
L'extension du T3 s'enfonce dans le foncier
La délibération DVD 2008-257 qui a proclamé l'intérêt général de l'extension du T3 est muette sur un élément majeur du dossier, celui des acquisitions foncières nécessaires à cette extension. Aucune liste n'en est donnée, aucun élément n’est communiqué sur les acquisitions liées à la construction du système de transport (plate-forme des voies, des stations, des sous-stations d'alimentation électrique) qui ressortissent de la compétence du STIF et les acquisitions nécessaires à la réalisation des travaux de voirie et des aménagements qualitatifs à la charge de la ville de Paris.
En escamotant ce sujet, la ville perd toute crédibilité puisque, sans le support foncier qui conditionne son insertion urbaine, l'extension du T3 ne pourra être réalisée. La question foncière constitue un véritable préalable à la mise en œuvre du projet sans lequel il est illusoire et irresponsable de le présenter comme réalisable.
Mais Bertrand D. a l'habitude de surfer sur le virtuel. N'a-t-il pas bâti sa canopée des Halles sur les nuages ? Déjà dans le dossier Paris JO 2012, il faisait flotter le super-dôme au-dessus de la porte de la Chapelle et il avait rétréci l'échangeur BP/A1. Une cause parmi d’autres de la suspicion qui régnait in fine sur la candidature parisienne.
Grâce à lui, la mairie est devenue une bonne cliente pour les architectes-urbanistes qui vendent au prix fort toutes sortes de visions d’un Paris onirique qui n’a aucune chance de se concrétiser.
En revanche, le coût de ces fariboles n'est pas virtuel et il se retrouve et se retrouvera de plus en plus dans la hausse des impôts. Finalement, Bertrand le bâtisseur fait bel et bien pousser des IGH (impôts de grande hauteur).
La délibération DVD 2008-257 qui a proclamé l'intérêt général de l'extension du T3 est muette sur un élément majeur du dossier, celui des acquisitions foncières nécessaires à cette extension. Aucune liste n'en est donnée, aucun élément n’est communiqué sur les acquisitions liées à la construction du système de transport (plate-forme des voies, des stations, des sous-stations d'alimentation électrique) qui ressortissent de la compétence du STIF et les acquisitions nécessaires à la réalisation des travaux de voirie et des aménagements qualitatifs à la charge de la ville de Paris.
En escamotant ce sujet, la ville perd toute crédibilité puisque, sans le support foncier qui conditionne son insertion urbaine, l'extension du T3 ne pourra être réalisée. La question foncière constitue un véritable préalable à la mise en œuvre du projet sans lequel il est illusoire et irresponsable de le présenter comme réalisable.
Mais Bertrand D. a l'habitude de surfer sur le virtuel. N'a-t-il pas bâti sa canopée des Halles sur les nuages ? Déjà dans le dossier Paris JO 2012, il faisait flotter le super-dôme au-dessus de la porte de la Chapelle et il avait rétréci l'échangeur BP/A1. Une cause parmi d’autres de la suspicion qui régnait in fine sur la candidature parisienne.
Grâce à lui, la mairie est devenue une bonne cliente pour les architectes-urbanistes qui vendent au prix fort toutes sortes de visions d’un Paris onirique qui n’a aucune chance de se concrétiser.
En revanche, le coût de ces fariboles n'est pas virtuel et il se retrouve et se retrouvera de plus en plus dans la hausse des impôts. Finalement, Bertrand le bâtisseur fait bel et bien pousser des IGH (impôts de grande hauteur).