Don't move !
AMERICA IS GRAVEMENT BLESSED
Presque 8 ans que Obama sévit à la Maison-Blanche, et qu’il affaiblit l’Amérique et met le monde à feu et à sang. Ce type est un désastre planétaire. S’il était roitelet d’un état microscopique de l’ordre du Lichtenstein, on s’en remettrait, mais il a réussi à miner le pays le plus puissant du monde. La course à la présidence est désormais ouverte puisque, heureusement, la constitution américaine limite les nuisibles de son espèce à seulement deux mandats, ce qui est hélas beaucoup quand on se retrouve à donner le pouvoir à un individu de ce calibre.
Mitt Romney nous avait expliqué qu’en créant une population d’assistés, le socialiste de la Maison-Blanche avait joué la carte du clientélisme et assuré sa réélection. Il ne s’était pas trompé.
Le bilan d’Obama est simplement calamiteux.
En interne, Il a dévasté le tissu social américain, et remis au goût du jour la haine raciale en créant de facto un climat anti-blanc, et par contrecoup, son corollaire. C’est le fondement même du socialisme : mettre les individus dans des cases, et les monter les uns contre les autres.
Au plan économique, il a non seulement mis l’assistanat au goût du jour, mais il a financé ses âneries socialistes en faisant marcher la planche à billets comme jamais. Le dollar, monnaie de singe, reste heureusement pour lui et malheureusement pour nous, la monnaie de référence internationale. L’euro a échoué à lui piquer la place. Mais le vent de l’histoire risque de tourner rapidement, car l’Amérique assèche l’économie mondiale. Les USA punissent les entreprises étrangères qui leur font de l’ombre au moindre prétexte (SNCF, BNP), nous dictent avec qui nous devons travailler ou pas, mais n’ont guère puni les Goldman Sachs et autres qui ont provoqué la crise financière de 2007. On balaye chez les autres, pas devant sa porte, surtout quand ça nous arrange. Aujourd’hui l’économie américaine est à la peine malgré les mensonges tendant à nous faire croire que c’est le plein emploi. Les emplois précaires et mal payés à perpète sont nombreux dans un pays où les indemnités chômage se font rares (Obama n’a pas changé ça) : ceci explique cela.
A l’extérieur c’est encore pire. Le peuple américain n’a pas encore compris qu’il n’y avait pas d’un côté les gentils cow-boys (eux) et de l’autre les méchants indiens (tout le reste de la planète), nécessairement sous-développés et à qui il fallait fournir clé en main la Mac-Do-cratie qui fonctionne chez eux, même si c’est contre leur gré et à coup de bombes, puisque c’est pour leur bien. Mais que l’Américain moyen ait une telle vision du monde n’est pas grave, si au moins leurs leaders sont un peu plus ouverts. C’était le cas de Mitt Romney, ce n’est pas le cas d’Obama.
De même n’ont-ils pas compris que la guerre froide était terminée depuis des années, qu’il n’y avait plus de Pacte de Varsovie en face, et que la Russie n’était plus l’URSS mais une fédération sortie du communisme, même s’il y a encore du boulot, et cherchant à reprendre sa place dans le concert des nations.
Pire, Obama n’a rien compris (ou refuse de comprendre) à ce qui se passe au proche-orient. Quand je dis ça, je vais plus loin : il aime et protège les Islamistes radicaux. En retirant trop tôt ses troupes d’Irak, en encourageant la guerre en Lybie puis la lutte contre Bachar el Assad, il est directement responsable de Daesh. On a beau dire que cette organisation de meurtriers sordides dégoûte les musulmans « modérés » de l’Islam, c’est faux : si ça en dégoûte certain, on ne les entend guère, et surtout ça fait des émules chez tous les tordus et les frustrés de la planète, qui se donnent une légitimité divine pour assouvir leurs pires bas instincts. Ils sont suffisamment nombreux pour que Daesh recrute un nombre considérable d’exécuteurs de basses œuvres.
Au bout du compte, la seule chose qu’il ait obtenu jusqu’ici c’est que plus personne ne reconnaît et n’accepte l’Amérique comme gendarme du monde. Les USA ont perdu leur leadership. La nature ayant horreur du vide, Vladimir Poutine s’est assis sur le siège vacant et il n’est pas près de céder la place. D’autant plus qu’en Syrie, contrairement à Obama qui arme Al-Qaida et qui en plus s’en vante, il fait le job et il le fait plutôt bien. Mais Barbara Nuland a promis à Poutine des attentats islamistes en Russie. On ne saurait mieux avouer les accointances de la Maison-Blanche avec les réseaux d’assassins enturbannés. Obama a aussi prévenu qu’il continuerait d’envoyer des armes aux groupes djihadistes anti-Bachar, pour que ce soit pour les Russes un « nouvel Afghanistan ». Qu’on ne me dise pas après ça qu’ils sont dans le camp du bien. Sinon, ils s’entendraient avec Moscou, les laisseraient nettoyer la Syrie pendant qu’ils chassent Daesh d’Irak, puis chercheraient avec Vladimir Poutine une porte de sortie pour Bachar el Assad et son remplacement (solution que Poutine avait proposée il y a deux ans et qui avait été balayée d’un revers de main), et surtout la dissolution des milices du parti Baas qui commettent des exactions en roue libre et ne sont plus sous contrôle. Leur seul souci est de préserver leur hégémonie, notamment en Méditerranée, point barre. Ils ne supportent pas que leur ex pire ennemi y ait des bases, telles que celle de Tartous. Obama a déjà essayé de leur sucrer Sébastopol en semant la zone en Ukraine, ça n’a pas marché.
Qui succèdera à cet imbécile à qui de pires imbéciles ont donné le prix Nobel de la paix alors qu’il est ouvertement en train de tout faire pour aller vers une troisième guerre mondiale, histoire de relancer son industrie de l’armement et de caser des chômeurs ? En atteste d’ailleurs la propagande effrénée anti-Russes dont nous abreuve une presse totalement aux ordres (et d’autant plus que Mou-Président est un disciple zélé d’Obama), propagande tellement outrancière qu’elle en devient ridicule et contreproductive : elle nous rend les Russes sympathiques. Bien sûr, eux aussi font de la propagande, mais par rapport à l’avalanche d’articles présentant le président russe comme un nouvel Hitler (les bons jours), ils sont presque invisibles, perdus dans le bruit de fond. Ce qui reste certain, c’est que pour avoir des informations crédibles d’un côté ou de l’autre, il faut chercher longtemps et sans certitude de trouver.
Un exemple : un article lu sur Yahoo, je ne sais plus si c’est une source AFP ou Reuters :
« Les Russes ont fait sauter un dépôt de munitions de EI : une femme et deux enfants tués » (sic) (cela après avoir dit deux lignes plus haut qu’ils ne tapaient pas sur EI – on n’est pas à une contradiction près) : traduction de la pensée du journaliste : le dépôt n’a aucune importance, ce qui est important c’est que les Russes tuent des civils.
Hillary Clinton est en lice dans le camp des démocrates malgré les casseroles qu’elle cumule, et elle est encore plus folle qu’Obama. Joe Biden est un outsider crédible dans le style socialiste mou mais vicieux, genre Hollande. En face il y a de nombreux candidats dont certains semblent très valables, mais celui qui a le vent en poupe est Donald Trump, que notre presse fait passer pour un vulgaire cow-boy sans cervelle mais avec de gros muscles, dont le message de base est « retrouver la grandeur de l’Amérique ». Le problème c’est que j’ignore son programme, on ne parle que de ses petites phrases et de ses « dérapages ». Il est issu de la société civile : sera-t-il un nouveau Reagan, ou un nouveau et calamiteux Jimmy Carter ?
LE FOND DE L’AIR NE SE RECHAUFFE PAS
Philippe Verdier – monsieur Météo – se fait virer de la TV parce qu’il a commis un bouquin dénonçant l’escroquerie du réchauffisme climatique. Il n’est pas le premier mais sa position de « vedette TV » dérange les tenants de la pensée unique. Le COP 21 se réunit bientôt et Hollande est tout-feu-tout-flamme. Comme Obama, il ne réussit rien nulle part, il voudrait donc au moins se tailler un petit succès avec cette gigantesque farce destinée à nous faire croire qu’en remontant au Moyen-âge (mais en payant très cher pour ça) nous allons empêcher le thermomètre de grimper… A supposer d’ailleurs qu’il grimpe ce qui est loin d’être prouvé malgré la propagande dès qu’il fait un degré de trop ou que la glace de l’Arctique fond un peu… au mois d’août. La chasse aux sorcières dérive directement de sa crainte d’échouer à nous plumer au nom des bons sentiments écologistes.
Décidément la liberté d’expression en France, c’est un concept de plus en plus difficile à cerner. Après la Halde, aurons-nous la STASI ou le NKVD ? Mais il n’y a pas que dans la vraie gauche que les fanatiques de la religion écologique se comportent comme des petits Staline. Nathalie Fiasco-Morizet, que nous ne présentons plus et qui appartient à l’autre gauche, traite de « connards » les climato-sceptiques avec toute la délicatesse qu’on lui connaît. Eh bien, pour tout dire, venant d’elle, je prends ça pour un compliment, puisque vous l’aurez compris, je fais partie des « connards » et j’en suis fière. Donc je persiste et signe.
Christiane Chavane
Presque 8 ans que Obama sévit à la Maison-Blanche, et qu’il affaiblit l’Amérique et met le monde à feu et à sang. Ce type est un désastre planétaire. S’il était roitelet d’un état microscopique de l’ordre du Lichtenstein, on s’en remettrait, mais il a réussi à miner le pays le plus puissant du monde. La course à la présidence est désormais ouverte puisque, heureusement, la constitution américaine limite les nuisibles de son espèce à seulement deux mandats, ce qui est hélas beaucoup quand on se retrouve à donner le pouvoir à un individu de ce calibre.
Mitt Romney nous avait expliqué qu’en créant une population d’assistés, le socialiste de la Maison-Blanche avait joué la carte du clientélisme et assuré sa réélection. Il ne s’était pas trompé.
Le bilan d’Obama est simplement calamiteux.
En interne, Il a dévasté le tissu social américain, et remis au goût du jour la haine raciale en créant de facto un climat anti-blanc, et par contrecoup, son corollaire. C’est le fondement même du socialisme : mettre les individus dans des cases, et les monter les uns contre les autres.
Au plan économique, il a non seulement mis l’assistanat au goût du jour, mais il a financé ses âneries socialistes en faisant marcher la planche à billets comme jamais. Le dollar, monnaie de singe, reste heureusement pour lui et malheureusement pour nous, la monnaie de référence internationale. L’euro a échoué à lui piquer la place. Mais le vent de l’histoire risque de tourner rapidement, car l’Amérique assèche l’économie mondiale. Les USA punissent les entreprises étrangères qui leur font de l’ombre au moindre prétexte (SNCF, BNP), nous dictent avec qui nous devons travailler ou pas, mais n’ont guère puni les Goldman Sachs et autres qui ont provoqué la crise financière de 2007. On balaye chez les autres, pas devant sa porte, surtout quand ça nous arrange. Aujourd’hui l’économie américaine est à la peine malgré les mensonges tendant à nous faire croire que c’est le plein emploi. Les emplois précaires et mal payés à perpète sont nombreux dans un pays où les indemnités chômage se font rares (Obama n’a pas changé ça) : ceci explique cela.
A l’extérieur c’est encore pire. Le peuple américain n’a pas encore compris qu’il n’y avait pas d’un côté les gentils cow-boys (eux) et de l’autre les méchants indiens (tout le reste de la planète), nécessairement sous-développés et à qui il fallait fournir clé en main la Mac-Do-cratie qui fonctionne chez eux, même si c’est contre leur gré et à coup de bombes, puisque c’est pour leur bien. Mais que l’Américain moyen ait une telle vision du monde n’est pas grave, si au moins leurs leaders sont un peu plus ouverts. C’était le cas de Mitt Romney, ce n’est pas le cas d’Obama.
De même n’ont-ils pas compris que la guerre froide était terminée depuis des années, qu’il n’y avait plus de Pacte de Varsovie en face, et que la Russie n’était plus l’URSS mais une fédération sortie du communisme, même s’il y a encore du boulot, et cherchant à reprendre sa place dans le concert des nations.
Pire, Obama n’a rien compris (ou refuse de comprendre) à ce qui se passe au proche-orient. Quand je dis ça, je vais plus loin : il aime et protège les Islamistes radicaux. En retirant trop tôt ses troupes d’Irak, en encourageant la guerre en Lybie puis la lutte contre Bachar el Assad, il est directement responsable de Daesh. On a beau dire que cette organisation de meurtriers sordides dégoûte les musulmans « modérés » de l’Islam, c’est faux : si ça en dégoûte certain, on ne les entend guère, et surtout ça fait des émules chez tous les tordus et les frustrés de la planète, qui se donnent une légitimité divine pour assouvir leurs pires bas instincts. Ils sont suffisamment nombreux pour que Daesh recrute un nombre considérable d’exécuteurs de basses œuvres.
Au bout du compte, la seule chose qu’il ait obtenu jusqu’ici c’est que plus personne ne reconnaît et n’accepte l’Amérique comme gendarme du monde. Les USA ont perdu leur leadership. La nature ayant horreur du vide, Vladimir Poutine s’est assis sur le siège vacant et il n’est pas près de céder la place. D’autant plus qu’en Syrie, contrairement à Obama qui arme Al-Qaida et qui en plus s’en vante, il fait le job et il le fait plutôt bien. Mais Barbara Nuland a promis à Poutine des attentats islamistes en Russie. On ne saurait mieux avouer les accointances de la Maison-Blanche avec les réseaux d’assassins enturbannés. Obama a aussi prévenu qu’il continuerait d’envoyer des armes aux groupes djihadistes anti-Bachar, pour que ce soit pour les Russes un « nouvel Afghanistan ». Qu’on ne me dise pas après ça qu’ils sont dans le camp du bien. Sinon, ils s’entendraient avec Moscou, les laisseraient nettoyer la Syrie pendant qu’ils chassent Daesh d’Irak, puis chercheraient avec Vladimir Poutine une porte de sortie pour Bachar el Assad et son remplacement (solution que Poutine avait proposée il y a deux ans et qui avait été balayée d’un revers de main), et surtout la dissolution des milices du parti Baas qui commettent des exactions en roue libre et ne sont plus sous contrôle. Leur seul souci est de préserver leur hégémonie, notamment en Méditerranée, point barre. Ils ne supportent pas que leur ex pire ennemi y ait des bases, telles que celle de Tartous. Obama a déjà essayé de leur sucrer Sébastopol en semant la zone en Ukraine, ça n’a pas marché.
Qui succèdera à cet imbécile à qui de pires imbéciles ont donné le prix Nobel de la paix alors qu’il est ouvertement en train de tout faire pour aller vers une troisième guerre mondiale, histoire de relancer son industrie de l’armement et de caser des chômeurs ? En atteste d’ailleurs la propagande effrénée anti-Russes dont nous abreuve une presse totalement aux ordres (et d’autant plus que Mou-Président est un disciple zélé d’Obama), propagande tellement outrancière qu’elle en devient ridicule et contreproductive : elle nous rend les Russes sympathiques. Bien sûr, eux aussi font de la propagande, mais par rapport à l’avalanche d’articles présentant le président russe comme un nouvel Hitler (les bons jours), ils sont presque invisibles, perdus dans le bruit de fond. Ce qui reste certain, c’est que pour avoir des informations crédibles d’un côté ou de l’autre, il faut chercher longtemps et sans certitude de trouver.
Un exemple : un article lu sur Yahoo, je ne sais plus si c’est une source AFP ou Reuters :
« Les Russes ont fait sauter un dépôt de munitions de EI : une femme et deux enfants tués » (sic) (cela après avoir dit deux lignes plus haut qu’ils ne tapaient pas sur EI – on n’est pas à une contradiction près) : traduction de la pensée du journaliste : le dépôt n’a aucune importance, ce qui est important c’est que les Russes tuent des civils.
Hillary Clinton est en lice dans le camp des démocrates malgré les casseroles qu’elle cumule, et elle est encore plus folle qu’Obama. Joe Biden est un outsider crédible dans le style socialiste mou mais vicieux, genre Hollande. En face il y a de nombreux candidats dont certains semblent très valables, mais celui qui a le vent en poupe est Donald Trump, que notre presse fait passer pour un vulgaire cow-boy sans cervelle mais avec de gros muscles, dont le message de base est « retrouver la grandeur de l’Amérique ». Le problème c’est que j’ignore son programme, on ne parle que de ses petites phrases et de ses « dérapages ». Il est issu de la société civile : sera-t-il un nouveau Reagan, ou un nouveau et calamiteux Jimmy Carter ?
LE FOND DE L’AIR NE SE RECHAUFFE PAS
Philippe Verdier – monsieur Météo – se fait virer de la TV parce qu’il a commis un bouquin dénonçant l’escroquerie du réchauffisme climatique. Il n’est pas le premier mais sa position de « vedette TV » dérange les tenants de la pensée unique. Le COP 21 se réunit bientôt et Hollande est tout-feu-tout-flamme. Comme Obama, il ne réussit rien nulle part, il voudrait donc au moins se tailler un petit succès avec cette gigantesque farce destinée à nous faire croire qu’en remontant au Moyen-âge (mais en payant très cher pour ça) nous allons empêcher le thermomètre de grimper… A supposer d’ailleurs qu’il grimpe ce qui est loin d’être prouvé malgré la propagande dès qu’il fait un degré de trop ou que la glace de l’Arctique fond un peu… au mois d’août. La chasse aux sorcières dérive directement de sa crainte d’échouer à nous plumer au nom des bons sentiments écologistes.
Décidément la liberté d’expression en France, c’est un concept de plus en plus difficile à cerner. Après la Halde, aurons-nous la STASI ou le NKVD ? Mais il n’y a pas que dans la vraie gauche que les fanatiques de la religion écologique se comportent comme des petits Staline. Nathalie Fiasco-Morizet, que nous ne présentons plus et qui appartient à l’autre gauche, traite de « connards » les climato-sceptiques avec toute la délicatesse qu’on lui connaît. Eh bien, pour tout dire, venant d’elle, je prends ça pour un compliment, puisque vous l’aurez compris, je fais partie des « connards » et j’en suis fière. Donc je persiste et signe.
Christiane Chavane
