Alors même que le concessionnaire actuel du stade, le club Jean Bouin, est dans ses droits de locataire jusqu'en janvier au moins, la ville engage un bras de fer et a tenté de faire entrer des agents pour repérer les lieux et lancer au plus vite des travaux de "séparation des fluides".
Vous trouverez, en exclusivité, en cliquant ici un reportage filmé sur cette tentative d'intrusion et les solides arguments qui lui furent objectés par le président du club, Jacques Lelièvre.
L'objectif est toujours le même pour Delanoë et Guazzini : prendre de vitesse les milliers d'opposants à cette magouille et rendre les choses irréversibles en procédant à la démolition de la tribune Art Déco que l'Etat aurait d'ailleurs dû classer depuis belle lurette si Guazzini n'avait ses entrées partout.
Quelques individus se sont donc présentés devant l'entrée de Jean Bouin et le président du club, le dynamique Jacques Lelièvre leur a rappelé ses droits, à savoir qu'étant locataire il peut parfaitement leur refuser l'accès sauf pour qu'ils effectuent des travaux nécessaires à la conservation des lieux, ce qui n'est manifestement pas le cas en l'espèce.
Rappelons que toutes les décisions de la mairie sur ce sujet sont actuellement contestées en justice, ce qui devrait conduire la ville à la plus élémentaire prudence avant d'ouvrir quelque chantier que ce soit. Mais, manifestement, à Jean Bouin, Delanoë oublie toute prudence et perd toute patience.
Certains de ces agents étaient visiblement gênés d'avoir à effectuer cette sale besogne - on les comprend et nul ne peut blâmer ces pauvres fonctionnaires - mais un individu, qui ne s'est d'ailleurs pas présenté, était agressif, invoquant son droit à l'image pour refuser d'être pris en photo alors pourtant qu'il agit dans la rue, dans un cadre public et professionnel. Indices : il avait l'air rogue et une dégaine d'huissier. Au moins se reconnaîtra-t-il !
En tout cas, le combat pour Jean Bouin continue et la nécessité d'une vigie citoyenne pour empêcher les coups tordus et les travaux subreptices ne fait que se confirmer ...
Vous trouverez, en exclusivité, en cliquant ici un reportage filmé sur cette tentative d'intrusion et les solides arguments qui lui furent objectés par le président du club, Jacques Lelièvre.
L'objectif est toujours le même pour Delanoë et Guazzini : prendre de vitesse les milliers d'opposants à cette magouille et rendre les choses irréversibles en procédant à la démolition de la tribune Art Déco que l'Etat aurait d'ailleurs dû classer depuis belle lurette si Guazzini n'avait ses entrées partout.
Quelques individus se sont donc présentés devant l'entrée de Jean Bouin et le président du club, le dynamique Jacques Lelièvre leur a rappelé ses droits, à savoir qu'étant locataire il peut parfaitement leur refuser l'accès sauf pour qu'ils effectuent des travaux nécessaires à la conservation des lieux, ce qui n'est manifestement pas le cas en l'espèce.
Rappelons que toutes les décisions de la mairie sur ce sujet sont actuellement contestées en justice, ce qui devrait conduire la ville à la plus élémentaire prudence avant d'ouvrir quelque chantier que ce soit. Mais, manifestement, à Jean Bouin, Delanoë oublie toute prudence et perd toute patience.
Certains de ces agents étaient visiblement gênés d'avoir à effectuer cette sale besogne - on les comprend et nul ne peut blâmer ces pauvres fonctionnaires - mais un individu, qui ne s'est d'ailleurs pas présenté, était agressif, invoquant son droit à l'image pour refuser d'être pris en photo alors pourtant qu'il agit dans la rue, dans un cadre public et professionnel. Indices : il avait l'air rogue et une dégaine d'huissier. Au moins se reconnaîtra-t-il !
En tout cas, le combat pour Jean Bouin continue et la nécessité d'une vigie citoyenne pour empêcher les coups tordus et les travaux subreptices ne fait que se confirmer ...