Zadistes mal léchés, étudiants glandeurs, cheminots enkystés, scienpotards à la recherche de sensations de gôôôche, avocats et magistrats à l'indignation à géométrie variable, Nuit debout en journées avachies, etc : il est vrai que les protestataires qui cherchent à se coaguler ne sont ni crédibles ni sympathiques.
Mais bah ! Ce qu'il faut surtout craindre c'est que la minable manipulation macronienne, soutenue par des médias obéissants comme jamais, finisse par l'emporter.
Macron a tout misé sur un coup de com' : faire passer ses réformettes pour une grande et courageuse ambition et profiter de la reprise mondiale pour préparer en roues libres les élections futures en continuant de servir discrètement les ploutocrates qui l'ont mis au pouvoir. La suppression de l'ISF pour les seuls détenteurs de capitaux ou la loi sur le secret des affaires forment la vraie feuille de route de Macron.
Sa réforme de la SNCF en revanche est du pipi de chat. Supprimer à partir de 2020 le recrutement de cheminots sous statut c'est prendre une mesure dont l'impact sur les comptes de l'entreprise est microscopique au regard de l'énormité de sa dette.
Macron pensait que les syndicats ne seraient pas dupes et qu'ils protesteraient pour la forme, un peu comme après sa pseudo réforme du code du travail.
Ou alors, s'ils allaient au conflit, que le bras de fer ne durerait que quelques semaines.
Mais il a sous-estimé la ruse de ses adversaires. Le grève perlée mise au point par les cheminots peut perdurer très longtemps et gêner les vacances du Français moyen dont la colère se retournera peut-être aussi contre le "pouvoir".
Le robot oligarchique qu'est Macron avait sous-pondéré dans son logiciel de gouvernement la roublardise du peuple dont il méprise par nature la capacité à réfléchir.
Et puis l'hiver a été long et dur. Il fait beau et les étudiants et assimilés ont envie de teufs et plus seulement de palabres nocturnes place de la République.
On ne sait pas encore comment tout cela tournera. La plupart des mouvements sociaux ont échoué depuis des décennies. Mais, qui sait, celui là prendra-t-il peut-être ? Il faut pour cela que les macronniens se laissent aller à leur morgue naturelle : juste de quoi hérisser le populo.
En tout cas il faut souhaiter que cela affaiblisse Macron dont la seule véritable action tient à son inaction face aux trois maux qui rongent la France : la soumission à l'Allemagne, la gangrène islamique et l'inertie bureaucratique des grands corps de l'Etat.
Rien n'est bon dans le Macron ; tout est bon contre Macron.
Mais bah ! Ce qu'il faut surtout craindre c'est que la minable manipulation macronienne, soutenue par des médias obéissants comme jamais, finisse par l'emporter.
Macron a tout misé sur un coup de com' : faire passer ses réformettes pour une grande et courageuse ambition et profiter de la reprise mondiale pour préparer en roues libres les élections futures en continuant de servir discrètement les ploutocrates qui l'ont mis au pouvoir. La suppression de l'ISF pour les seuls détenteurs de capitaux ou la loi sur le secret des affaires forment la vraie feuille de route de Macron.
Sa réforme de la SNCF en revanche est du pipi de chat. Supprimer à partir de 2020 le recrutement de cheminots sous statut c'est prendre une mesure dont l'impact sur les comptes de l'entreprise est microscopique au regard de l'énormité de sa dette.
Macron pensait que les syndicats ne seraient pas dupes et qu'ils protesteraient pour la forme, un peu comme après sa pseudo réforme du code du travail.
Ou alors, s'ils allaient au conflit, que le bras de fer ne durerait que quelques semaines.
Mais il a sous-estimé la ruse de ses adversaires. Le grève perlée mise au point par les cheminots peut perdurer très longtemps et gêner les vacances du Français moyen dont la colère se retournera peut-être aussi contre le "pouvoir".
Le robot oligarchique qu'est Macron avait sous-pondéré dans son logiciel de gouvernement la roublardise du peuple dont il méprise par nature la capacité à réfléchir.
Et puis l'hiver a été long et dur. Il fait beau et les étudiants et assimilés ont envie de teufs et plus seulement de palabres nocturnes place de la République.
On ne sait pas encore comment tout cela tournera. La plupart des mouvements sociaux ont échoué depuis des décennies. Mais, qui sait, celui là prendra-t-il peut-être ? Il faut pour cela que les macronniens se laissent aller à leur morgue naturelle : juste de quoi hérisser le populo.
En tout cas il faut souhaiter que cela affaiblisse Macron dont la seule véritable action tient à son inaction face aux trois maux qui rongent la France : la soumission à l'Allemagne, la gangrène islamique et l'inertie bureaucratique des grands corps de l'Etat.
Rien n'est bon dans le Macron ; tout est bon contre Macron.