Ce que durent les roses ...
Comme gage de son ralliement, Delanoë se fixe d'abord un objectif en trompe-l'oeil : faire qu'Hollande soit majoritaire en voix, en 2012, à Paris.
Rappelons qu'alors qu'il avait frôlé les 54 % au niveau national, Sarkozy faisait à peine plus de 50 % dans la capitale en 2007. Il est donc évident qu'une victoire de Hollande à la présidentielle de 2012 s'accompagnerait nécessairement d'un score considérable à Paris. Si Hollande l'emportait par exemple avec 52 % en France, il devrait faire au moins 57 % à Paris.
Delanoë ne prend donc un engagement qu'en peau de lapin.
Par ailleurs, il faut se pincer pour ne pas rire en lisant qu'il : " a la chance d'être totalement désintéressé, on est (Hollande et lui) hyper à l'aise » !!!
La seule chose qui préoccupe aujourd'hui Delanoë est de quitter la nef parisienne avant qu'elle ne prenne l'eau pour des raisons financières et de se réfugier dans un ministère régalien pépère : cela fait plus d'un an que même la presse a repéré son petit manège ( voir ICI).On connaît mieux comme désintéressement !
Pour tenter d'endiguer la marée hollandaise montante à Paris, représentée par Le Guen, Delanoë se souvient soudain que : « Jean-Marie est favorable à François depuis peu. La relation personnelle que j'ai avec François est certainement plus intense ". Si c'est l'intensité des mouvements de la girouette dont il s'agit, alors la chose est peut-être vraie ...
Pour peu que Le Guen ait vraiment l'oreille d'Hollande, il devrait naturellement tenter de faire comprendre à Delanoë qu'un beau maroquin vaut le sacrifice de sa chère Anne. A moins qu'un accord général (par défaut) ne soit trouvé sur une solution logique et évidente : que Delanoë reste à la mairie. Ce serait dommage, en effet, que les Parisiens ne puisse lui demander des comptes en 2014.
A suivre ...
Rappelons qu'alors qu'il avait frôlé les 54 % au niveau national, Sarkozy faisait à peine plus de 50 % dans la capitale en 2007. Il est donc évident qu'une victoire de Hollande à la présidentielle de 2012 s'accompagnerait nécessairement d'un score considérable à Paris. Si Hollande l'emportait par exemple avec 52 % en France, il devrait faire au moins 57 % à Paris.
Delanoë ne prend donc un engagement qu'en peau de lapin.
Par ailleurs, il faut se pincer pour ne pas rire en lisant qu'il : " a la chance d'être totalement désintéressé, on est (Hollande et lui) hyper à l'aise » !!!
La seule chose qui préoccupe aujourd'hui Delanoë est de quitter la nef parisienne avant qu'elle ne prenne l'eau pour des raisons financières et de se réfugier dans un ministère régalien pépère : cela fait plus d'un an que même la presse a repéré son petit manège ( voir ICI).On connaît mieux comme désintéressement !
Pour tenter d'endiguer la marée hollandaise montante à Paris, représentée par Le Guen, Delanoë se souvient soudain que : « Jean-Marie est favorable à François depuis peu. La relation personnelle que j'ai avec François est certainement plus intense ". Si c'est l'intensité des mouvements de la girouette dont il s'agit, alors la chose est peut-être vraie ...
Pour peu que Le Guen ait vraiment l'oreille d'Hollande, il devrait naturellement tenter de faire comprendre à Delanoë qu'un beau maroquin vaut le sacrifice de sa chère Anne. A moins qu'un accord général (par défaut) ne soit trouvé sur une solution logique et évidente : que Delanoë reste à la mairie. Ce serait dommage, en effet, que les Parisiens ne puisse lui demander des comptes en 2014.
A suivre ...