Mme Z a démissionné le 31 janvier 2011 « en raison de la difficulté d’assumer de nouvelles responsabilités de secrétaire générale au sein d’une association caritative en même temps que sa mission à la RIVP ». Cette date suivait fort opportunément la transmission du rapport de la CRC à la ville de Paris.
Qu'était censée faire madame Z à la RIVP ? Y passer trois jours par semaine pour travailler sur le déménagement de son siège, le tout pour un salaire de 4 000 euros mensuels, qui a fait tousser la CRC.
Il faut dire qu'elle ne réclamait pas beaucoup d'autres moyens à son employeur : elle n'avait même pas de bureau et squattait par intermittence celui du président qui, nous dit-on, "n'est sur place qu'en de rares occasions" ...
Hélas, cette intense activité n'a pas servi à grand chose puisque la RIVP a finalement décidé "de lancer une procédure de marché d'assistance externe pour le déménagement du siège". Bref, de refiler le bébé à une autre nounou.
Qui est donc cette fameuse Z ?
La loi étant rigoureuse pour ceux qui brisent le secret des rapports en question, nous nous bornerons à répéter ce que le petit monde parisien dit à l'envie : il s'agit de la femme d'un ancien collaborateur d'un président socialiste et ex-hiérarque dans le parti du même nom.
Chut ! N'allez pas le dire à Luc Ferry, il risquerait de trop parler !
A propos, le même rapport de la CRC nous apprend que la marge bénéficiaire de la RIVP est trois fois inférieure à celle des organismes franciliens équivalents. Sachant que ses locataires payent pourtant des loyers tout ce qu'il y a de plus conformes à ceux des autres occupants de logements sociaux, on se disait que les frais généraux sont bien lourds chez les bailleurs sociaux de la ville de Paris. Et justement, qu'apprend-on récemment ? Les "frais divers" à savoir essentiellement la publicité, les relations publiques, les déplacements et réceptions ont crû de 303 % en quatre ans, passant de 232 000 à 705 000 euros annuels. Voilà qui va mettre du baume au coeur des locataires quand ils recevront leurs appels !
A suivre ...
Qu'était censée faire madame Z à la RIVP ? Y passer trois jours par semaine pour travailler sur le déménagement de son siège, le tout pour un salaire de 4 000 euros mensuels, qui a fait tousser la CRC.
Il faut dire qu'elle ne réclamait pas beaucoup d'autres moyens à son employeur : elle n'avait même pas de bureau et squattait par intermittence celui du président qui, nous dit-on, "n'est sur place qu'en de rares occasions" ...
Hélas, cette intense activité n'a pas servi à grand chose puisque la RIVP a finalement décidé "de lancer une procédure de marché d'assistance externe pour le déménagement du siège". Bref, de refiler le bébé à une autre nounou.
Qui est donc cette fameuse Z ?
La loi étant rigoureuse pour ceux qui brisent le secret des rapports en question, nous nous bornerons à répéter ce que le petit monde parisien dit à l'envie : il s'agit de la femme d'un ancien collaborateur d'un président socialiste et ex-hiérarque dans le parti du même nom.
Chut ! N'allez pas le dire à Luc Ferry, il risquerait de trop parler !
A propos, le même rapport de la CRC nous apprend que la marge bénéficiaire de la RIVP est trois fois inférieure à celle des organismes franciliens équivalents. Sachant que ses locataires payent pourtant des loyers tout ce qu'il y a de plus conformes à ceux des autres occupants de logements sociaux, on se disait que les frais généraux sont bien lourds chez les bailleurs sociaux de la ville de Paris. Et justement, qu'apprend-on récemment ? Les "frais divers" à savoir essentiellement la publicité, les relations publiques, les déplacements et réceptions ont crû de 303 % en quatre ans, passant de 232 000 à 705 000 euros annuels. Voilà qui va mettre du baume au coeur des locataires quand ils recevront leurs appels !
A suivre ...