Depuis 2001, la municipalité socialiste a accumulé les échecs qu’elle dissimule difficilement par une politique de communication et d’événements festifs.
* Echec dans le logement : il est de plus en plus ardu et coûteux de trouver un appartement aussi bien dans le secteur social que dans le privé. En achetant à prix d’or dans l’ancien, la mairie n’a fait qu’accélérer la hausse et aggraver la crise.
* Echec dans les transports : malgré les milliards dépensés, le confort et la régularité des métros, bus et RER ne cesse de se dégrader pour la grande majorité des usagers. Embouteillages et pollution s’aggravent.
* Echec financier : les milliards d’euros perçus grâce à l’augmentation des taxes locales, de la dette et des droits sur l’immobilier se sont volatilisés.
* Echec de gestion : la propreté des rues s’est fortement dégradée, dans de nombreux services les personnels municipaux sont en colère et démotivés malgré 10.000 embauches qui font de Paris la ville la plus administrée de France.
* Echec culturel : les «grands paquebots» ruineux comme le 104 ou la Gaité-Lyrique sont peu fréquentés pendant que les équipements de proximité (bibliothèques notamment) se débattent dans les difficultés.
* Echec architectural et urbain : quasiment aucun beau projet en 12 ans mais des monstruosités sortent de terre comme aux Halles.
* Echec économique, sans doute le plus grave : Paris décroche dans les classements internationaux. Il faut mettre un terme à cette dégradation qui risque, du fait des dépenses engagées par les socialistes, de se traduire par de très lourdes ponctions fiscales dans les années qui viennent, ce que l’Hôtel de ville tente naturellement de dissimuler avant les élections.
D’où viennent tous ces problèmes ?
Depuis 12 ans, les choix municipaux sont faits dans l’opacité par de petits groupes qui ne songent qu’à défendre leurs lubies et leurs intérêts. La solution ? Rendre le pouvoir aux Parisiens sur tous les sujets qui engagent leur avenir et celui de leur ville ! Il nous faut engager dès 2014 un «Printemps des Parisiens», une vraie révolution démocratique qui changera entièrement la façon dont les choix sont faits.
Aujourd’hui, la soi-disant démocratie locale participative est une mystification. Les conseils de quartier sont des institutions sans vrai pouvoir et sous l'orbite de la mairie. Les pétitions électroniques sont restées sans suite. Paris doit inaugurer un nouvel âge démocratique et retrouver sa vocation mondiale de métropole innovante, appuyant son dynamisme sur le talent de sa population.
6 ans, 6 référendums pour dynamiser Paris !
Nous proposons que le maire et le Conseil de Paris élus en 2014 lancent sans tarder une révision de la procédure de référendum local. Les Parisiens, à l’occasion de chaque scrutin, seront conviés à trancher plusieurs questions dont la résolution est actuellement en panne à l’Hôtel-de-ville.
Dès 2014, deux scrutins, non pas consultatifs mais décisionnaires, sur les rythmes scolaires et l’organisation des services de propreté pourront être organisés.
En 2015, les sujets du logement, notamment la vente des HLM à leurs occupants pour débloquer le marché ou la conversion de bureaux en habitation et de la circulation et des transports (partage de la voirie, acceptation ou refus d’un péage urbain) seront soumis au choix des Parisiens.
En 2016, les questions d’urbanisme (hauteur, innovation architecturale, grands projets comme à Roland-Garros) seront tranchées, ainsi que celle de la sécurité notamment la création d’une police municipale. L'intégration de Paris dans une collectivité plus vaste qui comprendrait les communes environnantes devrait être traitée elle-aussi de cette manière.
Les débats autour de ces référendums donneront une information non manipulée aux habitants qui auront le dernier mot.
Ces procédures seront innovantes et économes avec un recours possible au vote électronique, chez soi ou en mairie. La pluralité des choix proposés permettra de trancher de questions précises, par exemple le recours accru au secteur privé pour améliorer le nettoyage des rues, l’augmentation du nombre de licences de taxi, l'ouverture des commerces le dimanche, la création de nouveaux parkings et places de stationnement ou l'ouverture des couloirs protégés aux deux-roues motorisées pour réduire le nombre d'accidents.
Quand la ville devra négocier, dans certains domaines, avec l’Etat s’il est co-décideur, elle pourra ainsi s’appuyer sur un mandat clair des Parisiens. Les trois autres années de la mandature serviront à mettre en œuvre ces décisions et à en rendre compte.
Baisser les impôts locaux et mieux gérer Paris !
ll faut parallèlement mettre fin aux habitudes de mauvaise gestion de la mairie. Depuis 12 ans, les Parisiens subissent la double peine d'une augmentation record de la fiscalité et du coût de la vie le plus élevé de France. Pour cela, les nouveaux élus doivent s’engager à une baisse de 10 % en 6 ans des taux des taxes foncières, d’habitation, d’enlèvement des ordures ménagères et de balayage, dont la dérive, ces dernières années, a été une des pires de France. Par exemple, le taux communal de la taxe d'habitation sera ramené à 12 %.
Les socialistes, s’ils restent à l’Hôtel-de-ville avec leurs méthodes et leurs projets, donneront un nouveau tour de vis fiscal dès 2014.
C’est le contraire qu’il faut faire en s’engageant sur une meilleure gestion, en réduisant par exemple de moitié les dépenses de communication, en instituant une véritable politique des effectifs qui passe par une mobilité accrue du personnel permettant le non remplacement de nombreux fonctionnaires municipaux partant à la retraite, en supprimant les subventions indues à certaines associations dont la gestion n’est jamais vraiment surveillée et en reconvertissant des équipements peu fréquentés et ruineux comme le 104.
2014-2020 : 6 ans pour rendre le pouvoir aux Parisiens !
Venez débattre de ce projet avec deux des candidats déclarés à la primaire du renouveau parisien : Jean-François LEGARET et Pierre-Yves BOURNAZEL et Serge FEDERBUSCH, président de l'association PARIS A NOUVEAU le LUNDI 25 MARS à 19 HEURES 30 à la TAVERNE KARLSBRAU (1, Boulevard Voltaire - angle 6, Place de la République, Paris 11ème, Métro : République)
* Echec dans le logement : il est de plus en plus ardu et coûteux de trouver un appartement aussi bien dans le secteur social que dans le privé. En achetant à prix d’or dans l’ancien, la mairie n’a fait qu’accélérer la hausse et aggraver la crise.
* Echec dans les transports : malgré les milliards dépensés, le confort et la régularité des métros, bus et RER ne cesse de se dégrader pour la grande majorité des usagers. Embouteillages et pollution s’aggravent.
* Echec financier : les milliards d’euros perçus grâce à l’augmentation des taxes locales, de la dette et des droits sur l’immobilier se sont volatilisés.
* Echec de gestion : la propreté des rues s’est fortement dégradée, dans de nombreux services les personnels municipaux sont en colère et démotivés malgré 10.000 embauches qui font de Paris la ville la plus administrée de France.
* Echec culturel : les «grands paquebots» ruineux comme le 104 ou la Gaité-Lyrique sont peu fréquentés pendant que les équipements de proximité (bibliothèques notamment) se débattent dans les difficultés.
* Echec architectural et urbain : quasiment aucun beau projet en 12 ans mais des monstruosités sortent de terre comme aux Halles.
* Echec économique, sans doute le plus grave : Paris décroche dans les classements internationaux. Il faut mettre un terme à cette dégradation qui risque, du fait des dépenses engagées par les socialistes, de se traduire par de très lourdes ponctions fiscales dans les années qui viennent, ce que l’Hôtel de ville tente naturellement de dissimuler avant les élections.
D’où viennent tous ces problèmes ?
Depuis 12 ans, les choix municipaux sont faits dans l’opacité par de petits groupes qui ne songent qu’à défendre leurs lubies et leurs intérêts. La solution ? Rendre le pouvoir aux Parisiens sur tous les sujets qui engagent leur avenir et celui de leur ville ! Il nous faut engager dès 2014 un «Printemps des Parisiens», une vraie révolution démocratique qui changera entièrement la façon dont les choix sont faits.
Aujourd’hui, la soi-disant démocratie locale participative est une mystification. Les conseils de quartier sont des institutions sans vrai pouvoir et sous l'orbite de la mairie. Les pétitions électroniques sont restées sans suite. Paris doit inaugurer un nouvel âge démocratique et retrouver sa vocation mondiale de métropole innovante, appuyant son dynamisme sur le talent de sa population.
6 ans, 6 référendums pour dynamiser Paris !
Nous proposons que le maire et le Conseil de Paris élus en 2014 lancent sans tarder une révision de la procédure de référendum local. Les Parisiens, à l’occasion de chaque scrutin, seront conviés à trancher plusieurs questions dont la résolution est actuellement en panne à l’Hôtel-de-ville.
Dès 2014, deux scrutins, non pas consultatifs mais décisionnaires, sur les rythmes scolaires et l’organisation des services de propreté pourront être organisés.
En 2015, les sujets du logement, notamment la vente des HLM à leurs occupants pour débloquer le marché ou la conversion de bureaux en habitation et de la circulation et des transports (partage de la voirie, acceptation ou refus d’un péage urbain) seront soumis au choix des Parisiens.
En 2016, les questions d’urbanisme (hauteur, innovation architecturale, grands projets comme à Roland-Garros) seront tranchées, ainsi que celle de la sécurité notamment la création d’une police municipale. L'intégration de Paris dans une collectivité plus vaste qui comprendrait les communes environnantes devrait être traitée elle-aussi de cette manière.
Les débats autour de ces référendums donneront une information non manipulée aux habitants qui auront le dernier mot.
Ces procédures seront innovantes et économes avec un recours possible au vote électronique, chez soi ou en mairie. La pluralité des choix proposés permettra de trancher de questions précises, par exemple le recours accru au secteur privé pour améliorer le nettoyage des rues, l’augmentation du nombre de licences de taxi, l'ouverture des commerces le dimanche, la création de nouveaux parkings et places de stationnement ou l'ouverture des couloirs protégés aux deux-roues motorisées pour réduire le nombre d'accidents.
Quand la ville devra négocier, dans certains domaines, avec l’Etat s’il est co-décideur, elle pourra ainsi s’appuyer sur un mandat clair des Parisiens. Les trois autres années de la mandature serviront à mettre en œuvre ces décisions et à en rendre compte.
Baisser les impôts locaux et mieux gérer Paris !
ll faut parallèlement mettre fin aux habitudes de mauvaise gestion de la mairie. Depuis 12 ans, les Parisiens subissent la double peine d'une augmentation record de la fiscalité et du coût de la vie le plus élevé de France. Pour cela, les nouveaux élus doivent s’engager à une baisse de 10 % en 6 ans des taux des taxes foncières, d’habitation, d’enlèvement des ordures ménagères et de balayage, dont la dérive, ces dernières années, a été une des pires de France. Par exemple, le taux communal de la taxe d'habitation sera ramené à 12 %.
Les socialistes, s’ils restent à l’Hôtel-de-ville avec leurs méthodes et leurs projets, donneront un nouveau tour de vis fiscal dès 2014.
C’est le contraire qu’il faut faire en s’engageant sur une meilleure gestion, en réduisant par exemple de moitié les dépenses de communication, en instituant une véritable politique des effectifs qui passe par une mobilité accrue du personnel permettant le non remplacement de nombreux fonctionnaires municipaux partant à la retraite, en supprimant les subventions indues à certaines associations dont la gestion n’est jamais vraiment surveillée et en reconvertissant des équipements peu fréquentés et ruineux comme le 104.
2014-2020 : 6 ans pour rendre le pouvoir aux Parisiens !
Venez débattre de ce projet avec deux des candidats déclarés à la primaire du renouveau parisien : Jean-François LEGARET et Pierre-Yves BOURNAZEL et Serge FEDERBUSCH, président de l'association PARIS A NOUVEAU le LUNDI 25 MARS à 19 HEURES 30 à la TAVERNE KARLSBRAU (1, Boulevard Voltaire - angle 6, Place de la République, Paris 11ème, Métro : République)