Labiche, aidé il est vrai par quelques collaborateurs rémunérés, avait tout du graphomane et il nous a laissé une oeuvre gigantesque. C'est truculent, fantaisiste en diable, sans souci aucun de vraisemblance, ça plonge ses racines dans la farce et la comedia del arte et ça ne rechigne pas à pousser la chansonnette. Une vraie performance au sens où on l'entendait avant les années 1970.
Il ne faut pas y chercher de la commisération ou de la profondeur psychologique : les gens sont des girouettes, des fats capables de changer d'opinion ou d'attitude en quelques instants, au gré de leur vanité et, surtout, de leur cupidité.
Mention spéciale au "jeune homme pressé" où s'amuse une vieille connaissance qui se reconnaîtra.
Et dire que tout cela est produit par une scène qui ne perçoit pas un rond de subventions ! Allez les soutenir rien que pour ça ... et aussi parce qu'on s'y amuse beaucoup tiens donc !
Il ne faut pas y chercher de la commisération ou de la profondeur psychologique : les gens sont des girouettes, des fats capables de changer d'opinion ou d'attitude en quelques instants, au gré de leur vanité et, surtout, de leur cupidité.
Mention spéciale au "jeune homme pressé" où s'amuse une vieille connaissance qui se reconnaîtra.
Et dire que tout cela est produit par une scène qui ne perçoit pas un rond de subventions ! Allez les soutenir rien que pour ça ... et aussi parce qu'on s'y amuse beaucoup tiens donc !