A tous nos lecteurs, nous souhaitons un très joyeux Noël, de beaux cadeaux au pied de l’arbre, et de bonnes fêtes de fin d’année.
En ces temps troublés nous espérons qu’un peu de bon sens pourra guider nos chers (onéreux) ministres. Même si nous y croyons assez peu.
En effet les petits pas et les renoncements ne sont pas une façon de diriger un pays. En trois jours : Hollande et Valls ont promis d’inscrire dans la constitution le retrait de la nationalité française aux binationaux partis faire le djihad, ce qui est la moindre des choses et rend leur retour et donc leur possibilité de nous nuire plus aléatoire. Le lendemain Taubira dit qu’il n’en est pas question. Puis elle est désavouée, ce qui, en toute logique, devrait entraîner sa démission. Mais elle restera. Et enfin cette règle ne sera plus inscrite dans la constitution mais on modifiera la constitution pour que le législateur puisse faire une loi dans ce sens… Suive qui pourra.
Tout est bon pour sauver la face du soldat Hollande et de ses tristes sbires, Valls et Taubira. Il veut que la droite vote pour sa réforme de la constitution et les règles liberticides que cela va nous amener au nom d’une promesse de sécurité qui ne vaut pas plus que n’importe quelle promesse de politicien, donc il fait semblant de persister, car la déchéance de nationalité est pour la droite la condition sine qua non pour accepter le reste. Mais la droite hésitera à voter un texte qui laisse autant de marge à l’incertitude, donc elle va encore se diviser.
Evidemment avant de déchoir quelqu’un de sa nationalité il aurait été plus intelligent de ne pas le naturaliser, mais là on va toucher au sacro-saint droit du sol, hérité de l’ancien régime, quand tout citoyen né en France était Français et donc avait le devoir de prendre les armes pour la France si le besoin s’en faisait sentir. Cela n’a rien de républicain, et sous l’ancien régime, on ne venait pas d’Afrique en clandestin pour accoucher en France.
Lorsque Pasqua avait décidé de modifier le droit du sol de sorte que la nationalité ne soit pas automatiquement donnée mais simplement demandée, et justifiée par une connaissance de la langue et un comportement convenable, la gauche avait hurlé au loup, et dès Mitterrand réélu, avait supprimé sa loi. Pourtant, il n’avait fait que ce qui se fait partout : on ne donne pas une nationalité à quelqu’un qui méprise le pays d’accueil, qui en refuse la langue et les coutumes, et qui se livre à la délinquance. Comme on dit : chacun sa merde !
Mais le plus beau coup de bluff de Hollande c’est quand même la fermeture des frontières, et là je peux en témoigner directement. Fermer les frontières et remettre des douaniers, c’est vite dit mais il faut du temps pour les recruter, les douaniers. Il est donc impossible d’être efficace d’un coup de baguette magique.
Pourtant sur la route de la Catalogne, ce 23 décembre, en approchant de la frontière par l’autoroute, un panneau mentionnait « contrôle de police à 6 km », c’est-à-dire au niveau de l’ancienne douane. De fait, c’était juste là que commençait l’embouteillage correspondant. Je me suis demandée pourquoi on contrôlait les Français qui sortaient puisque le but du jeu est surtout d’empêcher des terroristes de RENTRER. Mais foin de ces détails, je ne suis pas spécialiste de la question et je suppose qu’ils savent ce qu’ils font. Non ?
La queue n’avançait pas, nous étions cernés par les poids lourds, de trois files nous sommes passés à une seule, juste au moment d’entamer une côte, donc au pas derrière des véhicules lents, très lents. Nous y avons passé près d’une heure.
En arrivant à l’ancien poste de douane, les files se séparaient en deux : poids lourds d’un côté, voitures de l’autre, sur une voie balisée par des quilles. Nous empruntons donc notre voie et ressortons après la douane sans avoir vu le moindre contrôle. Il en est de même pour les camions que nous apercevons de loin, en file indienne, passant sans s’arrêter devant des bâtiments fermés.
Dans l’autre sens nous croisons un gigantesque embouteillage de véhicules quittant l’Espagne, qui eux aussi font la queue pour ne pas être contrôlés. Autrement dit on nous a fait mariner une heure sur une file, à brûler de l’essence qui ne fera même pas rentrer de TIPP (parce que du coup j’ai fait mon plein en Espagne où il est 30% moins cher), juste pour nous faire croire qu’on s’occupait de notre sécurité.
La Hollandie, ou le gouvernement-leurre !
En ces temps troublés nous espérons qu’un peu de bon sens pourra guider nos chers (onéreux) ministres. Même si nous y croyons assez peu.
En effet les petits pas et les renoncements ne sont pas une façon de diriger un pays. En trois jours : Hollande et Valls ont promis d’inscrire dans la constitution le retrait de la nationalité française aux binationaux partis faire le djihad, ce qui est la moindre des choses et rend leur retour et donc leur possibilité de nous nuire plus aléatoire. Le lendemain Taubira dit qu’il n’en est pas question. Puis elle est désavouée, ce qui, en toute logique, devrait entraîner sa démission. Mais elle restera. Et enfin cette règle ne sera plus inscrite dans la constitution mais on modifiera la constitution pour que le législateur puisse faire une loi dans ce sens… Suive qui pourra.
Tout est bon pour sauver la face du soldat Hollande et de ses tristes sbires, Valls et Taubira. Il veut que la droite vote pour sa réforme de la constitution et les règles liberticides que cela va nous amener au nom d’une promesse de sécurité qui ne vaut pas plus que n’importe quelle promesse de politicien, donc il fait semblant de persister, car la déchéance de nationalité est pour la droite la condition sine qua non pour accepter le reste. Mais la droite hésitera à voter un texte qui laisse autant de marge à l’incertitude, donc elle va encore se diviser.
Evidemment avant de déchoir quelqu’un de sa nationalité il aurait été plus intelligent de ne pas le naturaliser, mais là on va toucher au sacro-saint droit du sol, hérité de l’ancien régime, quand tout citoyen né en France était Français et donc avait le devoir de prendre les armes pour la France si le besoin s’en faisait sentir. Cela n’a rien de républicain, et sous l’ancien régime, on ne venait pas d’Afrique en clandestin pour accoucher en France.
Lorsque Pasqua avait décidé de modifier le droit du sol de sorte que la nationalité ne soit pas automatiquement donnée mais simplement demandée, et justifiée par une connaissance de la langue et un comportement convenable, la gauche avait hurlé au loup, et dès Mitterrand réélu, avait supprimé sa loi. Pourtant, il n’avait fait que ce qui se fait partout : on ne donne pas une nationalité à quelqu’un qui méprise le pays d’accueil, qui en refuse la langue et les coutumes, et qui se livre à la délinquance. Comme on dit : chacun sa merde !
Mais le plus beau coup de bluff de Hollande c’est quand même la fermeture des frontières, et là je peux en témoigner directement. Fermer les frontières et remettre des douaniers, c’est vite dit mais il faut du temps pour les recruter, les douaniers. Il est donc impossible d’être efficace d’un coup de baguette magique.
Pourtant sur la route de la Catalogne, ce 23 décembre, en approchant de la frontière par l’autoroute, un panneau mentionnait « contrôle de police à 6 km », c’est-à-dire au niveau de l’ancienne douane. De fait, c’était juste là que commençait l’embouteillage correspondant. Je me suis demandée pourquoi on contrôlait les Français qui sortaient puisque le but du jeu est surtout d’empêcher des terroristes de RENTRER. Mais foin de ces détails, je ne suis pas spécialiste de la question et je suppose qu’ils savent ce qu’ils font. Non ?
La queue n’avançait pas, nous étions cernés par les poids lourds, de trois files nous sommes passés à une seule, juste au moment d’entamer une côte, donc au pas derrière des véhicules lents, très lents. Nous y avons passé près d’une heure.
En arrivant à l’ancien poste de douane, les files se séparaient en deux : poids lourds d’un côté, voitures de l’autre, sur une voie balisée par des quilles. Nous empruntons donc notre voie et ressortons après la douane sans avoir vu le moindre contrôle. Il en est de même pour les camions que nous apercevons de loin, en file indienne, passant sans s’arrêter devant des bâtiments fermés.
Dans l’autre sens nous croisons un gigantesque embouteillage de véhicules quittant l’Espagne, qui eux aussi font la queue pour ne pas être contrôlés. Autrement dit on nous a fait mariner une heure sur une file, à brûler de l’essence qui ne fera même pas rentrer de TIPP (parce que du coup j’ai fait mon plein en Espagne où il est 30% moins cher), juste pour nous faire croire qu’on s’occupait de notre sécurité.
La Hollandie, ou le gouvernement-leurre !