Souriez !
L’Etat trouve que les automobilistes ne sont pas assez traqués. Donc il va privatiser le contrôle par des radars automatiques embarqués. Raison : actuellement deux gendarmes par voiture sont mobilisés pour vérifier si vous ne dépassez pas la vitesse autorisée de 1 km/h. Or avec Vigipirate qui se prolonge, on a besoin d’eux ailleurs. On va donc les remplacer par des salariés privés appartenant à une société de connivence. Il y aura une personne par voiture. Doit-on en déduire que la productivité des agents de l’état est la moitié de celle des salariés du privé ? Cela correspondrait bien au fait que nous avons deux fois plus de fonctionnaires par habitant que dans les autres pays d’Europe…
Quand va-t-on arrêter cette folie furieuse qui n’apporte rien au plan de la sécurité mais fait courir aux automobilistes un risque permanent de racket et de perte de points, pour rien ? Pendant ce temps nos routes se dégradent, et ajoutent à l’insécurité. Pendant qu’on se focalise sur de petits dépassements de vitesse (90% des PV des radars automatiques), on ne contrôle rien d’autre : alcool, drogue, téléphone, conduite réellement dangereuse, etc. Comme la mortalité remonte, on met plus de radars. Méthode socialiste : je fais un truc qui ne marche pas, alors je continue en y mettant plus de moyens parce que ça DOIT marcher, forcément. C’est Coué qui me l’a dit. Mais surtout : je taxe !
J’aimerais bien avoir l’avis des candidats à la présidentielle à ce sujet !
E.D.F. :
Notre électricien est au bord de la faillite. Donc pour sauver les meubles, EDF ne se contente plus de relever les tarifs et de faire payer les éoliennes aux consommateurs par une taxe spéciale. Dorénavant les clients d’EDF se voient facturer le « manque à gagner » des années précédentes. Il s’agit en fait de rattraper les non-augmentations imposées par le gouvernement, qui ne respectaient pas le contrat entre l’état et EDF. Bon, c’est un peu comme si votre épicier, parce que des travaux devant sa boutique lui ont fait perdre des clients l’an passé, vous facturait le chiffre d’affaires qu’il n’a pas fait.
LE GLISSEMENT PROGRESSIF DU CHOMAGE :
Nous savions que le bon bilan de Hollande en matière de chômage était un peu frelaté : la création de tout plein d’emplois dans les derniers mois de 2016 pour renverser une tendance qui nous avait fait passer de 3 à 6 millions de chômeurs (officiels) depuis 2007 nous semblait quelque peu artificielle.
Au nom du bon vieux principe des vases communicants, nous avions bien remarqué que lorsque le chômage baissait en catégorie A (ceux qui ne travaillent pas du tout), il montait dans les autres catégories, incluant les emplois aidés. Nous avions aussi mis les derniers chiffres sur le compte des 500.000 stages de formation que Hollande voulait créer, mesure qui sera prolongée par son clone Macron avec 50 milliards d’euros de nouvelles dépenses publiques en 5 ans pour la formation professionnelle.
Mais nous avions tort. Il y avait autre chose. C’est l’affaire Théo qui nous en dévoile tout le principe. Ce jeune homme parfaitement intégré et sans défauts, vivant dans une de nos magnifiques banlieues, que de vilains policiers auraient quelque peu malmené alors qu’il ne faisait que passer ! Il ne faisait tellement que passer qu’il aurait juste, par inadvertance, empêché les policiers d’arrêter un dealer… Mais par inadvertance, vous dis-je ! A ce stade de l’enquête j’ignore si les policiers sont coupables ou pas d’avoir utilisé leur matraque de façon répréhensible. Justement parce que l’enquête n’est pas terminée et que la présomption d’innocence n’est pas une vue de l’esprit, il n’est pas tolérable de voir le chef de l’état se substituer aux juges et aller voir à l’hôpital la soi-disant victime. Hollande n’en est plus à une faute près. Il condamne les policiers sans savoir et donne Allah sans confession à un garçon dont les antécédents sont tout sauf nets. C’est inqualifiable, et le seul résultat est l’embrasement des cités, mais cela n’aurait pas trop prêté à scandale, si l’on n’avait pas appris par la suite que le fameux Théo faisait l’objet d’une enquête pour un emploi fictif (un vrai, cette fois), octroyé par son propre frangin. Le principe est simple : le frangin monte une association bidon pour aider à la création d’emplois dans les zones sensibles, se fait octroyer des subventions, et paye grassement toute sa famille à ne rien faire. Voilà pourquoi vous payez des impôts.
Vous savez maintenant comment la Hollandie a créé des emplois : notre gouvernement a arrosé de subventions de multiples associations de banlieues pour acheter la paix sociale, avec un résultat assez peu probant, puisque contrairement à ce que dit le plus mauvais ministre de l’intérieur que nous ayons jamais eu, nous sommes en état de guerre civile à peine larvée. Combien de faux emplois dans ce genre avons-nous ? Théo est loin d’être le seul !
Quand va-t-on arrêter cette folie furieuse qui n’apporte rien au plan de la sécurité mais fait courir aux automobilistes un risque permanent de racket et de perte de points, pour rien ? Pendant ce temps nos routes se dégradent, et ajoutent à l’insécurité. Pendant qu’on se focalise sur de petits dépassements de vitesse (90% des PV des radars automatiques), on ne contrôle rien d’autre : alcool, drogue, téléphone, conduite réellement dangereuse, etc. Comme la mortalité remonte, on met plus de radars. Méthode socialiste : je fais un truc qui ne marche pas, alors je continue en y mettant plus de moyens parce que ça DOIT marcher, forcément. C’est Coué qui me l’a dit. Mais surtout : je taxe !
J’aimerais bien avoir l’avis des candidats à la présidentielle à ce sujet !
E.D.F. :
Notre électricien est au bord de la faillite. Donc pour sauver les meubles, EDF ne se contente plus de relever les tarifs et de faire payer les éoliennes aux consommateurs par une taxe spéciale. Dorénavant les clients d’EDF se voient facturer le « manque à gagner » des années précédentes. Il s’agit en fait de rattraper les non-augmentations imposées par le gouvernement, qui ne respectaient pas le contrat entre l’état et EDF. Bon, c’est un peu comme si votre épicier, parce que des travaux devant sa boutique lui ont fait perdre des clients l’an passé, vous facturait le chiffre d’affaires qu’il n’a pas fait.
LE GLISSEMENT PROGRESSIF DU CHOMAGE :
Nous savions que le bon bilan de Hollande en matière de chômage était un peu frelaté : la création de tout plein d’emplois dans les derniers mois de 2016 pour renverser une tendance qui nous avait fait passer de 3 à 6 millions de chômeurs (officiels) depuis 2007 nous semblait quelque peu artificielle.
Au nom du bon vieux principe des vases communicants, nous avions bien remarqué que lorsque le chômage baissait en catégorie A (ceux qui ne travaillent pas du tout), il montait dans les autres catégories, incluant les emplois aidés. Nous avions aussi mis les derniers chiffres sur le compte des 500.000 stages de formation que Hollande voulait créer, mesure qui sera prolongée par son clone Macron avec 50 milliards d’euros de nouvelles dépenses publiques en 5 ans pour la formation professionnelle.
Mais nous avions tort. Il y avait autre chose. C’est l’affaire Théo qui nous en dévoile tout le principe. Ce jeune homme parfaitement intégré et sans défauts, vivant dans une de nos magnifiques banlieues, que de vilains policiers auraient quelque peu malmené alors qu’il ne faisait que passer ! Il ne faisait tellement que passer qu’il aurait juste, par inadvertance, empêché les policiers d’arrêter un dealer… Mais par inadvertance, vous dis-je ! A ce stade de l’enquête j’ignore si les policiers sont coupables ou pas d’avoir utilisé leur matraque de façon répréhensible. Justement parce que l’enquête n’est pas terminée et que la présomption d’innocence n’est pas une vue de l’esprit, il n’est pas tolérable de voir le chef de l’état se substituer aux juges et aller voir à l’hôpital la soi-disant victime. Hollande n’en est plus à une faute près. Il condamne les policiers sans savoir et donne Allah sans confession à un garçon dont les antécédents sont tout sauf nets. C’est inqualifiable, et le seul résultat est l’embrasement des cités, mais cela n’aurait pas trop prêté à scandale, si l’on n’avait pas appris par la suite que le fameux Théo faisait l’objet d’une enquête pour un emploi fictif (un vrai, cette fois), octroyé par son propre frangin. Le principe est simple : le frangin monte une association bidon pour aider à la création d’emplois dans les zones sensibles, se fait octroyer des subventions, et paye grassement toute sa famille à ne rien faire. Voilà pourquoi vous payez des impôts.
Vous savez maintenant comment la Hollandie a créé des emplois : notre gouvernement a arrosé de subventions de multiples associations de banlieues pour acheter la paix sociale, avec un résultat assez peu probant, puisque contrairement à ce que dit le plus mauvais ministre de l’intérieur que nous ayons jamais eu, nous sommes en état de guerre civile à peine larvée. Combien de faux emplois dans ce genre avons-nous ? Théo est loin d’être le seul !