La retraite heureuse et coûteuse
"A Paris, les dépenses explosent. Chaque Vélib' coûterait chaque année 4 000 euros à la collectivité, selon l’économiste Frédéric Héran, auteur de Le Retour de la bicyclette (La Découverte, 2014)." Ce sont un journal, un chercheur et un éditeur de gauche qui l'écrivent !
Ce n'est pas faute pour le Delanopolis d'avoir, dès l'origine, démonté ce mécanisme dispendieux et démontré sa vacuité, chaque usage d'un Vélib' étant vertigineusement plus coûteux, en subventions, que celui du métro ou du bus pour la collectivité. La vitrine électoraliste de Delanoë était dorée et elle a abusé les esprits prompts à se laisser facilement esbroufer.
Serge Federbusch, pisteur du Delanopolis, avait même introduit un recours pour excès de pouvoir contre certains avenants qui, en douce, permettent à la mairie d'arroser Decaux qui ne voulait bien évidemment pas payer les violons du bal. Ces recours ont largement démontré les magouilles municipales. En avez-vous entendu parler dans les autres médias ? Jamais !
Pas plus que les 10 ans mystérieux passés par Hidalgo à l'Inspection du travail sans qu'elle y fasse rien qui ait laissé une trace et qui pourtant lui ont permis de partir à la retraite à 51 ans, avec une grasse pension qu'elle cumule aujourd'hui avec son indemnité de maire.
Bref, le scandale financier est partout sauf dans les colonnes des journaux propres sur eux.
Les employés de la ville qui se battent depuis des années pour faire rémunérer leur travail dominical plus qu'une aumône ont trouvé un argument supplémentaire !
Ce n'est pas faute pour le Delanopolis d'avoir, dès l'origine, démonté ce mécanisme dispendieux et démontré sa vacuité, chaque usage d'un Vélib' étant vertigineusement plus coûteux, en subventions, que celui du métro ou du bus pour la collectivité. La vitrine électoraliste de Delanoë était dorée et elle a abusé les esprits prompts à se laisser facilement esbroufer.
Serge Federbusch, pisteur du Delanopolis, avait même introduit un recours pour excès de pouvoir contre certains avenants qui, en douce, permettent à la mairie d'arroser Decaux qui ne voulait bien évidemment pas payer les violons du bal. Ces recours ont largement démontré les magouilles municipales. En avez-vous entendu parler dans les autres médias ? Jamais !
Pas plus que les 10 ans mystérieux passés par Hidalgo à l'Inspection du travail sans qu'elle y fasse rien qui ait laissé une trace et qui pourtant lui ont permis de partir à la retraite à 51 ans, avec une grasse pension qu'elle cumule aujourd'hui avec son indemnité de maire.
Bref, le scandale financier est partout sauf dans les colonnes des journaux propres sur eux.
Les employés de la ville qui se battent depuis des années pour faire rémunérer leur travail dominical plus qu'une aumône ont trouvé un argument supplémentaire !