Dernière en date : le porte-parole du gouvernement a dénoncé la tribune publiée signée par 100 personnalités dans Le Figaro parmi lesquelles Alain Finkielkraut ou Pierre Nora, qui fustige le séparatisme islamique. Griveaux regrette, le pauvre chou, l'emploi du terme «apartheid» que ces radicaux du coran veulent pourtant de facto instaurer sur les territoires où ils aspirent à être majoritaires.
Répondant aux questions d'Ali Baddou, le porte-parole du gouvernement a déclaré : «Il y a un mot qui me gêne dans cette tribune, c'est le terme employé d'apartheid.» Il admet qu'il existe «des quartiers de la République où le salafisme a pris le pouvoir» mais il l’impute aux «défaillances de certains services publics, écoles ou accompagnement des personnes âgées».
Griveaux, va même plus loin : «La reconquête, elle ne se fait pas dans les tribunes, en stigmatisant, en expliquant que c'est des zones d'apartheid, elle se fait avec la police de sécurité du quotidien, elle se fait en dédoublant les classes et en ayant deux fois moins d'élèves dans les quartiers difficiles ».
Bref, vous l’avez compris, pareil à un Mélenchon ou un Indigène de la République, Griveaux considère que les vrais responsables sont le peuple français et son Etat qui n’en font pas suffisamment pour ces pauvres victimes que sont les musulmans abandonnés dans leurs banlieues.
Il n’a pas dû entendre parler des dizaines de milliards d’euros déversés en pure perte sous le nom de politique de la ville et qui n’ont eu d’effet que de nourrir la bête communautariste qui n’a qu’un seul objectif : la conquête du pouvoir en France et l’instauration de la charia en profitant de la naïveté et de la faiblesse du « pouvoir ».
C’est toute proportion gardée le même discours que celui de son chef qui se bat la coulpe sur les prétendus crimes contre l’humanité dont la France serait responsable du fait de la politique coloniale. Nous sommes bel et bien en présence d’un discours de soumission à peine déguisé.
Voilà ce que Macron veut installer à l’Hôtel-de-ville de Paris.
Les combattre n’en est décidément que plus nécessaire.
Répondant aux questions d'Ali Baddou, le porte-parole du gouvernement a déclaré : «Il y a un mot qui me gêne dans cette tribune, c'est le terme employé d'apartheid.» Il admet qu'il existe «des quartiers de la République où le salafisme a pris le pouvoir» mais il l’impute aux «défaillances de certains services publics, écoles ou accompagnement des personnes âgées».
Griveaux, va même plus loin : «La reconquête, elle ne se fait pas dans les tribunes, en stigmatisant, en expliquant que c'est des zones d'apartheid, elle se fait avec la police de sécurité du quotidien, elle se fait en dédoublant les classes et en ayant deux fois moins d'élèves dans les quartiers difficiles ».
Bref, vous l’avez compris, pareil à un Mélenchon ou un Indigène de la République, Griveaux considère que les vrais responsables sont le peuple français et son Etat qui n’en font pas suffisamment pour ces pauvres victimes que sont les musulmans abandonnés dans leurs banlieues.
Il n’a pas dû entendre parler des dizaines de milliards d’euros déversés en pure perte sous le nom de politique de la ville et qui n’ont eu d’effet que de nourrir la bête communautariste qui n’a qu’un seul objectif : la conquête du pouvoir en France et l’instauration de la charia en profitant de la naïveté et de la faiblesse du « pouvoir ».
C’est toute proportion gardée le même discours que celui de son chef qui se bat la coulpe sur les prétendus crimes contre l’humanité dont la France serait responsable du fait de la politique coloniale. Nous sommes bel et bien en présence d’un discours de soumission à peine déguisé.
Voilà ce que Macron veut installer à l’Hôtel-de-ville de Paris.
Les combattre n’en est décidément que plus nécessaire.