Le prétexte vaseux de cet appui était, selon Plenel, qu'un détachement armé de républicains espagnols avait, parmi les premiers, pénétré dans Paris en juillet 1944.
On ne voit pas en quoi la rejetonne d'une famille andalouse immigrée en France en 1961 pour des raisons économiques bénéficierait de ce fait d'armes. Cela relève d'un à-peu-près historique du même niveau que celui qui a valu à Hidalgo d'être récemment condamnée par la justice car elle prétendait que le Front national, créé en 1972, avait collaboré avec l'occupant.
Mais passons ...
Mediapart et Plenel, si prompts à dénoncer les moindres turpitudes socialistes, ne se sont curieusement jamais intéressés aux trous dans le CV d'Hidalgo à l'Inspection du Travail ou à ses approximations sur ses revenus. Plenel et Mediapart ont ignoré de même les accommodements douteux de la mairie de Paris avec Unibail aux Halles ou Porte de Versailles, alors que ce groupé privé payait dans le journal d'Hidalgo une publicité à tout le moins choquante.
Mediapart et Plenel n'ont jamais questionné non plus la tartufferie d'Hidalgo sur la question de l'accueil des migrants.
Leurs relations sont en vérité au beau fixe. Mediapart organise une fois par mois à la Maison des Métallos, gouffre à subventions de sinistre réputation pour les Parisiens, des débats tout ce qu'il y a de plus gauchement corrects.
Et ils l'avouent ! "Mediapart, le journal d'information numérique, indépendant et participatif, désormais partenaire complice, et la Maison des métallos proposent un débat d'actualité un lundi par mois sur la mezzanine."
Partenaires complices ... on ne saurait mieux dire !
Notons encore, et ce n'est jamais dit, que les bureaux de Mediapart sont situés au 8, passage Brulon, dans un local municipal. Qu'en dit Médiapart ? "Le 8 passage Brulon est aujourd'hui un hôtel industriel géré par la mairie de Paris, qui regroupe des artisans du bois et des entreprises de haute technologie : ébénistes, designers, créateurs de jeux vidéos." On ne voit pas bien ce qu'un site d'informations en ligne va faire dans ce type de structures post industrielles portées à bout de bras par la mairie.
Et ce n'est pas tout : ce lieu a été réhabilité pour la ville et la RIVP par l'agence Seura ... celle de David Mangin à qui la ville avait confié le réaménagement des Halles ! Que des copains ...
Dernier avatar des troubles relations entre Plenel et Hidalgo : ils co-animeront une "Nuit des débats", colifichet inventé par la mairie pour faire oublier ses carences dans tous les domaines, le 2 avril prochain ... dans l'église Saint Eustache !
Ce sera sans doute l'occasion pour ce petit monde de tenter de vanter l'aérogare Roissy 4, plus connue sous le nom de Canopée, centre commercial largement refait aux frais des Parisiens et au bénéfice d'Unibail.
"Que peut encore la politique ?" Tel sera le thème concédé à Hidalgo pour commencer son entreprise de conquête du PS après la déculottée qui va s'abattre sur lui de manière désormais imminente (voir en cliquant LA).
Entre soi, absence de questions qui gênent, petits services entre amis : il est fameux le journalisme d'investigation !
On ne voit pas en quoi la rejetonne d'une famille andalouse immigrée en France en 1961 pour des raisons économiques bénéficierait de ce fait d'armes. Cela relève d'un à-peu-près historique du même niveau que celui qui a valu à Hidalgo d'être récemment condamnée par la justice car elle prétendait que le Front national, créé en 1972, avait collaboré avec l'occupant.
Mais passons ...
Mediapart et Plenel, si prompts à dénoncer les moindres turpitudes socialistes, ne se sont curieusement jamais intéressés aux trous dans le CV d'Hidalgo à l'Inspection du Travail ou à ses approximations sur ses revenus. Plenel et Mediapart ont ignoré de même les accommodements douteux de la mairie de Paris avec Unibail aux Halles ou Porte de Versailles, alors que ce groupé privé payait dans le journal d'Hidalgo une publicité à tout le moins choquante.
Mediapart et Plenel n'ont jamais questionné non plus la tartufferie d'Hidalgo sur la question de l'accueil des migrants.
Leurs relations sont en vérité au beau fixe. Mediapart organise une fois par mois à la Maison des Métallos, gouffre à subventions de sinistre réputation pour les Parisiens, des débats tout ce qu'il y a de plus gauchement corrects.
Et ils l'avouent ! "Mediapart, le journal d'information numérique, indépendant et participatif, désormais partenaire complice, et la Maison des métallos proposent un débat d'actualité un lundi par mois sur la mezzanine."
Partenaires complices ... on ne saurait mieux dire !
Notons encore, et ce n'est jamais dit, que les bureaux de Mediapart sont situés au 8, passage Brulon, dans un local municipal. Qu'en dit Médiapart ? "Le 8 passage Brulon est aujourd'hui un hôtel industriel géré par la mairie de Paris, qui regroupe des artisans du bois et des entreprises de haute technologie : ébénistes, designers, créateurs de jeux vidéos." On ne voit pas bien ce qu'un site d'informations en ligne va faire dans ce type de structures post industrielles portées à bout de bras par la mairie.
Et ce n'est pas tout : ce lieu a été réhabilité pour la ville et la RIVP par l'agence Seura ... celle de David Mangin à qui la ville avait confié le réaménagement des Halles ! Que des copains ...
Dernier avatar des troubles relations entre Plenel et Hidalgo : ils co-animeront une "Nuit des débats", colifichet inventé par la mairie pour faire oublier ses carences dans tous les domaines, le 2 avril prochain ... dans l'église Saint Eustache !
Ce sera sans doute l'occasion pour ce petit monde de tenter de vanter l'aérogare Roissy 4, plus connue sous le nom de Canopée, centre commercial largement refait aux frais des Parisiens et au bénéfice d'Unibail.
"Que peut encore la politique ?" Tel sera le thème concédé à Hidalgo pour commencer son entreprise de conquête du PS après la déculottée qui va s'abattre sur lui de manière désormais imminente (voir en cliquant LA).
Entre soi, absence de questions qui gênent, petits services entre amis : il est fameux le journalisme d'investigation !