
Le personnel de la SemPariSeine, convoqué le 8 juillet pour une réunion devant se tenir le lendemain matin ( !), n’en est pas revenu.
Jean-Yves Mano, adjoint de Delanoë en charge du logement et Seybah Dagoma, nouvelle présidente choisie sans doute en récompense de sa mémorable gamelle aux municipales (le 1er arrondissement est le seul où la gauche ait reculé par rapport à 2001), étaient présents pour leur expliquer que l’entreprise allait être à nouveau démembrée.
Après la fusion entre la SemParisCentre et la SEMEA 15 en 2006, génératrice de frais de déménagements et de réinstallations substantiels, voilà que la ville décide de transférer la gestion immobilière du nouvel ensemble à la SGIM, une autre SEM. Bronca dans l’assistance, un représentant du personnel qualifiant l’annonce soudaine de tous les noms d’oiseaux. Une quarantaine de personnes environ seraient touchées par ce jeu de mécano municipal où l’arbitraire le dispute à l’improvisation, la dernière fusion n'étant pas encore digérée.
Bref, on voit se pointer un nouveau conflit social à la ville. Tous ces employés qui ne comprennent rien au social-libéralisme, c’est à désespérer !
Jean-Yves Mano, adjoint de Delanoë en charge du logement et Seybah Dagoma, nouvelle présidente choisie sans doute en récompense de sa mémorable gamelle aux municipales (le 1er arrondissement est le seul où la gauche ait reculé par rapport à 2001), étaient présents pour leur expliquer que l’entreprise allait être à nouveau démembrée.
Après la fusion entre la SemParisCentre et la SEMEA 15 en 2006, génératrice de frais de déménagements et de réinstallations substantiels, voilà que la ville décide de transférer la gestion immobilière du nouvel ensemble à la SGIM, une autre SEM. Bronca dans l’assistance, un représentant du personnel qualifiant l’annonce soudaine de tous les noms d’oiseaux. Une quarantaine de personnes environ seraient touchées par ce jeu de mécano municipal où l’arbitraire le dispute à l’improvisation, la dernière fusion n'étant pas encore digérée.
Bref, on voit se pointer un nouveau conflit social à la ville. Tous ces employés qui ne comprennent rien au social-libéralisme, c’est à désespérer !