Ceci n'est pas une flèche ...
Hidalgo et sa majorité pleurnichent dans un courrier à Cazeneuve.
"Trop de sans-papiers n’ont pas de toit à Paris, il s’agit d’une situation aberrante d’un point de vue humanitaire et budgétaire. Entre 2 500 et 3 500 personnes dorment dans les rues parisiennes ... maintenir des personnes en centre d’hébergement ou à l’hôtel alors que certaines pourraient travailler, trouver un logement, accéder à des dispositifs d’insertion de droit commun, est coûteux, pour la collectivité dans son ensemble. Le coût est bien supérieur à un loyer dans un logement pérenne ".
La maire de la capitale appelle le gouvernement à prendre ses « responsabilités » pour que « soient examinées des demandes de régularisation concernant la situation » de personnes qui sont « en zone grise : en séjour irrégulier, mais non expulsables dans les faits ». Parmi les quelque 500 individus qui pourraient être régularisés,
Hidalgo a entre autres identifié des personnes qui « ont amorcé une trajectoire d’insertion par le travail » : des « jeunes scolarisés » ou des adultes « ayant des promesses d’embauche ». Il y a enfin les étrangers en France « depuis des années » qui ont connu l’« errance » et ne peuvent donc fournir toutes « les pièces demandées ». Pour ceux-là, la maire de Paris demande une « mise en œuvre bienveillante » de la circulaire sur la régularisation des sans-papiers prise par Manuel Valls, alors ministre de l’intérieur, le 28 novembre 2012.
A nouveau, il s'agit de suppléer (en très petite partie) au laxisme par le renoncement, bref de tirer parti de sa propre turpitude politique. Puisque l'hébergement d'urgence coûte cher, Hidalgo va sans doute utiliser de manière pérenne les impôts et la dette des Parisiens en logeant définitivement les régularisés dans des appartements préemptés à grand prix.
Cette générosité aux dépens d'autrui est absurde et délétère. Soit l'on supprime toutes les protections du code du travail et le système d'allocations en tout genre. Que le meilleur gagne : la France peut s'ouvrir à tous ceux qui veulent y travailler à la seule condition d'être impitoyable pour les délinquants. Ce sont les Etats-Unis du Far-West : 10 % de croissance par an et pas mal de macchabées.
Soit les socialistes veulent défendre leur prétendue exemplarité sociale et alors le contrôle strict de l'immigration est indispensable, sans aucune faiblesse ni régularisation. Faute de quoi l'effet attractif finit toujours par l'emporter.
En attendant, Hidalgo la démago n'a pas fini de se moquer des Parisiens et de les saigner.
"Trop de sans-papiers n’ont pas de toit à Paris, il s’agit d’une situation aberrante d’un point de vue humanitaire et budgétaire. Entre 2 500 et 3 500 personnes dorment dans les rues parisiennes ... maintenir des personnes en centre d’hébergement ou à l’hôtel alors que certaines pourraient travailler, trouver un logement, accéder à des dispositifs d’insertion de droit commun, est coûteux, pour la collectivité dans son ensemble. Le coût est bien supérieur à un loyer dans un logement pérenne ".
La maire de la capitale appelle le gouvernement à prendre ses « responsabilités » pour que « soient examinées des demandes de régularisation concernant la situation » de personnes qui sont « en zone grise : en séjour irrégulier, mais non expulsables dans les faits ». Parmi les quelque 500 individus qui pourraient être régularisés,
Hidalgo a entre autres identifié des personnes qui « ont amorcé une trajectoire d’insertion par le travail » : des « jeunes scolarisés » ou des adultes « ayant des promesses d’embauche ». Il y a enfin les étrangers en France « depuis des années » qui ont connu l’« errance » et ne peuvent donc fournir toutes « les pièces demandées ». Pour ceux-là, la maire de Paris demande une « mise en œuvre bienveillante » de la circulaire sur la régularisation des sans-papiers prise par Manuel Valls, alors ministre de l’intérieur, le 28 novembre 2012.
A nouveau, il s'agit de suppléer (en très petite partie) au laxisme par le renoncement, bref de tirer parti de sa propre turpitude politique. Puisque l'hébergement d'urgence coûte cher, Hidalgo va sans doute utiliser de manière pérenne les impôts et la dette des Parisiens en logeant définitivement les régularisés dans des appartements préemptés à grand prix.
Cette générosité aux dépens d'autrui est absurde et délétère. Soit l'on supprime toutes les protections du code du travail et le système d'allocations en tout genre. Que le meilleur gagne : la France peut s'ouvrir à tous ceux qui veulent y travailler à la seule condition d'être impitoyable pour les délinquants. Ce sont les Etats-Unis du Far-West : 10 % de croissance par an et pas mal de macchabées.
Soit les socialistes veulent défendre leur prétendue exemplarité sociale et alors le contrôle strict de l'immigration est indispensable, sans aucune faiblesse ni régularisation. Faute de quoi l'effet attractif finit toujours par l'emporter.
En attendant, Hidalgo la démago n'a pas fini de se moquer des Parisiens et de les saigner.