Après l’écriture inclusive, les harpies virilophobes récidivent. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Depuis que la folie anti mâles s’est emparée de certaines « féministes », nous avons eu droit respectivement :
- A l’invention de mots jusque là neutre, comme des noms de métiers, en les féminisant en dépit du bon sens, du bon goût et de la grammaire : l’auteure, l’écrivaine, la professeure, la proviseure le disputent à la générale, la pharmacienne ou la députée et la ministre. C’était déjà épouvantable, mais insuffisant.
- Il fallait en finir avec la suprématie du masculin sur le féminin dans les accords grammaticaux. Que le masculin servît depuis toujours de neutre ne suffisait pas. Il faut dorénavant parler de « celles et ceux », de « toutes et tous », « chacune et chacun » et accorder le pluriel dans les deux cas : celles et ceux qui croient que Macron est un bon président sont rangé.e.s dans le camp du bien, les autres sont prié.e.s de se taire !
- Nous en sommes donc arrivés à : « les écrivaines et les écrivains sont désormais obligé.e.s d’écrire à la mode féministe s’il.elle.s veulent être publié.e.s.
Mais ce n’est pas fini. Nous pensions avoir touché le fonds du ridicule : hélas le ridicule ne tue pas et permet tout. Désormais il ne faudra plus parler de patrimoine mais de « patrimoine et matrimoine ». Un ex député socialiste femelle avait réclamé il y a quelques années qu’on rebaptise les écoles maternelles. C’était une visionnaire. Nous aurons bientôt des écoles pater-maternelles ou mater-paternelles. Les matricules deviendront des patricules quand ils concernent les hommes et des matricules quand ils concernent les femmes. Les trans se trouveront eux-mêmes un nom. Ça risque d’être intéressant. Je me demande comment on va faire pour parler de la mère Patrie ? Je sais que ce n’est pas un mot à la mode, mais ne serait-ce que dans notre hymne national, faudra-t-il dire Matrie et Patrie ? Et parler de père Matrie ? De parent Ma.pa.trie ?
STRESS A L’ASSEMBLEE
Les députés LREM ont beau nous coûter aussi cher que leurs prédécesseurs, ils sont vraiment impayables : l’une d’elles a réclamé qu’on lui rembourse sa baby-sitter, l’autre qu’on lui paie ses vêtements… et certains se plaignent d’être stressés à tel point que l’Elysée se propose de leur fournir une assistance psychologique. Les pauvres ! Je compatis… C’est vrai que légiférer sur des inepties comme l’écriture inclusive ça doit vriller les nerfs.
PAIRS ET MAIRES
Jupiter a reçu un millier de maires à nos frais pour leur faire un grand discours et les rassurer sur ses intentions en matière de fiscalité locale. Monsieur Darmanin est sur le coup pour s’occuper des comptes locaux. Notre président ne les a pas convaincus. Pourtant il a drôlement innové : il a inventé l’impôt payé par l’état ! C’est fort, ça, non ? En fait il supprime une partie de la taxe d’habitation, mais l’état rend le manque à gagner aux communes (en fonction de leur allégeance ?), et pour compenser on commence à envisager une hausse de TVA. En revanche, réorganiser les collectivités territoriales afin de dégager des économies est un concept incompréhensible pour un énarque-inspecteur des finances.
En fait Jupiter voudrait bien retourner un certain nombre de maires sortants ayant une chance de réélection afin de s’assurer une victoire facile lors des prochaines municipales. Il avait échoué aux sénatoriales, mais comme son modèle « les shadoks », plus ça foire plus il insiste.
- A l’invention de mots jusque là neutre, comme des noms de métiers, en les féminisant en dépit du bon sens, du bon goût et de la grammaire : l’auteure, l’écrivaine, la professeure, la proviseure le disputent à la générale, la pharmacienne ou la députée et la ministre. C’était déjà épouvantable, mais insuffisant.
- Il fallait en finir avec la suprématie du masculin sur le féminin dans les accords grammaticaux. Que le masculin servît depuis toujours de neutre ne suffisait pas. Il faut dorénavant parler de « celles et ceux », de « toutes et tous », « chacune et chacun » et accorder le pluriel dans les deux cas : celles et ceux qui croient que Macron est un bon président sont rangé.e.s dans le camp du bien, les autres sont prié.e.s de se taire !
- Nous en sommes donc arrivés à : « les écrivaines et les écrivains sont désormais obligé.e.s d’écrire à la mode féministe s’il.elle.s veulent être publié.e.s.
Mais ce n’est pas fini. Nous pensions avoir touché le fonds du ridicule : hélas le ridicule ne tue pas et permet tout. Désormais il ne faudra plus parler de patrimoine mais de « patrimoine et matrimoine ». Un ex député socialiste femelle avait réclamé il y a quelques années qu’on rebaptise les écoles maternelles. C’était une visionnaire. Nous aurons bientôt des écoles pater-maternelles ou mater-paternelles. Les matricules deviendront des patricules quand ils concernent les hommes et des matricules quand ils concernent les femmes. Les trans se trouveront eux-mêmes un nom. Ça risque d’être intéressant. Je me demande comment on va faire pour parler de la mère Patrie ? Je sais que ce n’est pas un mot à la mode, mais ne serait-ce que dans notre hymne national, faudra-t-il dire Matrie et Patrie ? Et parler de père Matrie ? De parent Ma.pa.trie ?
STRESS A L’ASSEMBLEE
Les députés LREM ont beau nous coûter aussi cher que leurs prédécesseurs, ils sont vraiment impayables : l’une d’elles a réclamé qu’on lui rembourse sa baby-sitter, l’autre qu’on lui paie ses vêtements… et certains se plaignent d’être stressés à tel point que l’Elysée se propose de leur fournir une assistance psychologique. Les pauvres ! Je compatis… C’est vrai que légiférer sur des inepties comme l’écriture inclusive ça doit vriller les nerfs.
PAIRS ET MAIRES
Jupiter a reçu un millier de maires à nos frais pour leur faire un grand discours et les rassurer sur ses intentions en matière de fiscalité locale. Monsieur Darmanin est sur le coup pour s’occuper des comptes locaux. Notre président ne les a pas convaincus. Pourtant il a drôlement innové : il a inventé l’impôt payé par l’état ! C’est fort, ça, non ? En fait il supprime une partie de la taxe d’habitation, mais l’état rend le manque à gagner aux communes (en fonction de leur allégeance ?), et pour compenser on commence à envisager une hausse de TVA. En revanche, réorganiser les collectivités territoriales afin de dégager des économies est un concept incompréhensible pour un énarque-inspecteur des finances.
En fait Jupiter voudrait bien retourner un certain nombre de maires sortants ayant une chance de réélection afin de s’assurer une victoire facile lors des prochaines municipales. Il avait échoué aux sénatoriales, mais comme son modèle « les shadoks », plus ça foire plus il insiste.