Le parallèle entre les élections américaines et la primaire des Républicains en France est saisissant.
Aux USA, toute la Nomenklatura fait feu de tout bois pour empêcher le trublion Donald Trump d’emporter l’élection. La presse est unanime à dénoncer chacun de ses mots de travers, l’opposition n’hésite pas à utiliser les faux témoignages et la diffamation, tout Hollywood est contre lui. Pour faire bonne mesure, au sein même de son Parti on lui tire dans le dos. Wall Street le déteste, les faucons du Pentagone bouffent leur chapeau.
Bien entendu toutes les rumeurs sur ce monsieur passent aussi en boucle à longueur de journée dans nos médias, comme si nous votions là-bas. Après tout il paraît que les Américains ne vérifient pas la nationalité des gens qui s’inscrivent sur les listes électorales, et que pour faire réélire Obama des bus entiers ont été affrétés pour aller faire voter des retraités dans plusieurs bureaux…
J’ignore si tout cela est vrai ou pas, mais ça explique les inquiétudes de Trump quant au trucage éventuel de l’élection du 8 novembre.
Or bizarrement et malgré les preuves des forfaitures de Madame Clinton, malgré le fait que les Saoudiens et les Qataris financent sa campagne via la fondation Clinton, malgré la sexualité débridée de son mari dont elle a toujours couvert les excès, le méchant c’est l’autre. Peut-être parce que parmi les politiciens professionnels, un homme sorti de la société civile fait peur, mais plus probablement parce qu’il y a en jeu des intérêts très douteux qu’il faut préserver à tout prix. Les Goldman’s Sachs boys craindraient-ils pour la façon dont ils ont ruiné la planète ? Les marchands de canon s’inquièteraient-ils du manque à gagner si on en finissait une fois pour toutes avec Daesch au lieu d’armer les anti-Assad contre les Russes ? Trump craint que Hillary Clinton nous entraîne dans une troisième guerre mondiale, ce n’est pas une crainte, c’est une certitude. Les banquiers Américains n’ont plus dans leurs coffres que de la dette, il est temps de se refaire une santé, non ? En sus, les Frères Musulmans si bien introduits à la Maison Blanche attendent en embuscade.
En France, pour la primaire de la Droite et du Centre, tout se passe comme s’il n’y avait que deux candidats. Pour nos médias, les autres n’existent pas. Comme Hillary est donnée gagnante aux USA (et en fait elle risque fort de gagner), c’est Juppé-le-repris-de-justice qui serait l’Elu. Aux USA comme en France j’espère que les électeurs feront mentir les prévisionnistes. Le mot d’ordre des électeurs de droite devrait être ni Juppé-ni Sarko. Hélas je me doute que dans les fédérations LR les militants ont déjà reçu la consigne de voter pour l’un des deux chouchous des journalistes.
La question qui se pose est : à quoi sert de voter si c’est la presse qui choisit ? Autant qu’ils disent tout de suite qui ils veulent, ça nous fera faire de grosses économies !
Ou alors donnons-leur tort !
BOMBARDIER SUR LA FRANCE
Il fallait s’y attendre. Le traitement curieux de l’affaire Alstom a éveillé les vocations. Bombardier, constructeur canadien concurrent d’Alstom et grand chasseur de subventions réclame sa part. C’est encore une de ces sociétés qui ne tient debout que parce qu’elle est biberonnée aux aides d’état, alors puisque l’état Français commet une irrégularité, elle veut son dû. Logique !
Aux USA, toute la Nomenklatura fait feu de tout bois pour empêcher le trublion Donald Trump d’emporter l’élection. La presse est unanime à dénoncer chacun de ses mots de travers, l’opposition n’hésite pas à utiliser les faux témoignages et la diffamation, tout Hollywood est contre lui. Pour faire bonne mesure, au sein même de son Parti on lui tire dans le dos. Wall Street le déteste, les faucons du Pentagone bouffent leur chapeau.
Bien entendu toutes les rumeurs sur ce monsieur passent aussi en boucle à longueur de journée dans nos médias, comme si nous votions là-bas. Après tout il paraît que les Américains ne vérifient pas la nationalité des gens qui s’inscrivent sur les listes électorales, et que pour faire réélire Obama des bus entiers ont été affrétés pour aller faire voter des retraités dans plusieurs bureaux…
J’ignore si tout cela est vrai ou pas, mais ça explique les inquiétudes de Trump quant au trucage éventuel de l’élection du 8 novembre.
Or bizarrement et malgré les preuves des forfaitures de Madame Clinton, malgré le fait que les Saoudiens et les Qataris financent sa campagne via la fondation Clinton, malgré la sexualité débridée de son mari dont elle a toujours couvert les excès, le méchant c’est l’autre. Peut-être parce que parmi les politiciens professionnels, un homme sorti de la société civile fait peur, mais plus probablement parce qu’il y a en jeu des intérêts très douteux qu’il faut préserver à tout prix. Les Goldman’s Sachs boys craindraient-ils pour la façon dont ils ont ruiné la planète ? Les marchands de canon s’inquièteraient-ils du manque à gagner si on en finissait une fois pour toutes avec Daesch au lieu d’armer les anti-Assad contre les Russes ? Trump craint que Hillary Clinton nous entraîne dans une troisième guerre mondiale, ce n’est pas une crainte, c’est une certitude. Les banquiers Américains n’ont plus dans leurs coffres que de la dette, il est temps de se refaire une santé, non ? En sus, les Frères Musulmans si bien introduits à la Maison Blanche attendent en embuscade.
En France, pour la primaire de la Droite et du Centre, tout se passe comme s’il n’y avait que deux candidats. Pour nos médias, les autres n’existent pas. Comme Hillary est donnée gagnante aux USA (et en fait elle risque fort de gagner), c’est Juppé-le-repris-de-justice qui serait l’Elu. Aux USA comme en France j’espère que les électeurs feront mentir les prévisionnistes. Le mot d’ordre des électeurs de droite devrait être ni Juppé-ni Sarko. Hélas je me doute que dans les fédérations LR les militants ont déjà reçu la consigne de voter pour l’un des deux chouchous des journalistes.
La question qui se pose est : à quoi sert de voter si c’est la presse qui choisit ? Autant qu’ils disent tout de suite qui ils veulent, ça nous fera faire de grosses économies !
Ou alors donnons-leur tort !
BOMBARDIER SUR LA FRANCE
Il fallait s’y attendre. Le traitement curieux de l’affaire Alstom a éveillé les vocations. Bombardier, constructeur canadien concurrent d’Alstom et grand chasseur de subventions réclame sa part. C’est encore une de ces sociétés qui ne tient debout que parce qu’elle est biberonnée aux aides d’état, alors puisque l’état Français commet une irrégularité, elle veut son dû. Logique !