Nos lecteurs savent, et ils sont bien les seuls vu le silence des médias, qu'Hidalgo a bénéficié d'une scandaleuse retraite à 52 ans après avoir passé au moins dix années mystérieuses à temps plein à l'Inspection du travail alors qu'elle était en même temps première adjointe au maire de Paris, en charge de différents secteurs municipaux dont celui très lourd de l'urbanisme et, au surplus, conseillère régionale d'Île-de-France et secrétaire nationale du parti socialiste.
Un quadruple cumul de tâches impossible sauf à ne rien faire dans l'administration. Malgré ses multiples recherches et ses demandes publiquement adressées à Hidalgo, le Delanopolis n'a d'ailleurs jamais trouvé la moindre trace de travail effectif de cette dernière au ministère. Ce cumul lui a pourtant valu la confortable pension qu'elle ajoute aujourd'hui à ses indemnités de maire de Paris. Bref, une goulue menteuse puisqu'elle dissimule au même moment le montant réel de ses revenus quand on l'interroge : voir La par exemple.
Dans son interview ultra complaisante du Monde, Hidalgo déclare : "Entre 2001 et 2004, je me suis demandée tous les matins : mais qu’est-ce que tu fous là ? Pourquoi est-ce que tu t’embêtes avec ces batailles d’appareil, ces rivalités personnelles, ce machisme insupportable ? Si c’est ça la politique, franchement, cela se fera sans moi ! Car j’avais beau avoir 20 ans de vie professionnelle dans les pattes et acquis dans mon métier une vraie légitimité, certains qui attendaient leur tour depuis longtemps me voyaient comme un ovni et prétendaient que je « n’existais » pas !"
On en pleurerait presque d'émotion ! 20 ans d'expérience "dans les pattes" mais certainement pas celles de son métier d'origine. Et un dégoût des batailles d'appareil à l'ombre de solides protections au sommet du parti et de l'Etat.
Bah, la voilà en tout cas placée par Le Monde tout en haut de la liste d'attente de toutes celles et ceux qui tenteront de ramasser les miettes de Hollande fondu après 2017 ...
Un quadruple cumul de tâches impossible sauf à ne rien faire dans l'administration. Malgré ses multiples recherches et ses demandes publiquement adressées à Hidalgo, le Delanopolis n'a d'ailleurs jamais trouvé la moindre trace de travail effectif de cette dernière au ministère. Ce cumul lui a pourtant valu la confortable pension qu'elle ajoute aujourd'hui à ses indemnités de maire de Paris. Bref, une goulue menteuse puisqu'elle dissimule au même moment le montant réel de ses revenus quand on l'interroge : voir La par exemple.
Dans son interview ultra complaisante du Monde, Hidalgo déclare : "Entre 2001 et 2004, je me suis demandée tous les matins : mais qu’est-ce que tu fous là ? Pourquoi est-ce que tu t’embêtes avec ces batailles d’appareil, ces rivalités personnelles, ce machisme insupportable ? Si c’est ça la politique, franchement, cela se fera sans moi ! Car j’avais beau avoir 20 ans de vie professionnelle dans les pattes et acquis dans mon métier une vraie légitimité, certains qui attendaient leur tour depuis longtemps me voyaient comme un ovni et prétendaient que je « n’existais » pas !"
On en pleurerait presque d'émotion ! 20 ans d'expérience "dans les pattes" mais certainement pas celles de son métier d'origine. Et un dégoût des batailles d'appareil à l'ombre de solides protections au sommet du parti et de l'Etat.
Bah, la voilà en tout cas placée par Le Monde tout en haut de la liste d'attente de toutes celles et ceux qui tenteront de ramasser les miettes de Hollande fondu après 2017 ...