Compréhensible, l’exaspération et l’inquiétude des policiers devant la violence impunie des voyous qui – sous prétexte de loi sur le travail – en profitent pour se défouler, casser, voler, piller, et le dernier acte de vandalisme en date, le pire de tous, la tentative de meurtre sur des agents en voiture.
Que dire de cette association malfaisante dénommée CGT, et de sa campagne de publicité haineuse envers ceux qui tentent d’éviter que le pays soit mis à sac ? Quelle honte que ce syndicat de bolchéviques de connivence avec les petits cons de Nuit Debout ! Peut-être devraient-ils se souvenir que dans l’ex-Union Soviétique, pays qui leur sert de modèle, les violences policières étaient réelles, et le genre de débordement qu’organisent leurs protégés aurait été réprimé dans le sang !
Nous avions l’habitude des CPF de banlieue qui caillassaient tout ce qui passait à portée, des hooligans venant semer la zone à Paris pour des matches de foot, toujours en toute impunité. Ensuite ce furent les « Roms », les bonnets rouges, les taxis, et déjà les zadistes, les no-borders… Et toujours cette impossibilité d’intervenir, quand il est tellement plus facile d’ordonner le gazage de poussettes et la mise en garde à vue de T-shirts, ou d’un inconnu qui se paie la tête de Valls, et à Calais la mise au pas d’un vieux général qui avait eu le culot de protester parce qu’on laissait des « migrants » saccager la région.
Qui sème le vent récolte la tempête. La lâcheté de Valls et de Cazeneuve devant la voyoucratie, d’où qu’elle vienne, et je dirais même leur bienveillance vis-à-vis de fripouilles, les uns parce qu’ils font partie de la « minorité visible qu’il ne faut pas stigmatiser », les autres parce que ce sont des gauchistes, le tout faisant partie des bons votants, a fait monter la violence d’un cran. Tout ça nous a des airs de Frente Popular des années 35, Señor Valls, et vous savez comment ça a fini, on ne va pas vous faire un dessin.
Mais nos policiers ont tort de défiler parce qu’ils seraient mal aimés. Le rôle d’un policier n’est pas de se faire aimer, c’est de se faire respecter en faisant respecter la loi. Malheureusement, notre police n’est ni armée ni formée pour faire face à ce genre de situation. Pire, leur hiérarchie est en dessous de tout. Les ordres qu’ils reçoivent sont de ne pas faire de vagues, de ne pas se défendre, mais quand on a affaire à de bons Français qui défilent pacifiquement mais ne votent pas bien, alors là, on leur permet de se défouler. Et ils voudraient qu’on les aime ? Rappelons que le procès de Nuremberg n’a pas acquitté les fonctionnaires trop zélés qui avaient trop bien obéi à des ordres iniques. Le « cépamafote » n’a pas été retenu. En revanche, quand leur vie est réellement en jeu, pourquoi la hiérarchie leur interdit-elle de se défendre ? L’affaire Malik Oussékine, grossie (et déformée) par les médias de gauche, a fait long feu, que je sache. On ne va pas se traîner ça encore 50 ans, ça suffit ! En gros, il est urgent de revoir la loi, parce que telle qu’elle est faite aujourd’hui, la notion de légitime défense n’existe plus. Ni pour la police ni pour les citoyens ordinaires, d’ailleurs.
Mais il est tout aussi urgent de former correctement les policiers et de les encadrer avec un peu plus de sérieux, bien que le mot « professionnalisme » ne figure pas dans le dictionnaire socialiste. « Piston » y est largement préféré, comme on peut le voir chaque jour avec les nominations farfelues de tous les déchets de la politique à des postes lucratifs, parfois directement créés pour eux et payés par le contribuable.
Rappelons que le premier rôle de la police dans un état qui se dit « de droit », c’est d’assurer la sécurité des biens et des personnes, et quand le mal est fait, de trouver les coupables et de les remettre à la justice. L’ordre public est seulement le moyen de garantir cette sécurité, parce que dans le désordre il est impossible de le faire. Or l’état Français considère l’Ordre Public comme unique obligation. La sécurité des citoyens n’en serait qu’un effet secondaire, j’oserais presque dire un « dommage collatéral ». Dans ces conditions la moindre des choses serait de les laisser se défendre eux-mêmes, mais, non, ce serait contraire à l’ordre public, n’est-ce pas ? Donc pendant qu’on tourne en rond, l’insécurité s’installe tandis que la liberté recule.
De plus certains policiers peu futés n’hésitent pas à se défouler en cherchant des poux à des citoyens sans histoires pour le moindre prétexte. Au bout du compte, ils sont mal aimés, craints, mais pas respectés.
A titre d’exemple, j’ai un jour été témoin d’un accident de voiture. La police est venue. Un autre témoin, qui conduisait la voiture de sa femme, n’avait sur lui qu’une copie de sa carte grise. Les policiers ont vu rouge, leur cerveau a disjoncté, ils ne s’occupaient plus de l’accident, ils ont failli embarquer le malheureux. C’est moi qui leur ai rappelé pourquoi ils étaient là, et qui ai ajouté que si ce monsieur avait volé sa voiture il ne se serait pas arrêté pour témoigner ! Comment voulez-vous prendre au sérieux des gens qui se comportent de la sorte ? Et ce n’est pas le seul exemple que j’ai, loin de là.
Mais ce n’est pas vraiment leur faute puisque leur formation est ainsi faite, leurs ordres stupides voire malsains, et que la hiérarchie protège ceux qui font du chiffre plutôt que ceux qui font leur boulot. Mais quand le ministre de l’intérieur s’intéresse plus aux fessées cochonnes qu’au respect de la loi… Que pouvons-nous attendre d’autre ?
Ne parlons pas de la justice qui remet en liberté les voyous que les policiers ont eu tant de mal à attraper, pour des prétextes qui prêteraient à sourire si les conséquences n’étaient si graves. Pour motiver la police, ce n’est pas le meilleur moyen. D’ailleurs ici encore le tribunal administratif, cette instance invraisemblable, a retiré l’interdiction de manifester à des casseurs, avec une remarquable clairvoyance puisque ce sont eux qui ont mis le feu à une voiture de police occupée. Je me demande si l’on ne devrait pas mettre ce juge en taule avec les apprentis assassins, au titre de la formation professionnelle.
En conclusion il est urgent que cette équipe de bras cassés nuisibles s’en aille, Valls et Cazeneuve en tête. Ils sont dangereux. Il faut demander non leur démission, ce serait nécessaire mais insuffisant, mais leur comparution immédiate pour acte de vandalisme envers la France.
Que dire de cette association malfaisante dénommée CGT, et de sa campagne de publicité haineuse envers ceux qui tentent d’éviter que le pays soit mis à sac ? Quelle honte que ce syndicat de bolchéviques de connivence avec les petits cons de Nuit Debout ! Peut-être devraient-ils se souvenir que dans l’ex-Union Soviétique, pays qui leur sert de modèle, les violences policières étaient réelles, et le genre de débordement qu’organisent leurs protégés aurait été réprimé dans le sang !
Nous avions l’habitude des CPF de banlieue qui caillassaient tout ce qui passait à portée, des hooligans venant semer la zone à Paris pour des matches de foot, toujours en toute impunité. Ensuite ce furent les « Roms », les bonnets rouges, les taxis, et déjà les zadistes, les no-borders… Et toujours cette impossibilité d’intervenir, quand il est tellement plus facile d’ordonner le gazage de poussettes et la mise en garde à vue de T-shirts, ou d’un inconnu qui se paie la tête de Valls, et à Calais la mise au pas d’un vieux général qui avait eu le culot de protester parce qu’on laissait des « migrants » saccager la région.
Qui sème le vent récolte la tempête. La lâcheté de Valls et de Cazeneuve devant la voyoucratie, d’où qu’elle vienne, et je dirais même leur bienveillance vis-à-vis de fripouilles, les uns parce qu’ils font partie de la « minorité visible qu’il ne faut pas stigmatiser », les autres parce que ce sont des gauchistes, le tout faisant partie des bons votants, a fait monter la violence d’un cran. Tout ça nous a des airs de Frente Popular des années 35, Señor Valls, et vous savez comment ça a fini, on ne va pas vous faire un dessin.
Mais nos policiers ont tort de défiler parce qu’ils seraient mal aimés. Le rôle d’un policier n’est pas de se faire aimer, c’est de se faire respecter en faisant respecter la loi. Malheureusement, notre police n’est ni armée ni formée pour faire face à ce genre de situation. Pire, leur hiérarchie est en dessous de tout. Les ordres qu’ils reçoivent sont de ne pas faire de vagues, de ne pas se défendre, mais quand on a affaire à de bons Français qui défilent pacifiquement mais ne votent pas bien, alors là, on leur permet de se défouler. Et ils voudraient qu’on les aime ? Rappelons que le procès de Nuremberg n’a pas acquitté les fonctionnaires trop zélés qui avaient trop bien obéi à des ordres iniques. Le « cépamafote » n’a pas été retenu. En revanche, quand leur vie est réellement en jeu, pourquoi la hiérarchie leur interdit-elle de se défendre ? L’affaire Malik Oussékine, grossie (et déformée) par les médias de gauche, a fait long feu, que je sache. On ne va pas se traîner ça encore 50 ans, ça suffit ! En gros, il est urgent de revoir la loi, parce que telle qu’elle est faite aujourd’hui, la notion de légitime défense n’existe plus. Ni pour la police ni pour les citoyens ordinaires, d’ailleurs.
Mais il est tout aussi urgent de former correctement les policiers et de les encadrer avec un peu plus de sérieux, bien que le mot « professionnalisme » ne figure pas dans le dictionnaire socialiste. « Piston » y est largement préféré, comme on peut le voir chaque jour avec les nominations farfelues de tous les déchets de la politique à des postes lucratifs, parfois directement créés pour eux et payés par le contribuable.
Rappelons que le premier rôle de la police dans un état qui se dit « de droit », c’est d’assurer la sécurité des biens et des personnes, et quand le mal est fait, de trouver les coupables et de les remettre à la justice. L’ordre public est seulement le moyen de garantir cette sécurité, parce que dans le désordre il est impossible de le faire. Or l’état Français considère l’Ordre Public comme unique obligation. La sécurité des citoyens n’en serait qu’un effet secondaire, j’oserais presque dire un « dommage collatéral ». Dans ces conditions la moindre des choses serait de les laisser se défendre eux-mêmes, mais, non, ce serait contraire à l’ordre public, n’est-ce pas ? Donc pendant qu’on tourne en rond, l’insécurité s’installe tandis que la liberté recule.
De plus certains policiers peu futés n’hésitent pas à se défouler en cherchant des poux à des citoyens sans histoires pour le moindre prétexte. Au bout du compte, ils sont mal aimés, craints, mais pas respectés.
A titre d’exemple, j’ai un jour été témoin d’un accident de voiture. La police est venue. Un autre témoin, qui conduisait la voiture de sa femme, n’avait sur lui qu’une copie de sa carte grise. Les policiers ont vu rouge, leur cerveau a disjoncté, ils ne s’occupaient plus de l’accident, ils ont failli embarquer le malheureux. C’est moi qui leur ai rappelé pourquoi ils étaient là, et qui ai ajouté que si ce monsieur avait volé sa voiture il ne se serait pas arrêté pour témoigner ! Comment voulez-vous prendre au sérieux des gens qui se comportent de la sorte ? Et ce n’est pas le seul exemple que j’ai, loin de là.
Mais ce n’est pas vraiment leur faute puisque leur formation est ainsi faite, leurs ordres stupides voire malsains, et que la hiérarchie protège ceux qui font du chiffre plutôt que ceux qui font leur boulot. Mais quand le ministre de l’intérieur s’intéresse plus aux fessées cochonnes qu’au respect de la loi… Que pouvons-nous attendre d’autre ?
Ne parlons pas de la justice qui remet en liberté les voyous que les policiers ont eu tant de mal à attraper, pour des prétextes qui prêteraient à sourire si les conséquences n’étaient si graves. Pour motiver la police, ce n’est pas le meilleur moyen. D’ailleurs ici encore le tribunal administratif, cette instance invraisemblable, a retiré l’interdiction de manifester à des casseurs, avec une remarquable clairvoyance puisque ce sont eux qui ont mis le feu à une voiture de police occupée. Je me demande si l’on ne devrait pas mettre ce juge en taule avec les apprentis assassins, au titre de la formation professionnelle.
En conclusion il est urgent que cette équipe de bras cassés nuisibles s’en aille, Valls et Cazeneuve en tête. Ils sont dangereux. Il faut demander non leur démission, ce serait nécessaire mais insuffisant, mais leur comparution immédiate pour acte de vandalisme envers la France.