Paris est devenu le lieu d'un curieux alliage politique. La main mise de quelques oligarques sur la ville, notamment de Bernard Arnault et de son groupe LVMH, fait bon ménage avec la fabrication intensive de logements sociaux où une clientèle électorale reconnaissante vote pour Hidalgo et la "gauche" en n'écoutant que son ventre. Ah ! N'oublions pas quand même les bobos à vélo, alibis des deux soutiens précédents.
Ceux qui n'appartiennent pas à ces groupes sont l'objet d'une hostilité qui confine à la persécution notamment s'ils se déplacent en véhicules motorisés ou si, propriétaires fonciers, ils doivent payer les pots cassés.
Les milliards de dettes supplémentaires que laisseront les Jeux olympiques seront aussi pour leur pomme.
En attendant les barrières métalliques et QR codes instaurés par la mairie nous amènent vite à un point Godwin. C'est ni plus ni moins un univers concentrationnaire qui est mis en place le temps (provisoire?) de la fiesta. Car, par exemple, soyez sûrs que les radars installés sur le Périphérique trouveront un autre usage après les jeux.
Une question se pose quand on approche de la zone interdite de la rue de Rivoli. Qui sont les quelques cyclistes qu'on voit pédaler dans une rue quasi-déserte?
Des privilégiés, des affranchis, des membres d'associations verdisantes qui ont su obtenir l'ausweiss hidalguiste. Ils pourront cohabiter avec les clients des établissements LVMH dans un entre-soi dénaturé.
Au passage, il sera intéressant de connaître les chiffres de fréquentation du Louvre, isolé dans cette zone paranoïaque.
Tout ceci me rappelle curieusement l'une des premières photos publiées sur ce site il y a seize ans maintenant.
Prémonitoire. Cela justifiait bien que Delapolis reprenne un peu de service ...
Ceux qui n'appartiennent pas à ces groupes sont l'objet d'une hostilité qui confine à la persécution notamment s'ils se déplacent en véhicules motorisés ou si, propriétaires fonciers, ils doivent payer les pots cassés.
Les milliards de dettes supplémentaires que laisseront les Jeux olympiques seront aussi pour leur pomme.
En attendant les barrières métalliques et QR codes instaurés par la mairie nous amènent vite à un point Godwin. C'est ni plus ni moins un univers concentrationnaire qui est mis en place le temps (provisoire?) de la fiesta. Car, par exemple, soyez sûrs que les radars installés sur le Périphérique trouveront un autre usage après les jeux.
Une question se pose quand on approche de la zone interdite de la rue de Rivoli. Qui sont les quelques cyclistes qu'on voit pédaler dans une rue quasi-déserte?
Des privilégiés, des affranchis, des membres d'associations verdisantes qui ont su obtenir l'ausweiss hidalguiste. Ils pourront cohabiter avec les clients des établissements LVMH dans un entre-soi dénaturé.
Au passage, il sera intéressant de connaître les chiffres de fréquentation du Louvre, isolé dans cette zone paranoïaque.
Tout ceci me rappelle curieusement l'une des premières photos publiées sur ce site il y a seize ans maintenant.
Prémonitoire. Cela justifiait bien que Delapolis reprenne un peu de service ...
Photo classée monument politique historique