La FUAJ ( Fédération Unie des Auberges de Jeunesse ), qui devait construire l'AJ de 330 lits, a jeté l'éponge et c'est la mairie de Paris qui passera à la caisse et réglera le coût de la construction soit 25,5 M€ sur 28,2 M€ , les 2,7 M€ restants étant pris en charge par la région IDF.
Le prix de cette AJ avec dortoirs et sanitaires sur le palier atteint un montant digne d'un **** avec les exigences du plan climat municipal : 28,2 M€ pour 4 400 M² soit un coût de construction qui dépasse les 6 300 € /M², foncier exclu, pour un bâtiment de faible hauteur sans fondations spéciales, ni ornements de façade particuliers à l'exception de planches de mélèze pour faire écolo.
Pour l'ombrelle photovoltaïque, même avatar, la sté DALKIA - filiale de Véolia Environnement et d'EDF - qui devait la construire à ses frais avec versement pendant 20 ans d'une redevance annuelle de 3 500 € à la mairie de Paris à renoncé à cette aubaine et c'est la mairie qui financera la centrale photovoltaïque. La commande a déjà été passée mais la délibération sus-mentionnée n'en souffle mot et ne dit rien de son coût ( http://www.armorgreen.fr/?p=2070 ).
Compte tenu de l'ensoleillement variable de la capitale, des frais d'entretien de la centrale, le retour sur investissement n'est guère assuré et le plan climat conduit à de nouveau gouffres financiers que les contribuables parisiens vont devoir combler.
L'énergie renouvelable et les BBC ( Bâtiments Basse Consommation ) : les nouveaux habits du gaspillage municipal. On avait commencé avec les éoliennes-gadgets du parc de Belleville, avec Pajol, on passe à la vitesse supérieure.
Le prix de cette AJ avec dortoirs et sanitaires sur le palier atteint un montant digne d'un **** avec les exigences du plan climat municipal : 28,2 M€ pour 4 400 M² soit un coût de construction qui dépasse les 6 300 € /M², foncier exclu, pour un bâtiment de faible hauteur sans fondations spéciales, ni ornements de façade particuliers à l'exception de planches de mélèze pour faire écolo.
Pour l'ombrelle photovoltaïque, même avatar, la sté DALKIA - filiale de Véolia Environnement et d'EDF - qui devait la construire à ses frais avec versement pendant 20 ans d'une redevance annuelle de 3 500 € à la mairie de Paris à renoncé à cette aubaine et c'est la mairie qui financera la centrale photovoltaïque. La commande a déjà été passée mais la délibération sus-mentionnée n'en souffle mot et ne dit rien de son coût ( http://www.armorgreen.fr/?p=2070 ).
Compte tenu de l'ensoleillement variable de la capitale, des frais d'entretien de la centrale, le retour sur investissement n'est guère assuré et le plan climat conduit à de nouveau gouffres financiers que les contribuables parisiens vont devoir combler.
L'énergie renouvelable et les BBC ( Bâtiments Basse Consommation ) : les nouveaux habits du gaspillage municipal. On avait commencé avec les éoliennes-gadgets du parc de Belleville, avec Pajol, on passe à la vitesse supérieure.