Ciao !!!
Il y a trois ans, un des premiers articles du Delanopolis s'était amusé à noter que Ken Livingstone, maire de Londres, Walter Vetroni, candidat au poste de président du conseil italien ou Franco Rutelli, postulant à la mairie de Rome, avaient un point commun : ils étaient tous les trois soutenus par Delanoë avant de se prendre une gamelle, à quelques semaines d'intervalle. Si vous cliquez ICI, vous en aurez la preuve.
La série noire reprend avec Titine de Lille, qui aura, au surplus, bénéficié de l'appui déterminant d'Anne Hidalgo, de l'avis général le plus mauvais porte-parole des primaires socialistes.
Hollande va-t-il vouloir se venger de ces deux-là ? En tout cas, Jean-Marie Le Guen et tous les "Hollandais" parisiens ont certainement l'intention de mener la vie dure à la pauvre Hidalgo à qui ils réservent un sort identique à celui de sa cheftaine lilloise.
Si Hollande devient un jour président de la République, le Delanopolis enverra aussitôt une supplique à l'humoriste corrézien promu chef de l'Etat : surtout, qu'il ne nomme pas Delanoë ministre ! Outre l'incompétence de ce dernier dans la quasi-totalité des sujets qui occupent un gouvernement, il ne s'agirait pour lui que de s'enfuir de l'Hôtel de ville avant que les bombes à retardement (dette, Halles, circulation, etc.) n'explosent au visage de la municipalité.
Pitié, qu'il nous le laisse ! L'échéance de 2014, qui excite déjà le Parti des Libertés et Serge Federbusch, serait nettement moins amusante sans la perspective de voir ce bonimenteur municipal sanctionné, directement ou par le truchement de sa prétendue "dauphine".
La série noire reprend avec Titine de Lille, qui aura, au surplus, bénéficié de l'appui déterminant d'Anne Hidalgo, de l'avis général le plus mauvais porte-parole des primaires socialistes.
Hollande va-t-il vouloir se venger de ces deux-là ? En tout cas, Jean-Marie Le Guen et tous les "Hollandais" parisiens ont certainement l'intention de mener la vie dure à la pauvre Hidalgo à qui ils réservent un sort identique à celui de sa cheftaine lilloise.
Si Hollande devient un jour président de la République, le Delanopolis enverra aussitôt une supplique à l'humoriste corrézien promu chef de l'Etat : surtout, qu'il ne nomme pas Delanoë ministre ! Outre l'incompétence de ce dernier dans la quasi-totalité des sujets qui occupent un gouvernement, il ne s'agirait pour lui que de s'enfuir de l'Hôtel de ville avant que les bombes à retardement (dette, Halles, circulation, etc.) n'explosent au visage de la municipalité.
Pitié, qu'il nous le laisse ! L'échéance de 2014, qui excite déjà le Parti des Libertés et Serge Federbusch, serait nettement moins amusante sans la perspective de voir ce bonimenteur municipal sanctionné, directement ou par le truchement de sa prétendue "dauphine".