de mutation.
Aujourd'hui, les quelque 3 milliards d'euros d'endettement largement créé par les delanoistes menacent d'être une charge très lourde pour les Parisiens dans le futur. La municipalité actuelle est bel et bien fautive dans cette histoire. Et la célèbre agence de notation Delanopoli's & Fauché's lui attribue sans hésiter un triple "D" : Delanoë, Dilapidation, Dette.