Sillonner le MONDIAL DE L’AUTOMOBILE de Paris est toujours plaisant pour ceux qui aiment l’automobile, cas de millions de Français pour qui elle reste un objet de plaisir, de liberté et d’innovation.
Bien sûr, nos chers habitants de BOBOLAND, cœur électoral de ce qu’il reste de la gauche, eux, voient au contraire l’automobile comme un engin à stigmatiser, tant il serait responsable de la pollution des villes, tout en feignant d’admettre qu’ils polluent tout autant, si ce n’est plus, en prenant des avions qui les amènent à l’autre bout du monde pour s’adonner au plaisir des vacances ensoleillées.
Anne HIDALGO l’a bien compris en poussant à l’extrême sa politique anti-bagnoles, sans véritable réflexion stratégique sur ce que doit être une vraie politique des transports, comme l’ont fait a contrario les autres villes mondes à commencer par TOKYO ou LONDRES où fluidité des transports riment avec dynamisme économique.
Elle préfère tomber dans l’excès au service d’une com’ tapageuse relayée par des journalistes, sociologiquement et uniformément marqués à gauche et pour qui Paris est une prise historique pour leur camp idéologique qu’il faut préserver à tout prix alors que les médias qui les embauchent sont grassement subventionnés par le pouvoir.
Mais revenons au MONDIAL DE L’AUTOMOBILE qui se tient en ce moment au Parc des Expositions de la Porte de Versailles.
Dans le Hall n°1, derrière les stands des grands constructeurs, en majorité français, la très puissante FEDERATION INTERNATIONALE DE L’AUTOMOBILE tient un stand où son action pour la sécurité routière apparaît en bonne place, tout cela exprimé majoritairement en anglais.
Dans le cadre de cette action, elle a créé un GROUPE CONSULTATIF POUR LA SECURITE ROUTIERE. Eh surprise, Anne HIDALGO en fait partie à côté du très colérique PDG de TOTAL, Patrick POUYANNE, successeur du très regretté Christophe DE MARGERIE. Ce Polytechnicien arrogant est à la tête d’une des plus grandes sociétés productrices de gaz et de pétrole accusées d’être l’une des causes majeures du réchauffement climatique ainsi que de l’emblématique PDG de l’Alliance RENAULT-NISSAN, Carlos GOSHN. RENAULT-NISSAN qui, rappelons-le, depuis le scandale VOLKSWAGEN ou DIESELGATE est soupçonnée d’avoir installé des systèmes de dépollution anti-diesel insuffisamment efficients.
En fait, alors qu’elle proclame sa volonté de sortir la voiture de Paris, à commencer par les automobiles diesel, Anne HIDALGO siège pendant ce temps à côté du gratin de l’automobile et du pétrole, très loin de l’exemplarité en matière d’écologie. Il est vrai que le siège de la FIA est situé dans l’un des plus beaux immeubles de la Capitale, juxtaposé à l’HOTEL CRILLON. Malgré la grande roue du Roi de la foire à NEUNEU, l’inénarrable Marcel CAMPION, l’endroit est magnifique. Il faut bien profiter des petits bonheurs de la vie que procure la politique au risque de passer pour un tartuffe de première classe.
Et si la FIA promeut effectivement un championnat de Formule électrique dont une manche a lieu à Paris tous les ans, elle supervise surtout des manifestations très coûteuses en marketing faisant la promotion de véhicules à propulsion thermique. Citons à titre d’exemple les rallyes Raid, dont le DAKAR, le championnat du monde des rallyes WRC, les rallyes Cross, le championnat WTTC (voitures de tourisme), le championnat GP2 (anti-chambre de la Formule 1), la Formule 3 et bien entendu la FORMULE 1, sport le plus couteux au monde avec des budgets avoisinant pour les grands teams les 300 millions d’euros par an.
Au final, beaucoup d’argent et d’essence dépensés pour la promotion de la voiture alors que Anne HIDALGO en a fait son ennemi à Paris.
La question est simple : comment peut-on faire partie d’une telle organisation, ô combien prestigieuse, (au sein du commission ad hoc fût-elle consacrée à la sécurité routière), servant les intérêts des grands constructeurs automobiles et parallèlement se faire le chantre de l’anti-voiture ?
La réponse : en jouant au tartuffe !
Bien sûr, nos chers habitants de BOBOLAND, cœur électoral de ce qu’il reste de la gauche, eux, voient au contraire l’automobile comme un engin à stigmatiser, tant il serait responsable de la pollution des villes, tout en feignant d’admettre qu’ils polluent tout autant, si ce n’est plus, en prenant des avions qui les amènent à l’autre bout du monde pour s’adonner au plaisir des vacances ensoleillées.
Anne HIDALGO l’a bien compris en poussant à l’extrême sa politique anti-bagnoles, sans véritable réflexion stratégique sur ce que doit être une vraie politique des transports, comme l’ont fait a contrario les autres villes mondes à commencer par TOKYO ou LONDRES où fluidité des transports riment avec dynamisme économique.
Elle préfère tomber dans l’excès au service d’une com’ tapageuse relayée par des journalistes, sociologiquement et uniformément marqués à gauche et pour qui Paris est une prise historique pour leur camp idéologique qu’il faut préserver à tout prix alors que les médias qui les embauchent sont grassement subventionnés par le pouvoir.
Mais revenons au MONDIAL DE L’AUTOMOBILE qui se tient en ce moment au Parc des Expositions de la Porte de Versailles.
Dans le Hall n°1, derrière les stands des grands constructeurs, en majorité français, la très puissante FEDERATION INTERNATIONALE DE L’AUTOMOBILE tient un stand où son action pour la sécurité routière apparaît en bonne place, tout cela exprimé majoritairement en anglais.
Dans le cadre de cette action, elle a créé un GROUPE CONSULTATIF POUR LA SECURITE ROUTIERE. Eh surprise, Anne HIDALGO en fait partie à côté du très colérique PDG de TOTAL, Patrick POUYANNE, successeur du très regretté Christophe DE MARGERIE. Ce Polytechnicien arrogant est à la tête d’une des plus grandes sociétés productrices de gaz et de pétrole accusées d’être l’une des causes majeures du réchauffement climatique ainsi que de l’emblématique PDG de l’Alliance RENAULT-NISSAN, Carlos GOSHN. RENAULT-NISSAN qui, rappelons-le, depuis le scandale VOLKSWAGEN ou DIESELGATE est soupçonnée d’avoir installé des systèmes de dépollution anti-diesel insuffisamment efficients.
En fait, alors qu’elle proclame sa volonté de sortir la voiture de Paris, à commencer par les automobiles diesel, Anne HIDALGO siège pendant ce temps à côté du gratin de l’automobile et du pétrole, très loin de l’exemplarité en matière d’écologie. Il est vrai que le siège de la FIA est situé dans l’un des plus beaux immeubles de la Capitale, juxtaposé à l’HOTEL CRILLON. Malgré la grande roue du Roi de la foire à NEUNEU, l’inénarrable Marcel CAMPION, l’endroit est magnifique. Il faut bien profiter des petits bonheurs de la vie que procure la politique au risque de passer pour un tartuffe de première classe.
Et si la FIA promeut effectivement un championnat de Formule électrique dont une manche a lieu à Paris tous les ans, elle supervise surtout des manifestations très coûteuses en marketing faisant la promotion de véhicules à propulsion thermique. Citons à titre d’exemple les rallyes Raid, dont le DAKAR, le championnat du monde des rallyes WRC, les rallyes Cross, le championnat WTTC (voitures de tourisme), le championnat GP2 (anti-chambre de la Formule 1), la Formule 3 et bien entendu la FORMULE 1, sport le plus couteux au monde avec des budgets avoisinant pour les grands teams les 300 millions d’euros par an.
Au final, beaucoup d’argent et d’essence dépensés pour la promotion de la voiture alors que Anne HIDALGO en a fait son ennemi à Paris.
La question est simple : comment peut-on faire partie d’une telle organisation, ô combien prestigieuse, (au sein du commission ad hoc fût-elle consacrée à la sécurité routière), servant les intérêts des grands constructeurs automobiles et parallèlement se faire le chantre de l’anti-voiture ?
La réponse : en jouant au tartuffe !