Nos lecteurs, surtout s'ils sont les victimes de ces embouteillages, se souviennent certainement de ce funeste trophée. Les autres cliqueront LA et ils le découvriront.
Soucieux de minimiser ce classement, les Delanoistes ont écarté les chiffres de circulation sur le périphérique pour prétendre que la situation s'améliore alors que ce dernier est le réceptacle de la thrombose provoquée par la ville.
Cette semaine, face aux inquiétudes des élus des Hauts de Seine qui ont compris que la congestion créée par le projet de réaménagement des voies sur berges remonterait vers leurs propres territoires, l'adjoint chargé de Paris Métropole, Pierre Mansat (ex PC), a eu cette formule incohérente : « le temps de parcours va augmenter aux heures de pointe mais seulement intra-muros, entre Austerlitz et Bir-Hakeim. Les automobilistes venant de banlieue vont sûrement changer d’itinéraire et emprunter le périphérique ou la rive droite ».
C'est à n'y plus rien comprendre. Alors que, cinq jours plus tôt, dans un communiqué de presse, la ville se félicitait que les embouteillages ne touchaient pas l'"intramuros" mais la voie express circulaire, soudain Mansat cherche à rassurer les édiles de banlieue en disant le contraire. Il agglomère périphérique et rive droite, ces deux territoires parisiens étant les victimes promises desdits embouteillages.
La réalité est simple : grande couronne, petite couronne, périphérique ou intramuros sont tous victimes de la politique parisienne, à des degrés ou sous des formes diverses nul n'y échappe.
En attendant, nous voilà confronté à une municipalité qui ne sait plus trop bien où commence et où finit le territoire de sa commune.
Soucieux de minimiser ce classement, les Delanoistes ont écarté les chiffres de circulation sur le périphérique pour prétendre que la situation s'améliore alors que ce dernier est le réceptacle de la thrombose provoquée par la ville.
Cette semaine, face aux inquiétudes des élus des Hauts de Seine qui ont compris que la congestion créée par le projet de réaménagement des voies sur berges remonterait vers leurs propres territoires, l'adjoint chargé de Paris Métropole, Pierre Mansat (ex PC), a eu cette formule incohérente : « le temps de parcours va augmenter aux heures de pointe mais seulement intra-muros, entre Austerlitz et Bir-Hakeim. Les automobilistes venant de banlieue vont sûrement changer d’itinéraire et emprunter le périphérique ou la rive droite ».
C'est à n'y plus rien comprendre. Alors que, cinq jours plus tôt, dans un communiqué de presse, la ville se félicitait que les embouteillages ne touchaient pas l'"intramuros" mais la voie express circulaire, soudain Mansat cherche à rassurer les édiles de banlieue en disant le contraire. Il agglomère périphérique et rive droite, ces deux territoires parisiens étant les victimes promises desdits embouteillages.
La réalité est simple : grande couronne, petite couronne, périphérique ou intramuros sont tous victimes de la politique parisienne, à des degrés ou sous des formes diverses nul n'y échappe.
En attendant, nous voilà confronté à une municipalité qui ne sait plus trop bien où commence et où finit le territoire de sa commune.