Tout n'est pas perdu : Hidalgo a encore de belles propriétés à céder !
On sait le brillant résultat des années Delanoë : malgré une situation budgétaire ultra-saine laissée les Tiberi, la divine surprise de droits de mutation gonflés par la hausse des prix de l'immobilier pendant onze ans et une hausse de 70 % des autres impôts, la ville a dû quadrupler sa dette ! Si l'Etat s'était laissé aller à pareille dérive, la France serait aujourd'hui dirigée par le FMI ou un dictateur quelconque pour redresser la barre.
Et ça va continuer ! Dès lors que le levier fiscal est rouillé, ne reste en effet que la dette. Par chance pour Hidalgo, les règles de la comptabilité publique des collectivités locales n'imposent d'équilibrer le budget que pour les dépenses de fonctionnement. Il suffit donc de maquiller tout ce qu'on peut en investissement pour échapper à cette saine protection des intérêts des contribuables. Les enfants paieront ... c'est un principe socialiste quelque peu contradictoire d'ailleurs avec le détricotage de la politique familiale.
Toujours est-il que les gaspillages monstrueux des aménagements de voirie et surtout les achats clientélistes de logements, considérés comme des investissements, vont s'intensifier. Hidalgo prévoit d'augmenter en conséquence la dette parisienne de 1,5 milliards d'euros dans les années qui viennent et ce malgré le niveau actuel très faible des taux d'intérêt qui rend son refinancement aisé mais qui pourrait ne pas durer.
En attendant, vendant la peau d'ours encore bien vivants, Bargeton, son adjoint aux finances déclare : "nous avons 300 millions de recettes nouvelles, entre la taxe de séjour et sur les résidences hôtelières, la CVAE, les droits de mutation et une revalorisation tarifaire » sans naturellement préciser que ces calculs sont hautement hypothétiques et ressemblent à s'y méprendre aux prévisions fantaisistes de Bercy sur les recettes fiscales de l'Etat.
Le mensonge budgétaire est une maladie contagieuse ...
Le socialisme à la française ne connaît en réalité qu'un seul garde-fou, à Paris comme ailleurs : la faillite. Encore quelques années et Hidalgo aura réussi à ruiner la plus riche ville de France.
Et ça va continuer ! Dès lors que le levier fiscal est rouillé, ne reste en effet que la dette. Par chance pour Hidalgo, les règles de la comptabilité publique des collectivités locales n'imposent d'équilibrer le budget que pour les dépenses de fonctionnement. Il suffit donc de maquiller tout ce qu'on peut en investissement pour échapper à cette saine protection des intérêts des contribuables. Les enfants paieront ... c'est un principe socialiste quelque peu contradictoire d'ailleurs avec le détricotage de la politique familiale.
Toujours est-il que les gaspillages monstrueux des aménagements de voirie et surtout les achats clientélistes de logements, considérés comme des investissements, vont s'intensifier. Hidalgo prévoit d'augmenter en conséquence la dette parisienne de 1,5 milliards d'euros dans les années qui viennent et ce malgré le niveau actuel très faible des taux d'intérêt qui rend son refinancement aisé mais qui pourrait ne pas durer.
En attendant, vendant la peau d'ours encore bien vivants, Bargeton, son adjoint aux finances déclare : "nous avons 300 millions de recettes nouvelles, entre la taxe de séjour et sur les résidences hôtelières, la CVAE, les droits de mutation et une revalorisation tarifaire » sans naturellement préciser que ces calculs sont hautement hypothétiques et ressemblent à s'y méprendre aux prévisions fantaisistes de Bercy sur les recettes fiscales de l'Etat.
Le mensonge budgétaire est une maladie contagieuse ...
Le socialisme à la française ne connaît en réalité qu'un seul garde-fou, à Paris comme ailleurs : la faillite. Encore quelques années et Hidalgo aura réussi à ruiner la plus riche ville de France.