Placide et museau
PROGRAMME EN VENTE SUR e-BAY-CRON !
Quand le rien s’associe au vide, ça donne le couple Bayrou-Macron. Peut-être Bayroublard a-t-il réussi à vendre son programme au gourou qui n’arrive pas à écrire le sien ? Ça ne changera pas grand-chose au demeurant, parce qu’entre un programme invisible et un programme incolore, la différence est assez peu perceptible. Mais comme « vente » signifie « échange », il faudra modifier la liste du futur gouvernement Macron : quel ministère sera attribué à Bayrou ? Pas celui du retournement de veste, parce qu’il l’a déjà si souvent retournée et si vite qu’on ne sait plus distinguer l’endroit de l’envers. L’œil n’a pas le temps de suivre le mouvement. Je verrai bien un ministère du coinçage de bulles, pour qu’il ait le temps d’écrire un bouquin, comme il l’a fait lorsqu’il est passé à l’Education Nationale. Il y expliquera notamment comment il fait pour être de tous les partis à la fois tout en restant dehors.
A force de fédérer tous les déchets de la politique et tous les sans-idées mais demandeurs de postes lucratifs, le cuistre vaniteux va bien finir par combler le vide contre-nature qui entoure sa candidature. Le souci, c’est que remplir les trous avec n’importe quoi, ça ne mène pas à grand-chose. Surtout lorsqu’on amalgame tous les recyclés du PS, du Modem et autres groupuscules verts, roses et rouges pâle. En termes plus prosaïques ça s’appelle même une poubelle. Macron, c’est la candidature-poubelle !
Sa dernière sortie est aussi indigne que les précédentes : après avoir prouvé sa méconnaissance de l’Histoire en traitant les Français de barbares et d’esclavagistes depuis un pays étranger, après avoir laissé connaître son ignorance de la culture française, que personne n’aurait jamais vue, l’amateur en politique nous annonce qu’il n’y a pas non plus d’art français. Il me semblait que l’entrée à Sciences Po prévoyait un examen de culture générale. Ça a dû changer. Maintenant c’est peut-être un test de culture des topinambours. Pour lui, la France n’a pas de Racine. J’entends bien que son « art » à lui n’est pas Le Nôtre, lui qui ne Boileau qu’en bouteille et jamais à la Fontaine. Il doit croire que Molière est un matériau de construction. Dans les amphis, quand le professeur entrait, il entendait sans doute sans comprendre : « asseyez-vous sur Vauban ». Il ne visite jamais les Musset, et pour lui Lamartine est maire de Lille, capitale de la Brie. Un Delacroix serait un signe religieux ostentatoire, et ne parlons pas de David, cette étoile de la peinture sous Napoléon 1er. Il prend probablement Monet pour une forme de paiement et de Bussy pour une ligne de transports en commun. Il a évidemment entendu parler de Saint-Saëns, mais seulement à l’école primaire : l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher, la vue…
On se demande pourquoi il veut présider un pays qui, selon lui, n’existe pas. Mettons vite ce type à sa juste place : à la poubelle !
A PARIS, A VELO…
L’état en faillite a encore de la dette à dépenser : 200 euros par acheteur de vélo électrique y compris dans les entreprises, parce que ce serait bon pour la planète. Paris fait de la surenchère : Hidalgo double la mise. Quelle générosité avec l’argent des autres !
Déjà : aider à l’achat d’un vélo tout court serait complètement idiot car le vélo ne remplace guère que la marche à pied. Alors, subventionner un vélo électrique, donc à batterie et à recharge nucléaire, toujours pour remplacer la marche à pied, c’est difficile de trouver plus bête ! Dans ce gouvernement que le candidat-poubelle veut prolonger 5 ans de plus, toute tentative de réflexion se transforme en fumerie de moquette.
Quand le rien s’associe au vide, ça donne le couple Bayrou-Macron. Peut-être Bayroublard a-t-il réussi à vendre son programme au gourou qui n’arrive pas à écrire le sien ? Ça ne changera pas grand-chose au demeurant, parce qu’entre un programme invisible et un programme incolore, la différence est assez peu perceptible. Mais comme « vente » signifie « échange », il faudra modifier la liste du futur gouvernement Macron : quel ministère sera attribué à Bayrou ? Pas celui du retournement de veste, parce qu’il l’a déjà si souvent retournée et si vite qu’on ne sait plus distinguer l’endroit de l’envers. L’œil n’a pas le temps de suivre le mouvement. Je verrai bien un ministère du coinçage de bulles, pour qu’il ait le temps d’écrire un bouquin, comme il l’a fait lorsqu’il est passé à l’Education Nationale. Il y expliquera notamment comment il fait pour être de tous les partis à la fois tout en restant dehors.
A force de fédérer tous les déchets de la politique et tous les sans-idées mais demandeurs de postes lucratifs, le cuistre vaniteux va bien finir par combler le vide contre-nature qui entoure sa candidature. Le souci, c’est que remplir les trous avec n’importe quoi, ça ne mène pas à grand-chose. Surtout lorsqu’on amalgame tous les recyclés du PS, du Modem et autres groupuscules verts, roses et rouges pâle. En termes plus prosaïques ça s’appelle même une poubelle. Macron, c’est la candidature-poubelle !
Sa dernière sortie est aussi indigne que les précédentes : après avoir prouvé sa méconnaissance de l’Histoire en traitant les Français de barbares et d’esclavagistes depuis un pays étranger, après avoir laissé connaître son ignorance de la culture française, que personne n’aurait jamais vue, l’amateur en politique nous annonce qu’il n’y a pas non plus d’art français. Il me semblait que l’entrée à Sciences Po prévoyait un examen de culture générale. Ça a dû changer. Maintenant c’est peut-être un test de culture des topinambours. Pour lui, la France n’a pas de Racine. J’entends bien que son « art » à lui n’est pas Le Nôtre, lui qui ne Boileau qu’en bouteille et jamais à la Fontaine. Il doit croire que Molière est un matériau de construction. Dans les amphis, quand le professeur entrait, il entendait sans doute sans comprendre : « asseyez-vous sur Vauban ». Il ne visite jamais les Musset, et pour lui Lamartine est maire de Lille, capitale de la Brie. Un Delacroix serait un signe religieux ostentatoire, et ne parlons pas de David, cette étoile de la peinture sous Napoléon 1er. Il prend probablement Monet pour une forme de paiement et de Bussy pour une ligne de transports en commun. Il a évidemment entendu parler de Saint-Saëns, mais seulement à l’école primaire : l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher, la vue…
On se demande pourquoi il veut présider un pays qui, selon lui, n’existe pas. Mettons vite ce type à sa juste place : à la poubelle !
A PARIS, A VELO…
L’état en faillite a encore de la dette à dépenser : 200 euros par acheteur de vélo électrique y compris dans les entreprises, parce que ce serait bon pour la planète. Paris fait de la surenchère : Hidalgo double la mise. Quelle générosité avec l’argent des autres !
Déjà : aider à l’achat d’un vélo tout court serait complètement idiot car le vélo ne remplace guère que la marche à pied. Alors, subventionner un vélo électrique, donc à batterie et à recharge nucléaire, toujours pour remplacer la marche à pied, c’est difficile de trouver plus bête ! Dans ce gouvernement que le candidat-poubelle veut prolonger 5 ans de plus, toute tentative de réflexion se transforme en fumerie de moquette.