Pas sûr, vu le nombre de salles sans surveillance
Au Petit Palais on joue vraiment avec le feu niveau sécurité. Jusqu’à maintenant la direction du musée contrainte par le manque d’effectif des agents de surveillance fermait quotidiennement l’accès à de nombreuses salles (parfois jusqu’à un tiers de la surface).
On ne sait quelle mouche l’a piquée car désormais elle a décidé d’ouvrir….. toutes les salles du musée alors que le personnel n’est toujours pas plus nombreux. Résultat, de nombreuses salles se retrouvent sans surveillance en pleine exposition sur les maitres de la peinture flamande (Jordaens, la gloire d’Anvers). On a même vu des enfants monter sur des statues sous l’œil bienveillant de leurs parents. D’autres n’hésitent pas à toucher les tableaux.
Pas étonnant quand ont sait que la direction du musée a fait retirer tout les éléments qui empêchaient d’approcher de trop près les œuvres notamment les cordons de sécurité Notons que nombre de ces tableaux viennent du monde entier. Nous aimerions savoir ce qu’en pensent les musées préteurs et leurs assureurs ?
Lire la suite ICI.
Ces inquiétudes n'ont en tout cas pas effarouché les invités de la récente soirée privée LVMH qui fut, à en croire les mêmes agents de surveillance, bien arrosée : " C’est vraiment de mieux en mieux depuis la création de l’Etablissement Public Paris-Musées, la structure qui chapeaute désormais les musées municipaux parisiens.
Il y a quelques jours le musée du Petit Palais organisait une énième soirée privée, cette fois-ci au profit de la société LVMH. Il est vrai que celle-ci a toujours été bien en cours à la mairie de Paris, arrivant même à placer un de ses salariés comme adjoint à la culture.
Mais à l’occasion de cet événement qui n’avait pourtant rien de culturel, on a innové. D’habitude ces pince-fesses étaient organisés dans l’entrée du musée ou dans des salles dépourvues d’œuvre d’art. Cette fois-ci, cela s’est déroulé au milieu des collections du Petit Palais où les invités de cette marque spécialisée dans le luxe se bâfraient de petits fours et se noyaient dans le champagne (du Moët?) sous l’œil atterrés des agents présents pour assurer la surveillance des lieux.
Le champagne coulait tellement à flot que nombre de convives s’étaient vite retrouvés positif à l’alcootest. Si positif d’ailleurs qu’ils ont porté atteinte à l’intégrité des œuvres. Leurs flutes de champagnes ont failli à plusieurs reprises arroser les statues qui n’en demandaient pas tant."
Au Petit Palais on joue vraiment avec le feu niveau sécurité. Jusqu’à maintenant la direction du musée contrainte par le manque d’effectif des agents de surveillance fermait quotidiennement l’accès à de nombreuses salles (parfois jusqu’à un tiers de la surface).
On ne sait quelle mouche l’a piquée car désormais elle a décidé d’ouvrir….. toutes les salles du musée alors que le personnel n’est toujours pas plus nombreux. Résultat, de nombreuses salles se retrouvent sans surveillance en pleine exposition sur les maitres de la peinture flamande (Jordaens, la gloire d’Anvers). On a même vu des enfants monter sur des statues sous l’œil bienveillant de leurs parents. D’autres n’hésitent pas à toucher les tableaux.
Pas étonnant quand ont sait que la direction du musée a fait retirer tout les éléments qui empêchaient d’approcher de trop près les œuvres notamment les cordons de sécurité Notons que nombre de ces tableaux viennent du monde entier. Nous aimerions savoir ce qu’en pensent les musées préteurs et leurs assureurs ?
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Ces inquiétudes n'ont en tout cas pas effarouché les invités de la récente soirée privée LVMH qui fut, à en croire les mêmes agents de surveillance, bien arrosée : " C’est vraiment de mieux en mieux depuis la création de l’Etablissement Public Paris-Musées, la structure qui chapeaute désormais les musées municipaux parisiens.
Il y a quelques jours le musée du Petit Palais organisait une énième soirée privée, cette fois-ci au profit de la société LVMH. Il est vrai que celle-ci a toujours été bien en cours à la mairie de Paris, arrivant même à placer un de ses salariés comme adjoint à la culture.
Mais à l’occasion de cet événement qui n’avait pourtant rien de culturel, on a innové. D’habitude ces pince-fesses étaient organisés dans l’entrée du musée ou dans des salles dépourvues d’œuvre d’art. Cette fois-ci, cela s’est déroulé au milieu des collections du Petit Palais où les invités de cette marque spécialisée dans le luxe se bâfraient de petits fours et se noyaient dans le champagne (du Moët?) sous l’œil atterrés des agents présents pour assurer la surveillance des lieux.
Le champagne coulait tellement à flot que nombre de convives s’étaient vite retrouvés positif à l’alcootest. Si positif d’ailleurs qu’ils ont porté atteinte à l’intégrité des œuvres. Leurs flutes de champagnes ont failli à plusieurs reprises arroser les statues qui n’en demandaient pas tant."