Petite ceinture sans envergure ...
Le conseil de paris d'avril 2015 va porter le coup de grâce à la Petite Ceinture comme infrastructure de transport car il va voter sa transformation en promenades-confettis. Anne Hidalgo l'avait évoqué dans les 200 pages de son programme électoral et la SNCF s'est couchée alors que sa mission officielle consiste à promouvoir le transport ferroviaire dans une logique de développement durable.
Copain-copine, Guillaume Pepy, tsar du ferroviaire français, et Anne Hidalgo vont signer un protocole d'une durée de 10 ans pour planter des légumes sur la Petite Ceinture, herboriser et offrir aux bobos parisiens l'occasion d'ergoter sur la biodiversité, ce miroir aux alouettes qui fait florès à l'hôtel de ville.
RFF qui défendait le potentiel de transport de la ligne a disparu, gobé par la poule aux œufs de plomb SNCF qui ne pond que des dettes, un milliard d'euros par an.
La raison invoqué par le grand manitou des rails c'est que l'entretien de la ligne coûterait cher. La poule aux œufs de plomb se garde bien de donner des chiffres car si on lit le protocole qui assassine la ligne on apprend qu'il existe 68 conventions d'occupation du site qui doivent rapporter plusieurs centaines de milliers d'euros par an dont les 200 000 € de location à la ville de la promenade du 15ème sans compter les quais de la gare du bd Ornano.
Guillaume Pepy, comme Anne hidalgo, n'est pas un adepte de l'open source et de transparence et on aimerait bien savoir s'il a reçu le feu vert de ses autorité de tutelle, Alain Vidalies, secrétaire d’État aux transports et Ségolène Royal, ministre de l'environnement, pour brader la ligne.
Derrière ce protocole, décidé en catimini, sans aucune concertation, se cache l'ambition de vendre la ligne à la découpe pour en tirer un maximum de profit sans chercher à faire l'effort intellectuel de savoir si le transport-voyageurs, la création de nouvelles gares et la clientèle potentielle n'offriraient pas un meilleur profit.
Manipulation et dissimulation sont les deux mamelles auxquelles s'abreuvent la poule aux œufs de plomb et la biocrate parisienne.
En attendant, le boboisme l'emporte une nouvelle fois sur l'urbanisme.
Le conseil de paris d'avril 2015 va porter le coup de grâce à la Petite Ceinture comme infrastructure de transport car il va voter sa transformation en promenades-confettis. Anne Hidalgo l'avait évoqué dans les 200 pages de son programme électoral et la SNCF s'est couchée alors que sa mission officielle consiste à promouvoir le transport ferroviaire dans une logique de développement durable.
Copain-copine, Guillaume Pepy, tsar du ferroviaire français, et Anne Hidalgo vont signer un protocole d'une durée de 10 ans pour planter des légumes sur la Petite Ceinture, herboriser et offrir aux bobos parisiens l'occasion d'ergoter sur la biodiversité, ce miroir aux alouettes qui fait florès à l'hôtel de ville.
RFF qui défendait le potentiel de transport de la ligne a disparu, gobé par la poule aux œufs de plomb SNCF qui ne pond que des dettes, un milliard d'euros par an.
La raison invoqué par le grand manitou des rails c'est que l'entretien de la ligne coûterait cher. La poule aux œufs de plomb se garde bien de donner des chiffres car si on lit le protocole qui assassine la ligne on apprend qu'il existe 68 conventions d'occupation du site qui doivent rapporter plusieurs centaines de milliers d'euros par an dont les 200 000 € de location à la ville de la promenade du 15ème sans compter les quais de la gare du bd Ornano.
Guillaume Pepy, comme Anne hidalgo, n'est pas un adepte de l'open source et de transparence et on aimerait bien savoir s'il a reçu le feu vert de ses autorité de tutelle, Alain Vidalies, secrétaire d’État aux transports et Ségolène Royal, ministre de l'environnement, pour brader la ligne.
Derrière ce protocole, décidé en catimini, sans aucune concertation, se cache l'ambition de vendre la ligne à la découpe pour en tirer un maximum de profit sans chercher à faire l'effort intellectuel de savoir si le transport-voyageurs, la création de nouvelles gares et la clientèle potentielle n'offriraient pas un meilleur profit.
Manipulation et dissimulation sont les deux mamelles auxquelles s'abreuvent la poule aux œufs de plomb et la biocrate parisienne.
En attendant, le boboisme l'emporte une nouvelle fois sur l'urbanisme.