Toute la différence ...
A voir défiler à Paris une bande d’hystériques anti-Trump, comme si ce dernier avait pris le pouvoir par un coup d’état…
A entendre les pisse-copies qui se disent journalistes en faire des montagnes alors qu’il ne s’agit que de trois pelés et un tondu… A écouter braire les gauchistes attardés américains qui lancent une pétition sur internet parce que le résultat de l’élection américaine ne leur convient pas…
Sachant que c’est la progéniture de ces mêmes ânes qui encensaient Mao dans les années 70, on se dit que les socialistes et apparentés ont un petit pois en guise de cervelle. Et tout ça se dit « démocrate » !
La démocratie selon les socialistes, c’est un petit groupe d’intellectuels auto-proclamés qui décide de tout à la place de gens du peuple censés être trop bêtes pour gérer leur vie. Le problème c’est que, si c’est gens sont trop bêtes pour se gérer, on peut aussi se dire qu’ils sont trop bêtes pour voter.
En refusant le vote Trump, les pseudo-intellectuels de service ont tiré eux même cette conclusion : il va falloir supprimer les élections. Du reste c’est ce qui arrive dans tous les paradis socialistes à plus ou moins long terme. Si on ne les supprime pas directement, car il faut sauver les apparences, on les bidouille pour obtenir des scores imparables pour le chef du soviet suprême.
Le socialisme se pare d’égalitarisme, c’est d’ailleurs sa seule motivation : tous égaux. Bien entendu les pseudo-intellectuels qui sont aux manettes se considèrent au-dessus du lot. Ils s’arrangent pour vivre largement aux crochets des « bénéficiaires » de leur générosité, auxquels il est octroyé avec condescendance des miettes de pain et des jeux. Des miettes de pain parce qu’il faut qu’ils aient de quoi vivoter et qu’ils aient peur de perdre ces avantages acquis. Des jeux parce qu’il faut qu’ils puissent se défouler dans des activités gratuites, assez violentes pour expulser leurs pulsions, mais pas trop, on ne sait jamais. Les téléréalités sont un exutoire parfait : l’aventure par procuration ! Il faut aussi les maintenir dans l’ignorance et surtout ne pas leur apprendre à penser. Comme on dit : réfléchir c’est commencer à désobéir !
Dans ces régimes merveilleux l’individu n’existe pas, il n’y a que le collectif qui compte, les citoyens sont un groupe de gens interchangeables, incolores, incultes, sans Histoire et sans Géographie. Ce système ayant fait ses preuves et mené partout à des faillites cuisantes, il est bien évident qu’il ne peut subsister que par la peur. Ça commence par une loi de fichage qui a vu le jour à la Toussaint, ça continue par des lois d’interdiction de ne pas penser droit (Gayssot, Pleven), ça persiste par des condamnations de propos plus ou moins anodins qui froissent telle ou telle minorité…
Pour le moment la France est sur la voie de la servitude mais il y a encore du chemin à faire. En attendant, ce que le socialisme promet à nos jeunes, c’est l’effacement des rêves et un futur tout tracé de médiocrité et de pauvreté économique et intellectuelle. Les fils de dirigeants ont un avenir tout tracé aussi : ils remplaceront papa ou maman. Pour les autres, hormis le groupe de ceux qui espèrent devenir fonctionnaires pour avoir un poste pépère à vie, il y a cinq possibilités : le suicide, les antidépresseurs (nous sommes les champions dans ces deux domaines), la drogue pour oublier, ou se plonger dans la religion en espérant que l’au-delà sera moins morne que le réel (le socialisme n’offre même pas cet espoir-là). Comme nous faisons tout pour éradiquer la chrétienté, il ne faut pas s’étonner que certains se convertissent à l’Islam et le prennent à la lettre, avec toute la violence qu’il contient. La cinquième voie, celle du salut, est la fuite à l'étranger. D'ailleurs c'est ce que font déjà tous ceux qui le peuvent.
A propos, un bel exemple des pseudo-intellectuels qui nous emmerdent depuis des décennies : le dernier débat de la primaire des LR était animé par El Kabbash, 79 ans aux prunes. Ces gens-là ne prennent donc jamais leur retraite ? Comme d’habitude il a été nul, odieux, ne laissant pas parler les candidats. Il était déjà décati sous Georges Marchais, ça ne s’est pas arrangé. Et son émule Pujadas suit la voie tracée par le maître : il ne s’intéresse pas aux programmes des interviewés, mais seulement à des ragots. Ça se dit journaliste ? Leurs articles, s’ils sont écrits dans cet esprit, devraient être distribués dans les toilettes publiques et non dans des kiosques à journaux !
A entendre les pisse-copies qui se disent journalistes en faire des montagnes alors qu’il ne s’agit que de trois pelés et un tondu… A écouter braire les gauchistes attardés américains qui lancent une pétition sur internet parce que le résultat de l’élection américaine ne leur convient pas…
Sachant que c’est la progéniture de ces mêmes ânes qui encensaient Mao dans les années 70, on se dit que les socialistes et apparentés ont un petit pois en guise de cervelle. Et tout ça se dit « démocrate » !
La démocratie selon les socialistes, c’est un petit groupe d’intellectuels auto-proclamés qui décide de tout à la place de gens du peuple censés être trop bêtes pour gérer leur vie. Le problème c’est que, si c’est gens sont trop bêtes pour se gérer, on peut aussi se dire qu’ils sont trop bêtes pour voter.
En refusant le vote Trump, les pseudo-intellectuels de service ont tiré eux même cette conclusion : il va falloir supprimer les élections. Du reste c’est ce qui arrive dans tous les paradis socialistes à plus ou moins long terme. Si on ne les supprime pas directement, car il faut sauver les apparences, on les bidouille pour obtenir des scores imparables pour le chef du soviet suprême.
Le socialisme se pare d’égalitarisme, c’est d’ailleurs sa seule motivation : tous égaux. Bien entendu les pseudo-intellectuels qui sont aux manettes se considèrent au-dessus du lot. Ils s’arrangent pour vivre largement aux crochets des « bénéficiaires » de leur générosité, auxquels il est octroyé avec condescendance des miettes de pain et des jeux. Des miettes de pain parce qu’il faut qu’ils aient de quoi vivoter et qu’ils aient peur de perdre ces avantages acquis. Des jeux parce qu’il faut qu’ils puissent se défouler dans des activités gratuites, assez violentes pour expulser leurs pulsions, mais pas trop, on ne sait jamais. Les téléréalités sont un exutoire parfait : l’aventure par procuration ! Il faut aussi les maintenir dans l’ignorance et surtout ne pas leur apprendre à penser. Comme on dit : réfléchir c’est commencer à désobéir !
Dans ces régimes merveilleux l’individu n’existe pas, il n’y a que le collectif qui compte, les citoyens sont un groupe de gens interchangeables, incolores, incultes, sans Histoire et sans Géographie. Ce système ayant fait ses preuves et mené partout à des faillites cuisantes, il est bien évident qu’il ne peut subsister que par la peur. Ça commence par une loi de fichage qui a vu le jour à la Toussaint, ça continue par des lois d’interdiction de ne pas penser droit (Gayssot, Pleven), ça persiste par des condamnations de propos plus ou moins anodins qui froissent telle ou telle minorité…
Pour le moment la France est sur la voie de la servitude mais il y a encore du chemin à faire. En attendant, ce que le socialisme promet à nos jeunes, c’est l’effacement des rêves et un futur tout tracé de médiocrité et de pauvreté économique et intellectuelle. Les fils de dirigeants ont un avenir tout tracé aussi : ils remplaceront papa ou maman. Pour les autres, hormis le groupe de ceux qui espèrent devenir fonctionnaires pour avoir un poste pépère à vie, il y a cinq possibilités : le suicide, les antidépresseurs (nous sommes les champions dans ces deux domaines), la drogue pour oublier, ou se plonger dans la religion en espérant que l’au-delà sera moins morne que le réel (le socialisme n’offre même pas cet espoir-là). Comme nous faisons tout pour éradiquer la chrétienté, il ne faut pas s’étonner que certains se convertissent à l’Islam et le prennent à la lettre, avec toute la violence qu’il contient. La cinquième voie, celle du salut, est la fuite à l'étranger. D'ailleurs c'est ce que font déjà tous ceux qui le peuvent.
A propos, un bel exemple des pseudo-intellectuels qui nous emmerdent depuis des décennies : le dernier débat de la primaire des LR était animé par El Kabbash, 79 ans aux prunes. Ces gens-là ne prennent donc jamais leur retraite ? Comme d’habitude il a été nul, odieux, ne laissant pas parler les candidats. Il était déjà décati sous Georges Marchais, ça ne s’est pas arrangé. Et son émule Pujadas suit la voie tracée par le maître : il ne s’intéresse pas aux programmes des interviewés, mais seulement à des ragots. Ça se dit journaliste ? Leurs articles, s’ils sont écrits dans cet esprit, devraient être distribués dans les toilettes publiques et non dans des kiosques à journaux !