Notre bienheureux syndicat Supap de la Dac nous en a encore communiqué une bien bonne cette semaine.
"Au début de l’année 2009, les 350 agents de la Ville de Paris assurant la sécurité des bâtiments municipaux, ont découvert qu’ils ne touchaient pas la prime réglementaire de sujétion pourtant fixée par le Conseil de Paris en 1995. Ils ont également découvert qu’une autre prime de travail du week-end, réglementaire depuis 2003, ne leur était pas versée..."
Un mouvement de grève a été lancé le 14 avril 2009, suivi par 94% des personnels, excusez du peu. La municipalité, pingre dès lors qu'il ne s'agir pas d'arrosage clientéliste sous forme de logements sociaux et de subventions aux associations, accepte de payer des arriérés à compter seulement de janvier 2009. Mais les personnels demandent le rappel intégral, pour respecter les délibérations votées par le Conseil de Paris. En tout état de cause la rétroactivité s’impose légalement à partir de janvier 2005, ce que la Ville ne conteste d’ailleurs pas.
"Le refus par le Maire de Paris de restituer à ces centaines d’agents les milliers d’euros qui leur sont dûs, obligent ceux-ci à faire un recours, individuellement, auprès du Tribunal Administratif de Paris. Cette situation qui touche des employés municipaux, pourtant pas les plus favorisés est en complète contradiction avec les prises de position de Bertrand Delanoë sur le respect de la loi et les relations sociales dans notre pays."
Naïfs syndicalistes qui croient encore aux promesses de Delanoë ...
"Au début de l’année 2009, les 350 agents de la Ville de Paris assurant la sécurité des bâtiments municipaux, ont découvert qu’ils ne touchaient pas la prime réglementaire de sujétion pourtant fixée par le Conseil de Paris en 1995. Ils ont également découvert qu’une autre prime de travail du week-end, réglementaire depuis 2003, ne leur était pas versée..."
Un mouvement de grève a été lancé le 14 avril 2009, suivi par 94% des personnels, excusez du peu. La municipalité, pingre dès lors qu'il ne s'agir pas d'arrosage clientéliste sous forme de logements sociaux et de subventions aux associations, accepte de payer des arriérés à compter seulement de janvier 2009. Mais les personnels demandent le rappel intégral, pour respecter les délibérations votées par le Conseil de Paris. En tout état de cause la rétroactivité s’impose légalement à partir de janvier 2005, ce que la Ville ne conteste d’ailleurs pas.
"Le refus par le Maire de Paris de restituer à ces centaines d’agents les milliers d’euros qui leur sont dûs, obligent ceux-ci à faire un recours, individuellement, auprès du Tribunal Administratif de Paris. Cette situation qui touche des employés municipaux, pourtant pas les plus favorisés est en complète contradiction avec les prises de position de Bertrand Delanoë sur le respect de la loi et les relations sociales dans notre pays."
Naïfs syndicalistes qui croient encore aux promesses de Delanoë ...