Ce ne peut être la hausse artificielle du prix de l'immobilier provoquée par la politique de préemption clientéliste.
Ce ne peut être les difficultés à circuler et stationner, aggravées de manière démente par des idéologues.
Ce ne peut être la course toujours plus dure aux places de crèches.
Ce ne peut être la saleté de la ville.
Ni la hausse des impôts locaux.
Non ... c'est Airbnb !
Pourtant, depuis mai 2016, la mairie livre une guerre bureaucratique sans merci à ce site de location.
Si un particulier peut louer sa résidence principale sans en demander l'autorisation, la durée de location ne peut dépasser 4 mois par an sous peine d'une amende de 25 000 euros. Les propriétaires d'une résidence secondaire ont l’obligation de demander à la Mairie une autorisation. En cas de dépassement de la durée légale de 4 mois, l'appartement doit être reconverti en "meublé touristique", sous peine de se voir appliquer une amende de 80 000 euros, qui pourrait bientôt être portée à 100 000 euros.
Depuis la loi de Finance 2015, la Mairie de Paris contraint Airbnb à collecter la taxe municipale et départementale de séjour pour le compte de ses clients, au titre de "meublé touristique non classé". Cette dernière s'élève à 0,83 euro par voyageur et par nuit.
La Mairie a également créé une brigade chargée de vérifier la légalité des locations mises en ligne sur la plateforme. Des équipes composées d'une vingtaine de contrôleurs effectuent des visites aléatoires, notamment dans les quartiers particulièrement concernés par ce phénomène tels que le Marais, Saint-Germain-des-Prés ou encore Montmartre.
La délation par les voisins est même encouragée ..!
En réalité, la baisse de la population parisienne traduit le départ croissant des célibataires et surtout des jeunes familles qui n'en peuvent plus des nuisances et des coûts de la vie parisiens et s'en vont vivre en périphérie.
Ne resteront à ce train là, dans quelques années, que les privilégiés du logement clientéliste et les bienheureux propriétaires de leur logement de longue date, roulant à scooter, disposant d'un parking pour leur voiture le week-end et de revenus conséquents. Un monde dual qui convient si bien aux écocosocialistes parisiens ...
Ce ne peut être les difficultés à circuler et stationner, aggravées de manière démente par des idéologues.
Ce ne peut être la course toujours plus dure aux places de crèches.
Ce ne peut être la saleté de la ville.
Ni la hausse des impôts locaux.
Non ... c'est Airbnb !
Pourtant, depuis mai 2016, la mairie livre une guerre bureaucratique sans merci à ce site de location.
Si un particulier peut louer sa résidence principale sans en demander l'autorisation, la durée de location ne peut dépasser 4 mois par an sous peine d'une amende de 25 000 euros. Les propriétaires d'une résidence secondaire ont l’obligation de demander à la Mairie une autorisation. En cas de dépassement de la durée légale de 4 mois, l'appartement doit être reconverti en "meublé touristique", sous peine de se voir appliquer une amende de 80 000 euros, qui pourrait bientôt être portée à 100 000 euros.
Depuis la loi de Finance 2015, la Mairie de Paris contraint Airbnb à collecter la taxe municipale et départementale de séjour pour le compte de ses clients, au titre de "meublé touristique non classé". Cette dernière s'élève à 0,83 euro par voyageur et par nuit.
La Mairie a également créé une brigade chargée de vérifier la légalité des locations mises en ligne sur la plateforme. Des équipes composées d'une vingtaine de contrôleurs effectuent des visites aléatoires, notamment dans les quartiers particulièrement concernés par ce phénomène tels que le Marais, Saint-Germain-des-Prés ou encore Montmartre.
La délation par les voisins est même encouragée ..!
En réalité, la baisse de la population parisienne traduit le départ croissant des célibataires et surtout des jeunes familles qui n'en peuvent plus des nuisances et des coûts de la vie parisiens et s'en vont vivre en périphérie.
Ne resteront à ce train là, dans quelques années, que les privilégiés du logement clientéliste et les bienheureux propriétaires de leur logement de longue date, roulant à scooter, disposant d'un parking pour leur voiture le week-end et de revenus conséquents. Un monde dual qui convient si bien aux écocosocialistes parisiens ...