Dans un courrier daté de juillet 2009, cette fonctionnaire disciplinée, a répondu à un recours gracieux présenté par l'association "Val de Seine Vert" contre le projet de destruction de Jean Bouin.
A un motif d'annulation consistant à évoquer la disparition d'arbres, elle rétorque : "je précise que la réalisation des travaux de démolition projetés ne nécessite l'abattage d'aucun arbre".
Emoi de l'association requérante qui, elle, compare les plans du futur Jean Bouin et ceux de l'actuel et constate que la végétation présente sera rasée. Elle missionne donc un botaniste conseil qui inventorie les lieux et dénombre 33 beaux spécimens menacés : "vu l'exiguïté des lieux, le nombre d'espèces ligneuses présentes offre une relative diversité, avec notamment de nombreuses espèces (16, soit près de la moitié) à baies ou à drupes, nourricières de certains oiseaux. De plus on note la présence de beaux sujets d'érables (Acer) et marronniers (Aesculus) grâce au fait qu'ils ont été peu élagués".
La ville s'est bien gardée de mentionner ces arbres dans son permis de démolir !
Décidément, aux Halles, pour réaliser le stupide projet Mangin/Berger, au bois de Boulogne, pour construire du logement clientéliste ou maintenant à Jean Bouin, la mairie delanoesque n'a cure de ce symbole de la nature et de l'écologie.
Paraît-il qu'une élue Verte est adjointe chargée des espaces verts. Personne ou presque ne connaît son nom. On comprend pourquoi.
A un motif d'annulation consistant à évoquer la disparition d'arbres, elle rétorque : "je précise que la réalisation des travaux de démolition projetés ne nécessite l'abattage d'aucun arbre".
Emoi de l'association requérante qui, elle, compare les plans du futur Jean Bouin et ceux de l'actuel et constate que la végétation présente sera rasée. Elle missionne donc un botaniste conseil qui inventorie les lieux et dénombre 33 beaux spécimens menacés : "vu l'exiguïté des lieux, le nombre d'espèces ligneuses présentes offre une relative diversité, avec notamment de nombreuses espèces (16, soit près de la moitié) à baies ou à drupes, nourricières de certains oiseaux. De plus on note la présence de beaux sujets d'érables (Acer) et marronniers (Aesculus) grâce au fait qu'ils ont été peu élagués".
La ville s'est bien gardée de mentionner ces arbres dans son permis de démolir !
Décidément, aux Halles, pour réaliser le stupide projet Mangin/Berger, au bois de Boulogne, pour construire du logement clientéliste ou maintenant à Jean Bouin, la mairie delanoesque n'a cure de ce symbole de la nature et de l'écologie.
Paraît-il qu'une élue Verte est adjointe chargée des espaces verts. Personne ou presque ne connaît son nom. On comprend pourquoi.