Après des interventions d’associations et de conseils de quartier, c’est le début des festivités.
Les délais de convocation n’ont tout simplement pas été respectés, ce qui rend illégales les délibérations prises dans la foulée. Il est difficile d’obtenir des précisions sur le règlement intérieur. Visiblement, il va falloir être attentif au respect de la loi et des conditions d’exercice du mandat des élus d’opposition ...
Rémi Féraud, le nouveau maire, siègera désormais avec un code des collectivités locales à portée de main, nous dit-il. C’est toujours ça de gagné.
Parmi les élus sympas on trouve Alain Lhostis, du PCF, du genre pas compliqué. Ça ne m’étonne pas qu’il n’ait pas été renouvelé dans ses fonctions d’adjoint au maire de Paris. Je me laisse un peu aller en lui demandant s’il connaît Marie-George Buffet, profitant d’une étourderie de sa part. Une partie de l’assistance rigole et l’autre est choquée par ma provocation gentillette.
Défilent ensuite des délibérations qui prétendent toutes faire du social : un immeuble confié à une société d’économie mixte qui n’a guère brillé par son action passée, une subvention, un vœu sur l’arrêt des expulsions locatives. Cette litanie de propos doucereux, dans un climat de consensus tiède, m’apparaît clairement comme une resucée socialisante des bonnes vieilles messes. Le problème de la gauche française viendrait-il du fait que ce sont les cathos de gauche qui, en sourdine, lui donnent le « la » ?
Quand je déclare qu’il ne suffit pas de bonnes intentions pour faire une bonne politique et que ce type de mesures conduit à terme à une paralysie du marché immobilier, je ne croise que des regards vides.
Les délais de convocation n’ont tout simplement pas été respectés, ce qui rend illégales les délibérations prises dans la foulée. Il est difficile d’obtenir des précisions sur le règlement intérieur. Visiblement, il va falloir être attentif au respect de la loi et des conditions d’exercice du mandat des élus d’opposition ...
Rémi Féraud, le nouveau maire, siègera désormais avec un code des collectivités locales à portée de main, nous dit-il. C’est toujours ça de gagné.
Parmi les élus sympas on trouve Alain Lhostis, du PCF, du genre pas compliqué. Ça ne m’étonne pas qu’il n’ait pas été renouvelé dans ses fonctions d’adjoint au maire de Paris. Je me laisse un peu aller en lui demandant s’il connaît Marie-George Buffet, profitant d’une étourderie de sa part. Une partie de l’assistance rigole et l’autre est choquée par ma provocation gentillette.
Défilent ensuite des délibérations qui prétendent toutes faire du social : un immeuble confié à une société d’économie mixte qui n’a guère brillé par son action passée, une subvention, un vœu sur l’arrêt des expulsions locatives. Cette litanie de propos doucereux, dans un climat de consensus tiède, m’apparaît clairement comme une resucée socialisante des bonnes vieilles messes. Le problème de la gauche française viendrait-il du fait que ce sont les cathos de gauche qui, en sourdine, lui donnent le « la » ?
Quand je déclare qu’il ne suffit pas de bonnes intentions pour faire une bonne politique et que ce type de mesures conduit à terme à une paralysie du marché immobilier, je ne croise que des regards vides.