Les attentats de cette nuit vont forcément amener les autruches qui peuplent la politique et les médias français à tenter de leur attribuer une cause étrangère. C’est déjà ce que fait le soi-disant président Hollande en "fermant" les frontières. Cela ne changera rien et nos services de renseignement resteront toujours aussi inefficaces.
Car le mal est en nous et il est français.
En achevant mon livre «La marche des Lemmings» consacré aux meurtres de janvier dernier et à la marche stérile qui les avait suivis j’écrivais : «L’Etat a réagi à des crimes par des discours vides de sens. Il s’en prend à des hurluberlus, tente de museler Internet et continue de détourner son regard des vrais progrès du fondamentalisme sur notre territoire. Le danger est trop grand pour qu’on le nomme. Mais les faits sont têtus. Tôt ou tard, les lemmings vont devoir apprendre à lutter.»
La triste réalité est qu’une fraction importante de la population musulmane vivant sur notre territoire a cédé à un repli communautaire déjà avancé. Elle se constitue peu à peu en contre-société et l'on voit des sociologues et des intellectuels expliquer qu'il faut s'y résigner. Une partie de cette population, très réduite en nombre mais extrêmement dangereuse, est engagée dans un combat terroriste. La situation en Syrie n’est qu’un prétexte. Daech et ses envoyés en France ont largement de quoi trouver sur place matière à perpétrer leurs massacres.
On peut certes se dire qu’il ne faut pas céder à la provocation fût-elle criminelle. Mais le problème est que la retenue et l’intelligence sont de nulle efficacité face à un mal qui ne peut être combattu que par une force implacable.
Il ne servait à rien de tergiverser ou d’être subtil face aux nazis.
La seule solution aux drames présents et à venir est donc d’écraser cette menace. Hollande va tenter de récupérer la situation comme à son habitude. Ah ! S'il pouvait même se dispenser d'élections ! Mais ces manoeuvres ne changeront rien. Il faut traiter le mal à la racine et cela passe par l’interdiction du voile et des accoutrements fondamentalistes, la fermeture des mosquées gagnées par le salafisme, la répression systématique du communautarisme sectaire. Ainsi, les musulmans de France auront le choix : ceux qui privilégient une foi régressive et refermée devront partir et les autres accepter vraiment l’Etat laïc.
Ce qui est certain, c'est que ces drames se répéteront.
Car le mal est en nous et il est français.
En achevant mon livre «La marche des Lemmings» consacré aux meurtres de janvier dernier et à la marche stérile qui les avait suivis j’écrivais : «L’Etat a réagi à des crimes par des discours vides de sens. Il s’en prend à des hurluberlus, tente de museler Internet et continue de détourner son regard des vrais progrès du fondamentalisme sur notre territoire. Le danger est trop grand pour qu’on le nomme. Mais les faits sont têtus. Tôt ou tard, les lemmings vont devoir apprendre à lutter.»
La triste réalité est qu’une fraction importante de la population musulmane vivant sur notre territoire a cédé à un repli communautaire déjà avancé. Elle se constitue peu à peu en contre-société et l'on voit des sociologues et des intellectuels expliquer qu'il faut s'y résigner. Une partie de cette population, très réduite en nombre mais extrêmement dangereuse, est engagée dans un combat terroriste. La situation en Syrie n’est qu’un prétexte. Daech et ses envoyés en France ont largement de quoi trouver sur place matière à perpétrer leurs massacres.
On peut certes se dire qu’il ne faut pas céder à la provocation fût-elle criminelle. Mais le problème est que la retenue et l’intelligence sont de nulle efficacité face à un mal qui ne peut être combattu que par une force implacable.
Il ne servait à rien de tergiverser ou d’être subtil face aux nazis.
La seule solution aux drames présents et à venir est donc d’écraser cette menace. Hollande va tenter de récupérer la situation comme à son habitude. Ah ! S'il pouvait même se dispenser d'élections ! Mais ces manoeuvres ne changeront rien. Il faut traiter le mal à la racine et cela passe par l’interdiction du voile et des accoutrements fondamentalistes, la fermeture des mosquées gagnées par le salafisme, la répression systématique du communautarisme sectaire. Ainsi, les musulmans de France auront le choix : ceux qui privilégient une foi régressive et refermée devront partir et les autres accepter vraiment l’Etat laïc.
Ce qui est certain, c'est que ces drames se répéteront.