Hidalgo, a appelé jeudi dernier l’État à "mettre à l’abri", selon son vocabulaire pseudo compassionnel, plus de 2.000 migrants installés sur des campements «indignes» de la capitale, promettant de se rendre chaque vendredi porte de la Villette pour garder «visible» une situation «inacceptable».
«On voit aujourd’hui réapparaître des campements dans Paris, avec 1.500 personnes porte de la Villette, 800 sur le canal Saint Martin...» dans le nord-est de Paris, a-t-elle fait semblant de déplorer dans un entretien à l’AFP, quelques jours après la fermeture du «centre de premier accueil» qui servait de «sas» aux migrants depuis novembre 2016.
N'écoutant que son sens de la mise en scène et de l'hypocrisie, elle a «décidé de (se) rendre tous les vendredis à la Villette pour que le sujet reste visible».
Et elle a, au passage, remis une couche de défaitisme migratoire en déclarant : "On peut toujours porter un message de fermeté, dire "on va renvoyer tous les dublinés". Mais ce message n’est pas réaliste. Ça ne se passe pas du tout comme ça».
Bref, il faut continuer de subir et chouiner pour que l'Etat dépense ensuite des dizaines de millions en structures d'accueil qui seront autant de nouvelles pompes aspirantes, celles que la ville de Paris ne peut plus payer.
Rappelons à nos lecteurs, même si certains s'en souviennent, qu'Hidalgo a par son attitude même mis en place ces aspirateurs à migrants dans Paris.
Le centre pour réfugiés inauguré avec cellule d'accueil dans une bulle gonflable en novembre 2016 à proximité de la porte de la Chapelle, au 70 boulevard Ney dans le XVIIIe arrondissement, comptait d'abord 400 lits, puis rapidement 600.
Evidemment, le baratin qui voulait que "les migrants aient vocation à rester cinq à dix jours dans le centre" n'a pas résisté aux réalités. L'engorgement quasi immédiat a été synonyme de débordement d'autant qu'Hidalgo, jamais à cours de démagogie, avait posé l'accueil inconditionnel comme principe à l'entrée.
Les camps sauvages ont donc rapidement ressurgi, les évacuations aussi, et tout cela coûte cher. Le seul centre du 18ème revenait à environ 8,6 millions d'euros annuels en frais de fonctionnement, dont 7,24 millions pour l'État. Et les locaux se sont immédiatement dégradés. La situation était donc ingérable et il a fallu fermer les lieux.
Pas étonnant que l'Etat en ait assez des promesses inconsidérées d'Hidalgo.
Aujourd'hui le système est au bord de l'explosion et des milliers de clandestins vont essaimer en autant de Sangatte parisiens.
Mammaire de Paris, nourrice auto-proclamée de tous ces pauvres hères (souvent possesseurs d'i-phone 8 et autres Samsung quand même ... ) va larmoyer et tenter de faire porter aux autres le chapeau de son incompétence et de ses mensonges.
La vie va être merveilleuse dans les arrondissements du Nord de Paris ...
«On voit aujourd’hui réapparaître des campements dans Paris, avec 1.500 personnes porte de la Villette, 800 sur le canal Saint Martin...» dans le nord-est de Paris, a-t-elle fait semblant de déplorer dans un entretien à l’AFP, quelques jours après la fermeture du «centre de premier accueil» qui servait de «sas» aux migrants depuis novembre 2016.
N'écoutant que son sens de la mise en scène et de l'hypocrisie, elle a «décidé de (se) rendre tous les vendredis à la Villette pour que le sujet reste visible».
Et elle a, au passage, remis une couche de défaitisme migratoire en déclarant : "On peut toujours porter un message de fermeté, dire "on va renvoyer tous les dublinés". Mais ce message n’est pas réaliste. Ça ne se passe pas du tout comme ça».
Bref, il faut continuer de subir et chouiner pour que l'Etat dépense ensuite des dizaines de millions en structures d'accueil qui seront autant de nouvelles pompes aspirantes, celles que la ville de Paris ne peut plus payer.
Rappelons à nos lecteurs, même si certains s'en souviennent, qu'Hidalgo a par son attitude même mis en place ces aspirateurs à migrants dans Paris.
Le centre pour réfugiés inauguré avec cellule d'accueil dans une bulle gonflable en novembre 2016 à proximité de la porte de la Chapelle, au 70 boulevard Ney dans le XVIIIe arrondissement, comptait d'abord 400 lits, puis rapidement 600.
Evidemment, le baratin qui voulait que "les migrants aient vocation à rester cinq à dix jours dans le centre" n'a pas résisté aux réalités. L'engorgement quasi immédiat a été synonyme de débordement d'autant qu'Hidalgo, jamais à cours de démagogie, avait posé l'accueil inconditionnel comme principe à l'entrée.
Les camps sauvages ont donc rapidement ressurgi, les évacuations aussi, et tout cela coûte cher. Le seul centre du 18ème revenait à environ 8,6 millions d'euros annuels en frais de fonctionnement, dont 7,24 millions pour l'État. Et les locaux se sont immédiatement dégradés. La situation était donc ingérable et il a fallu fermer les lieux.
Pas étonnant que l'Etat en ait assez des promesses inconsidérées d'Hidalgo.
Aujourd'hui le système est au bord de l'explosion et des milliers de clandestins vont essaimer en autant de Sangatte parisiens.
Mammaire de Paris, nourrice auto-proclamée de tous ces pauvres hères (souvent possesseurs d'i-phone 8 et autres Samsung quand même ... ) va larmoyer et tenter de faire porter aux autres le chapeau de son incompétence et de ses mensonges.
La vie va être merveilleuse dans les arrondissements du Nord de Paris ...