Depuis quelques jours, le mauvais perdant multiplie les coups bas contre Donald Trump. Il lui reste peu de temps pour nuire au nouveau président, après ce sera l’investiture et ce sale bonhomme pourra rejoindre les autres présidents déchus (même si c’est sa protégée et non lui qui a perdu l’élection) dans les poubelles de l’histoire.
Sa dernière trouvaille, faire payer un ex-espion anglais pour fournir à la CIA un dossier de 32 pages mentionnant une partie fine de Trump à Moscou avec des poupées russes en 2013, montre qu’à défaut de trouver de vrais tares à son successeur, il n’hésite pas à tomber dans la politique de caniveau. Comme si les parties de jambes en l’air d’un quidam qui à l’époque ne faisait pas de politique avaient la moindre importance, d’ailleurs. Le pire est que l’ex-espion lui-même admet n’avoir aucune preuve concrète, mais peu importe, la CIA refile le dossier bidon à des « journalistes » qui s’empressent de le publier. Trump parle de méthodes nazies : il a totalement raison.
Mais à côté de ses indélicatesses, méchancetés, coups montés, affabulations, il y a sa façon de quitter son poste. Juste indigne.
Quel pathos, quel cinéma ! On sent qu’il a tout Hollywood derrière lui. Des discours la larme à l’œil, la First Lady chialant comme une gamine à qui l’on a refusé un bonbon … Le tout repris en boucle par une presse idolâtre. C’est indécent à force d’être grotesque. Aucun autre président n’a jamais quitté ses fonctions de cette façon.
Voir les « artistes » refuser de participer à l’investiture du nouveau président et menacer de grèves, alors que ces gens sont toujours les premiers à se réclamer de la liberté d’expression et à nous donner des cours de solidarité et de tolérance est un « spectacle » parfaitement affligeant. D’abord pour qui se prennent-ils ? Sont-ils au-dessus des lois démocratiques au point de refuser un vote qui a fait ses preuves aux USA depuis des décennies ? Sont-ils seuls détenteurs de la Vérité ?
La question qui se pose est : en une semaine, reste- t-il à l’Obaminable assez de temps pour commettre la bourde irréparable qui peut faire sombrer le monde dans le chaos, comme il en rêvait, espérant que sa marionnette Hillary le ferait pour lui ?
Les Américains ont eu l’effroyable imprudence de confier les clés de la bombe atomique à ce danger public islamisé, ils l’ont même fait deux fois, et si Donald Trump n’avait pas été là, ils auraient récidivé avec Hillary, la traitresse, dont les e-mails ont peut-être été piratés par des Russes, qu’importe ! Contrairement à ce que racontent les soi-disant experts qui passent sur nos chaînes de désinformation, ce n’est pas le Parti Démocrate qui a été piraté, mais bien sa messagerie personnelle, utilisée à des fins douteuses pour fournir des informations à des gens qui n’auraient pas dû les avoir. Et si elle a utilisé ses propres mails, c’est bien parce qu’elle savait que tout ce qui passe par les circuits officiels est enregistré, justement pour éviter ça.
Que ce bouffon aille au diable avec sa copine ! Le 20 janvier les USA tournent la page.
God bless America !
AU BON BIO
Mon supermarché préféré a innové dans les sacs en plastique biodégradables pour emballer les fruits et légumes. Ils ne sont pas les premiers, de tels sacs existent depuis longtemps, mais là ils ont frappé fort.
Ayant la surprise de trouver en libre-service ces sachets d’un genre nouveau, au toucher particulièrement désagréable, je n’ai pas résisté à l’envie de lire les petits caractères à l’encre vert pâle imprimés dessus.
Pour faire ces sacs, il a fallu extraire de la fécule de pommes de terre. Mais pas n’importe quelles pommes de terre : des « BIO » dûment labellisées. C’est vrai qu’il est crucial que votre concombre (naturel mais non bio) et vos carottes (naturelles mais non bio) soient emballés dans un sachet pas naturel mais parfaitement bio. Cela étant Ségolène devrait faire la tronche parce que pour fabriquer ces nombreux sacs à la fécule de papate bio il faut ensemencer une surface une fois et demie supérieure à celle qu’occuperaient des patates classiques. Ne serait-ce pas un peu du gaspillage ? Les patates étant un élément nutritionnel bon marché, ne vaut-il mieux pas les mettre à la disposition des consommateurs pour les consommer plutôt que pour faire des plastiques ? Sachant que d’autres matériaux moins sensibles permettent de faire des sachets bio à commencer par les micro-algues, mais aussi, pourquoi pas, le lait que nos éleveurs peinent à vendre.
Le plus fort c’est que ces sacs sont vraiment lamentables : on ne peut rien y conserver sous peine de moisissures, ils ont un toucher désagréable, ils sont opaques et moches. En plus ça a beau être bio, croyez-vous que l’usine qui transforme la fécule en sachets est « bio » et n’utilise pas d’intrants chimiques, notamment pour polymériser la matière de base ? LOL ! Et quid de l’encre verte ? Pas de métaux lourds pour la fabriquer ?
Et puis il doit y avoir pas mal de rebuts, parce que visiblement, ces sacs une fois fabriqués sont de qualité médiocre et peu fiable : j’ai vu tout un rouleau de sacs dans lesquels les soudures avaient été faites aux deux bouts de chaque sachet, donc impossibles à ouvrir. Sur d’autres rouleaux, il n’y avait pas de soudures du tout : c’est le sac sans fin.
Sa dernière trouvaille, faire payer un ex-espion anglais pour fournir à la CIA un dossier de 32 pages mentionnant une partie fine de Trump à Moscou avec des poupées russes en 2013, montre qu’à défaut de trouver de vrais tares à son successeur, il n’hésite pas à tomber dans la politique de caniveau. Comme si les parties de jambes en l’air d’un quidam qui à l’époque ne faisait pas de politique avaient la moindre importance, d’ailleurs. Le pire est que l’ex-espion lui-même admet n’avoir aucune preuve concrète, mais peu importe, la CIA refile le dossier bidon à des « journalistes » qui s’empressent de le publier. Trump parle de méthodes nazies : il a totalement raison.
Mais à côté de ses indélicatesses, méchancetés, coups montés, affabulations, il y a sa façon de quitter son poste. Juste indigne.
Quel pathos, quel cinéma ! On sent qu’il a tout Hollywood derrière lui. Des discours la larme à l’œil, la First Lady chialant comme une gamine à qui l’on a refusé un bonbon … Le tout repris en boucle par une presse idolâtre. C’est indécent à force d’être grotesque. Aucun autre président n’a jamais quitté ses fonctions de cette façon.
Voir les « artistes » refuser de participer à l’investiture du nouveau président et menacer de grèves, alors que ces gens sont toujours les premiers à se réclamer de la liberté d’expression et à nous donner des cours de solidarité et de tolérance est un « spectacle » parfaitement affligeant. D’abord pour qui se prennent-ils ? Sont-ils au-dessus des lois démocratiques au point de refuser un vote qui a fait ses preuves aux USA depuis des décennies ? Sont-ils seuls détenteurs de la Vérité ?
La question qui se pose est : en une semaine, reste- t-il à l’Obaminable assez de temps pour commettre la bourde irréparable qui peut faire sombrer le monde dans le chaos, comme il en rêvait, espérant que sa marionnette Hillary le ferait pour lui ?
Les Américains ont eu l’effroyable imprudence de confier les clés de la bombe atomique à ce danger public islamisé, ils l’ont même fait deux fois, et si Donald Trump n’avait pas été là, ils auraient récidivé avec Hillary, la traitresse, dont les e-mails ont peut-être été piratés par des Russes, qu’importe ! Contrairement à ce que racontent les soi-disant experts qui passent sur nos chaînes de désinformation, ce n’est pas le Parti Démocrate qui a été piraté, mais bien sa messagerie personnelle, utilisée à des fins douteuses pour fournir des informations à des gens qui n’auraient pas dû les avoir. Et si elle a utilisé ses propres mails, c’est bien parce qu’elle savait que tout ce qui passe par les circuits officiels est enregistré, justement pour éviter ça.
Que ce bouffon aille au diable avec sa copine ! Le 20 janvier les USA tournent la page.
God bless America !
AU BON BIO
Mon supermarché préféré a innové dans les sacs en plastique biodégradables pour emballer les fruits et légumes. Ils ne sont pas les premiers, de tels sacs existent depuis longtemps, mais là ils ont frappé fort.
Ayant la surprise de trouver en libre-service ces sachets d’un genre nouveau, au toucher particulièrement désagréable, je n’ai pas résisté à l’envie de lire les petits caractères à l’encre vert pâle imprimés dessus.
Pour faire ces sacs, il a fallu extraire de la fécule de pommes de terre. Mais pas n’importe quelles pommes de terre : des « BIO » dûment labellisées. C’est vrai qu’il est crucial que votre concombre (naturel mais non bio) et vos carottes (naturelles mais non bio) soient emballés dans un sachet pas naturel mais parfaitement bio. Cela étant Ségolène devrait faire la tronche parce que pour fabriquer ces nombreux sacs à la fécule de papate bio il faut ensemencer une surface une fois et demie supérieure à celle qu’occuperaient des patates classiques. Ne serait-ce pas un peu du gaspillage ? Les patates étant un élément nutritionnel bon marché, ne vaut-il mieux pas les mettre à la disposition des consommateurs pour les consommer plutôt que pour faire des plastiques ? Sachant que d’autres matériaux moins sensibles permettent de faire des sachets bio à commencer par les micro-algues, mais aussi, pourquoi pas, le lait que nos éleveurs peinent à vendre.
Le plus fort c’est que ces sacs sont vraiment lamentables : on ne peut rien y conserver sous peine de moisissures, ils ont un toucher désagréable, ils sont opaques et moches. En plus ça a beau être bio, croyez-vous que l’usine qui transforme la fécule en sachets est « bio » et n’utilise pas d’intrants chimiques, notamment pour polymériser la matière de base ? LOL ! Et quid de l’encre verte ? Pas de métaux lourds pour la fabriquer ?
Et puis il doit y avoir pas mal de rebuts, parce que visiblement, ces sacs une fois fabriqués sont de qualité médiocre et peu fiable : j’ai vu tout un rouleau de sacs dans lesquels les soudures avaient été faites aux deux bouts de chaque sachet, donc impossibles à ouvrir. Sur d’autres rouleaux, il n’y avait pas de soudures du tout : c’est le sac sans fin.