Je n’ose pas appeler ça des Primaires : ils n’ont pas le niveau. Par contre, comme tous les enfants en bas-âge, ils ont une imagination fertile pour dire n’importe quoi.
De Valls qui veut supprimer le 49.3 après en avoir usé et abusé à Hamon qui n’a que le mot « taxe » à la bouche, en passant par Peillon qui ne supporte pas que Fillon se dise gaulliste et chrétien mais n’a aucun problème avec l’islam, sans oublier Montebourg représenté par un clown… Quelle brochette !
N’oublions pas Pinel, le quota féminin, comme dans la primaire de droite, totalement inaudible !
Hors primaire, Mélenchon et Macron se disputent la place de Roi des « On ». L’un n’en finit plus d’étaler sa haine des riches et des entrepreneurs, l’autre ne sait pas s’il est de droite ou de gauche. Ça dépend du vent. Mais quand les vents tournent, se mettre « en marche » revient à faire du sur-place.
La presse veut absolument nous vendre le Macron au vain plan, on se demande bien pourquoi. La marionnette d’Attali, celui derrière qui l’oseille ne repousse pas, parle tellement pour ne rien dire qu’on ne trouve rien de concret dans le fatras de ses propositions démagogiques, aussitôt annulées par des contre-mesures. Pire, il crée des dépenses avec de l’argent qui n’existe pas : c’est le miracle des énarques d’arriver à créer ex nihilo de l’argent. Il n’y a qu’une limite, c’est qu’un budget ne peut s’équilibrer en augmentant les recettes par l’opération du Saint Esprit. Une fois épuisé l’argent du contribuable et augmentée la dette, il faut envisager le surendettement. Mais au bout du processus il ne peut y avoir que la faillite. Or le contribuable Français est déjà exsangue ou parti en Suisse. Ah mais Mélenchon a trouvé la solution, lui : attacher la fiscalité à la nationalité. Est-ce que ce sera considéré à l’étranger comme une bonne raison de naturaliser les Français qui demanderont l’asile politique ?
Donc ces deux -là sont bien partis pour remporter le trophée de Roi des On, même si Fillon et le Pon sont sur les rangs, cette dernière d’ailleurs bien aidée par Philippon. Vous aurez remarqué une chose : Macro-Mignon est en quelque sorte le Philippot du PS. Comme lui, il est incapable de se situer sur l’échiquier politique et se veut « progressiste ». Tous deux sont gais comme des pinsons, surtout Macron depuis qu’il a épousé sa maman de substitution.
Bayrou, la girouette de service, se tourne vers Macron. Fillon a dû lui refuser un job de ministre du coinçage de bulle qui lui aurait permis, tout en étant bien payé, d’écrire un bouquin d’histoire. Macron, lui, promet tout à tout le monde. Ça ne mange pas de pain. En politique, les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent. Et puis quand on n’a aucune autre conviction que « je veux être président », on peut dire tout et le contraire.
Aux dernières nouvelles, pour étoffer son absence de programme, le petit Cron a recruté le directeur de France Stratégie : France Stratégie c'est la danseuse qui remplace le Commissariat au Plan (avec les mêmes) et qui nous a pondus un rapport décoiffant sur les métiers de demain : femmes de ménage, aide-soignants (sans les toubibs), agents commerciaux (sans production à vendre), conducteurs de véhicules (autonomes ?), agents administratifs de la ponction publique (sic). Il ne manquait à la liste que les fabricants de chandelles et les maréchaux ferrants.
Avec ça Macron a un programme en or. Il va vraiment réussir à devenir le roi des On.
En conclusion, si Macron emporte les voies de la droite de la gauche et Mélenchon celles de la gauche de la gauche, il ne restera pas grand-chose pour les petits de la maternelle.
Courage, filons !
De Valls qui veut supprimer le 49.3 après en avoir usé et abusé à Hamon qui n’a que le mot « taxe » à la bouche, en passant par Peillon qui ne supporte pas que Fillon se dise gaulliste et chrétien mais n’a aucun problème avec l’islam, sans oublier Montebourg représenté par un clown… Quelle brochette !
N’oublions pas Pinel, le quota féminin, comme dans la primaire de droite, totalement inaudible !
Hors primaire, Mélenchon et Macron se disputent la place de Roi des « On ». L’un n’en finit plus d’étaler sa haine des riches et des entrepreneurs, l’autre ne sait pas s’il est de droite ou de gauche. Ça dépend du vent. Mais quand les vents tournent, se mettre « en marche » revient à faire du sur-place.
La presse veut absolument nous vendre le Macron au vain plan, on se demande bien pourquoi. La marionnette d’Attali, celui derrière qui l’oseille ne repousse pas, parle tellement pour ne rien dire qu’on ne trouve rien de concret dans le fatras de ses propositions démagogiques, aussitôt annulées par des contre-mesures. Pire, il crée des dépenses avec de l’argent qui n’existe pas : c’est le miracle des énarques d’arriver à créer ex nihilo de l’argent. Il n’y a qu’une limite, c’est qu’un budget ne peut s’équilibrer en augmentant les recettes par l’opération du Saint Esprit. Une fois épuisé l’argent du contribuable et augmentée la dette, il faut envisager le surendettement. Mais au bout du processus il ne peut y avoir que la faillite. Or le contribuable Français est déjà exsangue ou parti en Suisse. Ah mais Mélenchon a trouvé la solution, lui : attacher la fiscalité à la nationalité. Est-ce que ce sera considéré à l’étranger comme une bonne raison de naturaliser les Français qui demanderont l’asile politique ?
Donc ces deux -là sont bien partis pour remporter le trophée de Roi des On, même si Fillon et le Pon sont sur les rangs, cette dernière d’ailleurs bien aidée par Philippon. Vous aurez remarqué une chose : Macro-Mignon est en quelque sorte le Philippot du PS. Comme lui, il est incapable de se situer sur l’échiquier politique et se veut « progressiste ». Tous deux sont gais comme des pinsons, surtout Macron depuis qu’il a épousé sa maman de substitution.
Bayrou, la girouette de service, se tourne vers Macron. Fillon a dû lui refuser un job de ministre du coinçage de bulle qui lui aurait permis, tout en étant bien payé, d’écrire un bouquin d’histoire. Macron, lui, promet tout à tout le monde. Ça ne mange pas de pain. En politique, les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent. Et puis quand on n’a aucune autre conviction que « je veux être président », on peut dire tout et le contraire.
Aux dernières nouvelles, pour étoffer son absence de programme, le petit Cron a recruté le directeur de France Stratégie : France Stratégie c'est la danseuse qui remplace le Commissariat au Plan (avec les mêmes) et qui nous a pondus un rapport décoiffant sur les métiers de demain : femmes de ménage, aide-soignants (sans les toubibs), agents commerciaux (sans production à vendre), conducteurs de véhicules (autonomes ?), agents administratifs de la ponction publique (sic). Il ne manquait à la liste que les fabricants de chandelles et les maréchaux ferrants.
Avec ça Macron a un programme en or. Il va vraiment réussir à devenir le roi des On.
En conclusion, si Macron emporte les voies de la droite de la gauche et Mélenchon celles de la gauche de la gauche, il ne restera pas grand-chose pour les petits de la maternelle.
Courage, filons !