Le bilan de près de onze années de delanoïsme à Paris est accablant. Jamais les transports publics n’ont été si saturés et vétustes, la circulation si congestionnée, la crise du logement si aiguë, la dette et les impôts locaux si élevés, les services municipaux si désorganisés, le personnel de la ville si démotivé. Voilà le résultat de mesures conçues pour paraître et non pour faire entrer Paris dans le 21ème siècle.
L’opposition municipale se dresse-t-elle pour dénoncer ces résultats calamiteux ? Offre-t-elle une alternative ? Non. La droite parisienne est victime du syndrome de Stockholm, complexée de n’être pas suffisamment « branchée », admettant implicitement que le système Delanoë incarnerait une modernité alors qu’il ne fait que replier la ville sur elle-même en étourdissant les électeurs par des paillettes et des gadgets. Elle a définitivement abdiqué tout espoir de reconquête de l’est parisien et livre la ville aux parachutages et aux candidatures de pur témoignage.
Qu’oppose l’UMP à la politique bobo de Delanoë ? La politique bling-bling de Beigbeder !
Le PARTI DES LIBERTES entend se saisir des élections législatives pour présenter, dans tout Paris, en association avec d’autres mouvements, comme le RASSEMBLEMENT POUR LA FRANCE, des candidates et des candidats décidés à offrir une alternative au règne de la démagogie.
Pour découvrir son projet pour la France et ses candidats pour Paris la Fédération de Paris du PARTI DES LIBERTES vous donne rendez-vous le 31 janvier prochain à 19 heures 30 au Café du Pont-Neuf 14, Quai du Louvre Paris 1er Métro Pont-Neuf.
Réunion animée par Serge Federbusch, Président du Parti des Libertés
En association avec :
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