Enlaidie sous Mitterrand, bientôt achevée par Hidalgo
Qu'on se le dise ! La ville s'apprête à investir près de dix milliards d'euros d'ici 2020 en projets mirifiques. L'accent est naturellement mis sur les préemptions clientélistes de logements dont les effets pervers, déjà sensibles sous Delanoë vont s'accentuer avec la délirante idée de consacrer des milliards à acheter dans le "diffus".
On observera que dans la communication d'Hidalgo sur le sujet, il est à peine question de la hausse de l'endettement, source principale de cette gabegie au détriment des Parisiens du futur.
Attardons-nous simplement aujourd'hui sur un des aspects de ce plan, qui démontre précisément la manipulation municipale.
Il s'agit de celui du réaménagement des places parisiennes.
Hidalgo prévoit de consacrer d'ici 2020 30 millions d'euros pour refaire la Nation, la Bastille, la place des fêtes, celle d'Italie, de Gambetta et de la madeleine.
Rappelons que le seul massacre de la République a coûté largement plus que ces 30 millions d'euros. Donc, soit Hidalgo installera des pots de fleurs, soit elle ne fera pas ce qu'elle dit, soit les dépenses sont outrageusement sous-estimées, comme pour tant de projets municipaux (le dernier en date étant le Carreau du Temple).
Bref, la culture de la dissimulation et de l'esbroufe se porte toujours aussi bien à l'Hôtel-de-Ville.
On observera que dans la communication d'Hidalgo sur le sujet, il est à peine question de la hausse de l'endettement, source principale de cette gabegie au détriment des Parisiens du futur.
Attardons-nous simplement aujourd'hui sur un des aspects de ce plan, qui démontre précisément la manipulation municipale.
Il s'agit de celui du réaménagement des places parisiennes.
Hidalgo prévoit de consacrer d'ici 2020 30 millions d'euros pour refaire la Nation, la Bastille, la place des fêtes, celle d'Italie, de Gambetta et de la madeleine.
Rappelons que le seul massacre de la République a coûté largement plus que ces 30 millions d'euros. Donc, soit Hidalgo installera des pots de fleurs, soit elle ne fera pas ce qu'elle dit, soit les dépenses sont outrageusement sous-estimées, comme pour tant de projets municipaux (le dernier en date étant le Carreau du Temple).
Bref, la culture de la dissimulation et de l'esbroufe se porte toujours aussi bien à l'Hôtel-de-Ville.