ANTIPODISME
Deux événements ont eu lieu cette semaine : la façon dont la presse les a relatés, et le comportement des pouvoirs publics en disent long sur l’état de dégradation sociale et morale de notre pays.
Commençons par Béziers : le maire associé FN, Robert Ménard, est outré et a raison de l’être, parce qu’une association musulmane se permet, au nom du « vivrensemble », de monter une brigade pour « protéger » une église, puis la cathédrale, le soir de la messe de minuit.
Que SOS-Racisme, qui est une association anti-française, s’offusque de la réaction du maire, ça n’étonnera personne.
Que les faux culs dirigés par des musulmans fondamentalistes jouent les victimes en disant qu’ils étaient pleins de bonnes intentions, ça n’étonnera personne non plus.
Que la presse et ses idiots utiles, au lieu de réfléchir un peu, s’engouffre dans la brèche au nom de « qui a peur du Méchant Ménard », c’était attendu d’avance.
En revanche, que la préfecture ne trouve rien à redire au fait qu’une communauté musulmane s’octroie le droit de monter sa police privée, alors que la mairie n’avait pas pu obtenir l’autorisation de monter une « garde biterroise » avec des policiers dûment assermentés, c’est un peu curieux. En France on n’a pas le droit de faire justice ou police soi-même et la loi est censée être la même pour tout le monde. Certains auraient ils le droit de se mettre en dehors de la loi ?
Mais surtout, le pire, le chef de la police, Monsieur Cazeneuve lui-même, approuve cette initiative. Quand le même groupuscule de shariamaniaques viendra demander aux chrétiens la taxe du dhimmi en échange de sa « protection », comme le fait la mafia avec ses « commerces protégés » ou le souteneur moyen avec ses demoiselles d’affection négociable, il trouvera encore ça très bien, probablement. Monsieur Cazeneuve devrait relire le code civil. Nul n’a le droit de se substituer ni à la police ni à la justice.
Quant au second événement, c’est le bouquet.
Et là encore, les journalistes, qui devraient être des professionnels de l’information et non des pleureuses attitrées, jouent un curieux rôle.
Nous parlons de la Corse. Cela commence dans une banlieue d’Ajaccio peuplée de Chances pour la France qui ne parlent même pas Français et bien sûr ne cherchent guère à employer leurs talents autrement que dans des trafics divers et des exactions variées. On appelle les pompiers, qui débarquent. En fait on leur a tendu une embuscade et on les caillasse. Des pompiers et des policiers sont blessés. Les Corses se fâchent et des manifestations dégénèrent. Que croyez-vous qu’il arrivât ? Alors que les fripouilles qui ont été à l’origine de cette immonde agression ne sont même pas inquiétées, deux Corses sont arrêtés au motif qu’on ne fait pas justice soi-même. Ravie de l’entendre ! Alors qu’attend la vraie justice pour coffrer les vrais coupables ? Je commence à croire que les rêves d’indépendance de Monsieur Simeoni ne sont motivés que par le bon sens. Les Corses se font traiter de racistes par des journaleux plus bêtes que leurs pieds, on les punit de se défendre alors que l’état de droit n’existe plus et que le mot justice ne veut plus rien dire, on ne protège que les voyous. Comment accepter cet état de fait ?
Méfiez-vous, Monsieur Cazeneuve, parce que la Corse est peut-être en train de donner l’exemple à la France. Alors que nous sommes soi-disant en guerre contre l’islamisme radical, Je vous accuse Monsieur Cazeneuve, et j’accuse Madame Taubira de Haute Trahison. Je ne parle pas d’intelligence avec l’ennemi, parce que le mot « intelligence » me paraît assez peu adapté à votre cas.
Deux événements ont eu lieu cette semaine : la façon dont la presse les a relatés, et le comportement des pouvoirs publics en disent long sur l’état de dégradation sociale et morale de notre pays.
Commençons par Béziers : le maire associé FN, Robert Ménard, est outré et a raison de l’être, parce qu’une association musulmane se permet, au nom du « vivrensemble », de monter une brigade pour « protéger » une église, puis la cathédrale, le soir de la messe de minuit.
Que SOS-Racisme, qui est une association anti-française, s’offusque de la réaction du maire, ça n’étonnera personne.
Que les faux culs dirigés par des musulmans fondamentalistes jouent les victimes en disant qu’ils étaient pleins de bonnes intentions, ça n’étonnera personne non plus.
Que la presse et ses idiots utiles, au lieu de réfléchir un peu, s’engouffre dans la brèche au nom de « qui a peur du Méchant Ménard », c’était attendu d’avance.
En revanche, que la préfecture ne trouve rien à redire au fait qu’une communauté musulmane s’octroie le droit de monter sa police privée, alors que la mairie n’avait pas pu obtenir l’autorisation de monter une « garde biterroise » avec des policiers dûment assermentés, c’est un peu curieux. En France on n’a pas le droit de faire justice ou police soi-même et la loi est censée être la même pour tout le monde. Certains auraient ils le droit de se mettre en dehors de la loi ?
Mais surtout, le pire, le chef de la police, Monsieur Cazeneuve lui-même, approuve cette initiative. Quand le même groupuscule de shariamaniaques viendra demander aux chrétiens la taxe du dhimmi en échange de sa « protection », comme le fait la mafia avec ses « commerces protégés » ou le souteneur moyen avec ses demoiselles d’affection négociable, il trouvera encore ça très bien, probablement. Monsieur Cazeneuve devrait relire le code civil. Nul n’a le droit de se substituer ni à la police ni à la justice.
Quant au second événement, c’est le bouquet.
Et là encore, les journalistes, qui devraient être des professionnels de l’information et non des pleureuses attitrées, jouent un curieux rôle.
Nous parlons de la Corse. Cela commence dans une banlieue d’Ajaccio peuplée de Chances pour la France qui ne parlent même pas Français et bien sûr ne cherchent guère à employer leurs talents autrement que dans des trafics divers et des exactions variées. On appelle les pompiers, qui débarquent. En fait on leur a tendu une embuscade et on les caillasse. Des pompiers et des policiers sont blessés. Les Corses se fâchent et des manifestations dégénèrent. Que croyez-vous qu’il arrivât ? Alors que les fripouilles qui ont été à l’origine de cette immonde agression ne sont même pas inquiétées, deux Corses sont arrêtés au motif qu’on ne fait pas justice soi-même. Ravie de l’entendre ! Alors qu’attend la vraie justice pour coffrer les vrais coupables ? Je commence à croire que les rêves d’indépendance de Monsieur Simeoni ne sont motivés que par le bon sens. Les Corses se font traiter de racistes par des journaleux plus bêtes que leurs pieds, on les punit de se défendre alors que l’état de droit n’existe plus et que le mot justice ne veut plus rien dire, on ne protège que les voyous. Comment accepter cet état de fait ?
Méfiez-vous, Monsieur Cazeneuve, parce que la Corse est peut-être en train de donner l’exemple à la France. Alors que nous sommes soi-disant en guerre contre l’islamisme radical, Je vous accuse Monsieur Cazeneuve, et j’accuse Madame Taubira de Haute Trahison. Je ne parle pas d’intelligence avec l’ennemi, parce que le mot « intelligence » me paraît assez peu adapté à votre cas.