La photo ci-contre, prise en plongée par un Jacques Gauthier assez casse-cou, représente un pont-rail en construction au-dessus de la rue Watt (13ème), chantée autrefois par Boris Vian pour son indicible poésie urbaine ( voir en cliquant ici par exemple) et malheureusement happée par la ZAC Paris Dérive Gauche.
Cet ouvrage d'art assurera, paraît-il, la continuité ferroviaire entre la gare d'Austerlitz et la ligne de petite ceinture en bordure du bd du Général Jean-Simon (ex bd Masséna). La mairie raffole des ponts-rails puisqu'elle a déjà reconstruit celui de l'avenue de Flandre (19ème) et que dans la ZAC Paris Dérive Gauche, elle a décidé d'en réaliser trois autres (un pour franchir la rue de Patay et deux supplémentaires au-dessus de l' allée Paris-Ivry).
Hélas, avec l'incohérence qu'on lui connaît, elle n'aime pas les trains et ces ponts-rails ne verront jamais rien rouler ! Des millions d'euros sont et seront engloutis pour satisfaire ces lubies. Un pont-rail sans train, pourquoi pas des tartines sans beurre ..? Et la rue Watt banalisée. Il y a des tomates qui se perdent.
Cet ouvrage d'art assurera, paraît-il, la continuité ferroviaire entre la gare d'Austerlitz et la ligne de petite ceinture en bordure du bd du Général Jean-Simon (ex bd Masséna). La mairie raffole des ponts-rails puisqu'elle a déjà reconstruit celui de l'avenue de Flandre (19ème) et que dans la ZAC Paris Dérive Gauche, elle a décidé d'en réaliser trois autres (un pour franchir la rue de Patay et deux supplémentaires au-dessus de l' allée Paris-Ivry).
Hélas, avec l'incohérence qu'on lui connaît, elle n'aime pas les trains et ces ponts-rails ne verront jamais rien rouler ! Des millions d'euros sont et seront engloutis pour satisfaire ces lubies. Un pont-rail sans train, pourquoi pas des tartines sans beurre ..? Et la rue Watt banalisée. Il y a des tomates qui se perdent.