Les peines finiront par s'aggraver ...
Pour faire régner l'ordre au sein de la turbulente Commission du Vieux Paris qui s'était opposée à certains de ses projets les plus catastrophiques, aux Serres d'Auteuil, à la Halle Freyssinet ou à la Samaritaine notamment, Stupidalgo a décidé d'en modifier les règles de fonctionnement et la composition, en se séparant au passage de quelques trublions dont notre ami Jean-François Cabestan, architecture et universitaire spécialiste des questions de défense du patrimoine.
Comme celui-di dénonçait les conditions de son éviction, Stupidalgo, dans un des moments d'égarement dont elle a le secret, avait publiquement déclaré : "Jean-François Cabestan, qui a utilisé des documents municipaux à des fins personnelles pour un colloque, n'a pas été renouvelé".
C'était parfaitement faux et le tribunal correctionnel de Paris a estimé qu'aucun document ne venait l'attester. "Le fait même qu'Anne Hidalgo n'évoque nominativement (...) que le seul cas de Jean-François Cabestan alors que la question qui lui était posée était formulée en des termes généraux, traduit un manque de prudence et une intention de nuire incompatibles avec la bonne foi", a considéré la chambre de la presse.
Après sa condamnation, le 11 mars dernier, pour avoir affirmé que le Front national, fondé en 1972, avait "soutenu" la collaboration avec les nazis, elle accumule les déboires judiciaires.
Il apparaît clairement que, dès qu'elle est en situation de faiblesse, elle ne contrôle plus ses paroles : ses récentes déclarations à Londres en témoignent.
Bah ... elle n'a écopé à nouveau que de condamnations avec sursis. Pour le moment, les juges sont encore un peu indulgents avec la "gauche". Mais cela aussi n'aura qu'un temps ...
Comme celui-di dénonçait les conditions de son éviction, Stupidalgo, dans un des moments d'égarement dont elle a le secret, avait publiquement déclaré : "Jean-François Cabestan, qui a utilisé des documents municipaux à des fins personnelles pour un colloque, n'a pas été renouvelé".
C'était parfaitement faux et le tribunal correctionnel de Paris a estimé qu'aucun document ne venait l'attester. "Le fait même qu'Anne Hidalgo n'évoque nominativement (...) que le seul cas de Jean-François Cabestan alors que la question qui lui était posée était formulée en des termes généraux, traduit un manque de prudence et une intention de nuire incompatibles avec la bonne foi", a considéré la chambre de la presse.
Après sa condamnation, le 11 mars dernier, pour avoir affirmé que le Front national, fondé en 1972, avait "soutenu" la collaboration avec les nazis, elle accumule les déboires judiciaires.
Il apparaît clairement que, dès qu'elle est en situation de faiblesse, elle ne contrôle plus ses paroles : ses récentes déclarations à Londres en témoignent.
Bah ... elle n'a écopé à nouveau que de condamnations avec sursis. Pour le moment, les juges sont encore un peu indulgents avec la "gauche". Mais cela aussi n'aura qu'un temps ...