Archi-éculé, le thème de la belle (une star schizophrène car violentée) et du clochard (un ex-taulard qui porte pourtant bien le costard) nous est ici resservi dans un plat aussi appétissant qu'une panse de brebis farcie. Comme de bien entendu, le second n'a aucun mal à approcher la première ...
Les personnages sont surjoués, caricaturaux, grotesques, on va de mimiques en affèteries, de formules creuses en descriptions languissantes et auto-complaisantes. Comme il faut bien faire croire qu'il s'agit de cinéma moderne, il y a de temps à autres des sauts narratifs, une musique nerveuse et des prises de vue décalées. Tout cela est censé faire du cinéma britannico-branché. Boring, stupid and senseless, my dear !
Les personnages sont surjoués, caricaturaux, grotesques, on va de mimiques en affèteries, de formules creuses en descriptions languissantes et auto-complaisantes. Comme il faut bien faire croire qu'il s'agit de cinéma moderne, il y a de temps à autres des sauts narratifs, une musique nerveuse et des prises de vue décalées. Tout cela est censé faire du cinéma britannico-branché. Boring, stupid and senseless, my dear !